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Sommet du G7 : plus de 350 surfeurs rament pour défendre les océans

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Baptisé “Rame pour ta planète”, ce rendez-vous citoyen avait pour but de placer l’océan au centre des débats avant l’ouverture du sommet des chefs d’État samedi.

(Crédit photo : Iroz Gaizka / AFP)

“Biarritz, ville du G7, mais c’est avant tout une ville internationale de surf, une ville océane et nous en tant que surfeurs, on doit porter la voix de l’océan”, a commenté Gibus de Soultrait, surfeur depuis cinquante ans et l’un des co-fondateurs de Surfrider Foundation. Cette ONG et l’association écologique locale Bizi! sont à l’origine de cette initiative.  

Dans ce village, les surfeurs réunis se sont mis à l’eau dans la soirée et ont formé une chaîne symbolique au large. Sur la petite plage se trouvaient des pancartes plantées dans le sable avec des slogans tels que “La planète se réveille, on s’éveille avec elle”, et même des messages écrits sur des planches de surf, à l’instar de “océan l’esprit, société au défi”.

(Crédit photo : Iroz Gaizka / AFP)

“Nous, ici au Pays Basque, on vit de l’océan et si l’océan meurt, c’est l’homme qui meurt. Mais heureusement, dès que l’agression cesse, la nature reprend ses droits. Et c’est pour ça qu’on rame, pour dire qu’on est conscients de ces problèmes”, a déclaré avant la mise à l’eau des surfeurs Francois Verdet, membre de Surfrider et co-organisateur du rendez-vous.

Depuis octobre, les rendez-vous “Rame pour ta planète” se sont succédé sur la côte basque avec pour objectif de ramer tous les premiers samedis du mois jusqu’au G7.

(Crédit photo : Iroz Gaizka / AFP)

“Y a eu des rames, dans la tempête, dans le froid. On s’est focalisés sur le G7 mais finalement ce qui est important, c’est que l’on reconsidère nous mêmes notre attitude” a conclu sous les applaudissements Gibus de Soultrait.

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Interdiction de faire un feu à ciel ouvert à Faa’a

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Il est strictement interdit de faire un feu à ciel ouvert à Faa’a durant toute la période de sécheresse qui sévit actuellement sur la commune.

Le feu à ciel ouvert, visé par l’interdiction se définit comme un feu de camp qui brûle librement. Aussi, en forêt ou à proximité, les feux d’artifice sont interdits, tout comme les lampes à la citronnelle et les lanternes chinoises, si belles à voir s’envoler, mais si dangereuses en même temps car on a aucun contrôle sur l’endroit où elles vont se déposer.

Le vent fait que c’est très dangereux, il y a de l’assèchement qui arrive très rapidement, lorsqu’on a une température chaude. L’humidité relative diminuera et c’est à ce moment que faire des feux à ciel ouvert devient problématique.

Vigilance et prudence restent donc de mise.

Pour plus de renseignements : la brigade de police communale au 40 50 22 00.

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“Braquage à Paofai” : une “pure invention” selon Mario Banner

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Tout ce que je sais, c’est qu’effectivement il s’est passé quelque chose, mais de beaucoup moins gravissime. Puisqu’au même moment, au même endroit, il y a un jeune homme qui s’est fait aborder par trois individus qui ont sorti un couteau de cuisine et qui lui ont piqué son vélo. Point final, ça s’arrête là”, a déclaré Mario Banner.
Le commissaire divisionnaire dit n’avoir reçu aucune plainte ni aucun signalement pour des faits d’une telle gravité.

“Je vois que l’on fait état de faits qui datent d’une semaine. On procède à l’interview anonyme d’un témoin qui donne des détails sur la façon dont les faits se sont passés, en disant que ce sont deux véhicules blancs de marque Clio, qui sont des voitures de location parce qu’ils ont le macaron orange, mais par contre qui n’est pas fichu de donner un numéro de plaque d’immatriculation ?” , s’étonne Mario Banner qui dénonce un “dérapage médiatique”.

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Comptes 2018 du CHPF : un déficit inférieur à celui de l’an passé

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La consolidation de ces différents éléments ressort de la manière suivante, en Fcfp :

Le déficit global de l’établissement est inférieur de 255 millions de Fcfp à celui constaté en 2017.

Cette amélioration relative des comptes de l’établissement est imputable notamment aux importants efforts de gestion réalisés pour faire face aux coûts d’exploitation du site de Taaone tout en satisfaisant une demande croissante de soins : les dépenses de fonctionnement n’ont ainsi augmenté que de 11 points entre 2011 et 2018, pour une activité en hausse de 23 points.

L’étude attentive des tendances montre cependant que les activités de soins –budget principal (CHPF) et département de psychiatrie– sont structurellement sous-financées dans un contexte de complexification croissante des prises en charges, d’augmentation du coût des médicaments et de forte insuffisance des structures alternatives à l’hospitalisation qui impacte fortement la durée moyenne des hospitalisations en l’absence, souvent, d’alternative.

Les activités annexes –école de sages-femmes, centre de transfusion sanguine, Samu et hôtel des familles–  terminent pour leur part l’exercice en bénéfice.

Le déficit constaté sur les unités de consultation et de soins ambulatoires, qui prennent en charge les détenus de Faa’a-Nuutania et du centre de détention Tatutu de Papeari, résulte pour sa part de la régularisation d’écritures relatives à l’exercice 2017.

Les autre sujets dans le compte-rendu du conseil des ministres :
Soutien aux municipalités : subventions de la Délégation pour le développement des communes
Elaboration de la stratégie de formation de l’économie bleue
Aide à l’équipement en radiocommunication pour les pêcheurs professionnels
Bénéfice du régime d’exonération des droits et taxes pour les navires de transport interinsulaire
Modalités de déclaration d’une activité d’ULM en Polynésie française
Coopération scientifique et technique pour l’agriculture : accord-cadre entre le CIRAD, l’INRA et la Polynésie française
Présentation du premier concert Tu’iro’o
Mission d’assistance à la mise en œuvre de la politique forestière : convention entre la Polynésie française et l’Office National des Forêts International (ONFI) 
Comptes 2018 du régime de solidarité de la Polynésie française (RSPF)
Décision modificative n°1 du budget de l’exercice 2019 du RSPF 
Modification du budget du FAS/RSPF pour l’exercice 2019
Comptes 2018 du Régime des non-salariés, et mise en place de l’aide « Aidant Fetii » en faveur des personnes âgées et/ou handicapées
Soutien financier aux associations de santé
Subventions de fonctionnement aux associations sportives

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Économie : l’embellie se confirme en Polynésie

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L’embellie économique de la Polynésie se confirme depuis 2014. En 5 ans, la croissance est restée positive. Le PIB, indicateur mesurant la création de richesse, progresse de 2,5%, atteignant le chiffre de 616 milliards pour 2018. Il était de 593 milliards en 2017.

Comme l’an dernier, la consommation des ménages est le premier contributeur à la croissance. +2.5% en 2018 contre 2.2% en 2017, selon les économistes : “ce qui est important au niveau de la consommation des ménages, ce sont les salaires, qui sont relativement élevés, les emplois qui ont pu être maintenus, et puis les taux d’intérêt qui sont bas et qui permettent aux ménages de pouvoir investir. Chaque franc distribué en tant que salaire auprès des ménages, est redépensé dans l’économie polynésienne”, explique Nicolas Prud’homme, directeur de l’ISPF.

Mais cette croissance de la consommation des ménages n’est pas perçue par tous. Pour l’association Te Tia ara, il y a un besoin urgent de revoir la répartition des richesses : “S’il y a croissance, c’est magnifique. Mais que ça profite à tout le monde. Que tout le monde se reconnaisse dans cet essor ou dans cette vision. Mais, va voir dans les magasins : les caddies restent désespérément vides”, lance Irmine Tehei, membre de l’association.

La redistribution des richesses n’est pas prise en compte dans le PIB du pays. Il n’en reste pas moins que la masse salariale a augmenté en 2018, soit 2.6%. Le double par rapport à 2016.

Autres facteurs de la croissance, les exportations de biens et de services portées surtout par le secteur touristique. En 2018, 216 268 touristes ont visité le fenua contre 198 975 en 2017 : “Ça reste un des secteurs phares de l’économie polynésienne qui permet la création d’emploi. Donc tout le secteur est au beau fixe de part le volume de touristes depuis les 4 dernières années”, détaille le directeur de l’ISPF.

Si la fréquentation touristique se porte bien, en revanche le secteur de la perle n’est pas au beau fixe. Les économistes constatent 2,3 millions de perles exportées en moins en 2018.

Du côté des importations, les biens de consommations augmentent : +3,3% en volume. Une hausse portée notamment par les immatriculations de voitures. Elles progressent de 10% en 2018.

Enfin, les investissements ont aussi contribué à la croissance. Pour la 5e année consécutive, ils progressent. +3,9% dans le secteur privé et +6% dans le public. Des investissements portés par des taux bancaires à bas coûts mais aussi par un climat des affaires élevé comme en témoigne le président du Medef Polynésie : “Les affaires sont à la hausse donc les investissements sont à la hausse bien que les gros projets soient quand même pas encore sortis mais il y a des petits projets qui font que l’économie fonctionne et qu’on arrive à tenir l’économie. Les principaux facteurs c’est la stabilité du Pays, la stabilité politique qui permet aux entreprises de s’engager et pouvoir faire des investissements”, estime Patrick Bagur.

Si la reprise de l’activité observée depuis 2014 se poursuit et se renforce, aujourd’hui, l’attention se porte sur les grands projets annoncés par le gouvernement pour que l’embellie économique de la Polynésie continue sur un souffle nouveau.

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Un chasseur sous-marin décédé à Teahupo’o

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Mercredi soir, le JRCC Tahiti a coordonné une opération de recherche au large de Teahupo’o pour retrouver un chasseur sous-marin, parti en mer en fin d’après-midi et qui n’est pas rentré à la tombée de la nuit. Ce sont les pompiers de Vairao qui ont donné l’alerte, informés par la famille du chasseur sous-marin à 21h30.

Un important dispositif de recherche terrestre composé de pompiers et de policiers municipaux, a été engagé et renforcé de moyens de secours nautiques : embarcations et jetskis des pompiers et de la fédération polynésienne de surf.

Le JRCC Tahiti a rapidement sollicité le concours de l’hélicoptère Dauphin qui a été déclenché par le Haut-commissariat. Des plongeurs ont également pris part aux recherches.
L’hélicoptère a localisé la personne recherchée, avant de l’hélitreuiller puis de l’évacuer vers une ambulance des pompiers de Vairao, en coordination avec le SAMU PF. Le médecin arrivé sur place n’a pu que constater le décès du chasseur-sous-marin.

Cette opération à l’issue tragique est l’occasion de rappeler les conseils de prudence :

  • Ne jamais partir seul en chasse sous-marine ;
  • Eviter de sortir en mer la nuit ;
  • Informer sa famille de son départ et de son heure de retour éventuel, ainsi que des
    modalités pour déclencher les secours.

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Contrôles en mer : 113 infractions relevées sur 246 navires

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Cette année, l’accent a été mis sur les véhicules nautiques à moteur (VNM) dont les scooters des mers dont l’utilisation est croissante et suscite une attention particulière de la part des services de l’État et de la Polynésie française.

Cette campagne s’est avérée particulièrement utile et efficace : 246 navires et engins de plaisance ont été contrôlés en mer, 113 infractions ont été relevées et 17 procès-verbaux ont été rédigés.

Par rapport à l’année dernière, les points significatifs de cette campagne sont :
– les infractions relevées concernent en majorité le matériel de sécurité et le défaut de présentation de documents administratifs (titre de conduite, certificat d’immatriculation); – une baisse des infractions constatées malgré plusieurs négligences graves sur le matériel de sécurité;
– un meilleur respect de la réglementation par les voiliers, les navires de plongée sous-marine, les VNM et les navires de plaisance à moteur.

Au-delà de la vigilance permanente des acteurs de la sécurité en mer, les usagers sont appelés, avant chaque sortie en mer, à vérifier le matériel de sécurité, à consulter la météo, à informer son entourage et à se munir de moyens de communication et d’alerte (balise de détresse, VHF ou téléphone si les zones de couverture le permettent).

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Tu’iro’o : les grandes dames de la chanson polynésienne en concert à To’ata

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Posted by Maison de la Culture de Tahiti on Thursday, August 22, 2019

Ce concert est né d’un regret de la part de Heremoana Maamaatuaiahutapu, ministre de la Culture : si les artistes internationaux se succèdent dans cette grande salle de plus de 3 000 places, les artistes polynésiens de renom n’y ont pas accès si aisément. Faire face aux coûts de la salle n’est pas le seul enjeu car au-delà, c’est tout un événement qu’il faut porter : organiser la billetterie, la communication, l’accueil et le placement en salle, mais aussi payer l’orchestre… un challenge auxquels peu de nos étoiles osent se confronter.

C’est ainsi qu’est né le Tu’iro’o, un concert destiné à être organisé chaque année afin d’’offrir la scène de To’atä à ces artistes qui ont écrit l’histoire de la musique polynésienne par leur engagement, leurs voix inoubliables, et les nombreux”tubes” qu’ils ont à leur actif.

Et pour cette première édition, place aux femmes, avec la mise à l’honneur des belles voix des années 80-90. Maire Tavaearii, Maruia, Elise Tahua et les Tefafano sisters seront sur la scène de To’ata le vendredi 6 septembre.

La Maison de la Culture a par ailleurs souhaité offrir 500 tickets à des familles défavorisées et des publics ciblés via les services sociaux.

PRATIQUE :
Vendredi 6 septembre à 19 h 30
1 500 Fcfp pour les adultes
1 000 Fcfp pour les enfants de moins de 12 ans
Les places en fosse sont vendues uniquement sur place, à la caisse de TFTN. Les tribunes sont en vente en ligne sur
www.maisondelaculture.pf
Renseignements au 40 544 544 et sur Facebook

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Fermeture de l’avenue Prince Hinoï dans la nuit du lundi 26 août

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Deux voies du boulevard Pomare et de l’avenue du Prince Hinoï seront fermées de part et d’autre du terre-plein central, le lundi 26 et mardi 27 août, à partir de 20 heures et jusqu’à 2 heures du matin, afin de permettre au Service des Parcs et Jardins et de la Propreté d’entretenir les plantations du terre-plein central.

Il est recommandé aux automobilistes la plus grande prudence et le respect des consignes de sécurité aux abords du chantier.

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Préavis de grève dans l’ensemble des sites de la direction de la Santé

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L’intersyndicale CSTP-Fo, Otahi, O Oe to oe Rima et CSIP devrait déposer d’ici peu un préavis de grève “générale illimitée” sur l’ensemble des sites de la direction de la Santé en Polynésie française.

Parmi les revendications, “revoir la tarification des médicaments”, “la prise en charge des traitements des agents publics du CHPF par le Pays”, mais aussi la “télémedecine”,ou encore la reconnaissance des professions paramédicales. Beaucoup de revendications concernent également les postes isolés.

Si aucun accord n’est trouvé, la grève pourrait prendre effet mercredi à 0 heure.

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Trafic d’influence et favoritisme : Cyril Tetuanui de nouveau au tribunal

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Cyril Tetuanui aurait perçu 1 million et demi de Fcfp contre des avantages octroyés à un chef d’entreprise de Raiatea. Ces condamnations avaient été annulées par la cour de cassation en décembre dernier car les chefs de poursuite étaient mal qualifiés. L’affaire a été renvoyée devant la cour d’appel recomposée.

Ce matin, son avocat a repris les moyens de défense développés devant le tribunal correctionnel et la première cour d’appel. Selon maître François Quinquis la requalification des faits ne devrait pas aboutir à une condamnation : “La cour de cassation a effectivement estimé que les supposés existaient. Les faits reprochés à Cyril Tetuanui seraient qualifiables de corruption et non pas de trafic d’influence. Mais j’insiste sur le fait que ça ne signifie pas pour autant que l’infraction de corruption existât. (…) La corruption est bien plus difficile à démontrer, et que le trafic d’influence est finalement une infraction relativement floue. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle je ne pense pas que le parquet ait fait une erreur en première instance en poursuivant de ce chef, mais je pense que ça lui était plus facile que la sévérité, la rigueur de l’infraction, retenue par la cour de cassation. Il n’y a pas de lien de causalité parce que l’argent n’était pas du tout destiné à ce qui est reproché à Cyril Tetuanui”.

La cour d’appel rendra son arrêt le 3 octobre.

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Un premier centre technique de surf à Papara

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De nombreuses personnalités du gouvernement mais aussi du milieu sportif ont fait le déplacement sur le site de Taharuu à l’occasion de l’ouverture du centre technique du surf « Popoti ».

Posted by Direction Jeunesse et Sports on Thursday, August 22, 2019


“Taharuu, c’est le lieu du surf de Polynésie française, avec Papenoo sur la côte Est. Nous avons souhaité mieux encadrer l’activité ici, où se tient les compétitions et où les lycées viennent, en maintenant l’activité du beach soccer tout en développant des locaux qui puissent recevoir nos futurs surfeurs, leur donner des cours, leur apprendre comment agir sur l’eau, leur donner des consignes de sécurité…” a expliqué Edouard Fritch lors de l’inauguration du centre ce jeudi matin.

(Crédit photo : Présidence de la Polynésie française)
(Crédit photo : Présidence de la Polynésie française)

Conçu en concertation avec la fédération de surf et la commune de Papara, les travaux de ce centre de formation avaient débuté au premier semestre 2017. Le montant total de l’opération est de 145 770 000 Fcfp pour la construction, et de 6 millions de Fcfp pour les études, avec un financement de 80% du montant, hors taxes, par l’État, dans le cadre du Fonds Exceptionnel d’Investissement, le reste étant pris en charge par le Pays.

(Crédit photo : Présidence de la Polynésie française)

Ce centre permettra à tous les jeunes Polynésiens de se former à cette discipline dans les meilleures conditions possibles, avec pour objectif principal de professionnaliser cette pratique et faire ainsi émerger des talents qui pourront faire rayonner le Pays à travers les compétitions professionnelles internationales. La livraison de cet équipement  intervient à point nommé, puisqu’il constitue un support et un atout majeur dans la candidature de Tahiti aux Jeux Olympiques de 2024 dans cette discipline.

“La décision d’ouvrir ce centre date de 4 ans. Mais ces installations de Papara s’inscrivent malgré tout dans la volonté de la Fédération tahitienne de surf de continuer à préparer les jeunes à l’image de Bourez, Teriinatoofa… qui sont arrivés aujourd’hui au niveau international. (…) Même si les ai salués, je n’ai aucune relation avec les membres du comité olympique, je vais les laisser faire leur travail d’une façon indépendante sans les influer sur quoi que ce soit. C’est une mission spéciale, le gouvernement n’a rien à voir là-dedans” a précisé le président.

(Crédit photo : Présidence de la Polynésie française)
(Crédit photo : Présidence de la Polynésie française)

Enfin, un terrain de beach volley attenant permettra aussi de drainer vers le site tous les jeunes qui peuvent s’adonner à la pratique sportive.

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BTP : la grève se poursuit, une nouvelle rencontre prévue

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Une rencontre entre patrons et gouvernement était prévue ce jeudi à 16h30.
Au second jour de grève, le ministère de l’Equipement a dénombré 72 grévistes à la DEQ (direction de l’Equipement), tous services confondus, sur un effectif total de 741 agents. Le total de grévistes, à la direction de l’Equipement, pour la journée de mercredi était de 103.

Plus d’informations dans nos journaux ce soir. Le direct est à suivre ICI

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The Voice Kids : dans le quotidien de Natihei

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Alors qu’il était âgé de 8 ans, Natihei Ly Sing Sao, a remporté la première édition de l’émission Pakikids diffusée sur TNTV. Il n’a jamais pris un seul cours de chant et pourtant, il possède une voix impressionnante.

Natihei lors de sa victoire à Pakikids en octobre 2017.

Chez lui, Natihei est très entouré. Sa passion pour le chant lui vient de ses parents chanteurs et musiciens eux aussi. “Chanter, c’est quelque chose de naturel. Je chante depuis tout petit. J’aime beaucoup le chant. Du côté de papa, c’est plutôt les instruments, et le chant, ça vient de ma maman. Je joue du ukulele, du Kamaka, et je viens juste de prendre des cours du piano” confie le petit garçon.

Et comme il rêvait de poursuivre l’aventure, il a décidé de participer au casting de The Voice Kids à Tahiti l’année dernière. Le début d’une belle expérience : “J’ai fait le casting et j’ai été sélectionné. Après je suis allé à la grande finale au Méridien, et ensuite ils m’ont dit que j’étais sélectionné pour The Voice. J’étais vraiment surpris et très content”.

(Crédit photo : Tahiti Nui Télévision)

C’est des étoiles plein les yeux que Natihei est parti pour la métropole. Il a participé aux auditions à l’aveugle et s’est fait remarquer à seulement 9 ans. “C’était impressionnant. Quand tu regardes à la télé The Voice Kids, c’est petit. Mais quand tu vas dans la salle, c’est vraiment grand. Les coachs sont hyper gentils” confie Natihei.

Natihei, chez lui. (Crédit photo : Tahiti Nui Télévision)

Une expérience impressionnante pour le jeune prodige du fenua qui ne peut pas nous en dévoiler davantage. Il faudra attendre vendredi soir sur TNTV pour commencer à suivre son parcours dans l’émission. Une chose est sûre en tout cas, il fait la fierté de sa famille et de la Polynésie : “Sans assistance vocale, sans coach à côté de lui… il est arrivé là où il est aujourd’hui. J’étais là avec la maman juste pour l’encourager, l’encadrer, l’accompagner. On est très fiers de lui” explique son papa.

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20 Polynésiens s’engagent dans l’armée de l’air

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Ils ne piloteront peut-être pas des avions, mais ces jeunes recrues du fenua seront essentielles aux équipages de l’armée de l’air. Dès vendredi matin, la moitié du groupe quittera Tahiti pour rejoindre la métropole. Au détachement Air 190, les conseils et les premières informations des militaires sont précieux pour bien aborder ce contrat d’engagement.

“Ce n’est jamais simple, et c’est d’autant plus compliqué quand on s’en va à 18 000 kilomètres, et que le Polynésien est fondamentalement attaché à sa famille. Il faut les rassurer. Rassurer les parents, les enfants…” explique le lieutenant-colonel Didier Le Flanchec, commandant du détachement air 190

À 19 ans, Meha’i Marama a choisi de devenir contrôleur aérien. Pour y parvenir, elle rejoint l’école des sous-officiers de Rochefort. Après une formation militaire de 4 mois, elle intégrera le centre d’instruction de Mont de Marsan. La surveillance de l’espace aérien par contrôle radar nécessite du sang froid et de la réactivité. “Le fait d’être dans la tour de contrôle et d’être au contact avec les avions, c’est énorme” confie la jeune fille.

(Crédit photo : Tahiti Nui Télévision)

Depuis le début de l’année, 90 jeunes Polynésiens ont rejoint les rangs de l’armée de l’air : des sous-officiers avec un niveau bac et plus, qui ont entre 17 et moins de 30 ans, et postulent pour des des métiers à responsabilité. Et deuxième profil, des militaires du rang un des niveaux fin de 3e au baccalauréat. Leurs responsabilités évolueront au fil de leur carrière.

“Nous avons environ 3 500 recrutements par an. Aujourd’hui, le recrutement ultra-marin dont la Polynésie fait partie, représente 10% du recrutement national” précise adjudant-chef Maxime Bienfait, conseiller en recrutement au CIRFA Air.

Mécaniciens, logisticiens, conducteurs d’engin lourd… les métiers sont variés sur les bases de l’armée de l’air. Et dans un monde de plus en plus connecté, l’armée développe aussi sa cyber-défense. De quoi intéresser les spécialistes de l’informatique. “C’est pour les aider. Pour contrer tout ce qui est anti-virus, les hackers etc.” nous dit François-Henry Le Nair, 20 ans.

Avec cet engagement, les recrues signent un contrat d’au moins 5 ans.

Cette année, ils sont deux à avoir réussi le concours d’entrée de l’école d’enseignement technique de l’armée de l’air à Saintes en Charente-Maritime, ils y feront leur 1ère et Terminale. Après l’obtention du bac, ils pourront poursuivre une carrière militaire.

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Les horaires des bus pour l’Université

TNTV, premier média polynésien à passer la certification Voltaire

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En tahitien comme en français, Tahiti Nui Télévision veut s’exprimer de la meilleure manière possible. Pour le français, cela passe par la certification Voltaire : une formation puis un examen passés par plus de la moitié de la chaîne… mais aussi par des milliers d’étudiants et d’employés polynésiens chaque année.

En 2018 et 2019, les employés de Tahiti Nui Télévision ont amélioré leur maîtrise de la langue française. Pendant un an, ils ont eu librement accès en ligne au Projet Voltaire, un service de formation à l’orthographe utilisé par plusieurs milliers d’entreprises et cinq millions de personnes en France.

La moitié des employés, qu’ils soient journalistes, techniciens ou administratifs, ont même souhaité passer la certification Voltaire : une épreuve sur table, et une note sur 1000 qui détermine la maîtrise de la langue.

Ces certifications ont été remises aux employés de TNTV jeudi, par Audrey Lhies et Aimeo Hoiore, du pôle formation de la CCISM. Elles ont souligné que les plus hauts résultats figuraient parmi les meilleurs en Polynésie, aux côtés d’Air Tahiti Nui et de l’Université. Cinq employés ont même décroché une note supérieure à 900, évaluée comme un niveau « Expert » par la formation Voltaire.

La certification Voltaire est un passage obligé pour les étudiants de l’ECT et de l’UPF. Une version pour enfants de cette formation est même accessible dès la classe de CM2, et l’école Fariimata est la première en Polynésie à en faire usage.

L’avantage de cette formation interactive en ligne est qu’elle convient à tous les niveaux, et son côté ludique réconcilie avec l’orthographe ceux qui sont fâchés avec l’école.

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Pharmacies et médecins de garde du 24 au 26 août

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Médecins de garde :

Pharmacies de garde :

– Papeete
Pharmacie du Marché
Samedi de 6h à 18h
Dimanche de 6h à 12h et de 15h à 18h
Tél. : 40.42.06.77

– Faa’a
Pharmacie Tahiti-Faa’a
Samedi de 7h à 12h30 et de 14h à 19h
Dimanche de 8h à 11h
Tél. : 40.82.79.79

– Punaauia
Pharmacie Oteanui
Samedi de 6h30 à 19h30
Dimanche de 8h à 12h
Tél. : 40.85.59.00

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24 étudiants diplômés de l’École de Commerce de Tahiti

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Le programme de l’École de Commerce de Tahiti propose aux étudiants un parcours individualisé sur les trois années. La politique générale de l’École est de former des jeunes motivés pour assurer avec professionnalisme, adaptabilité et compétence, les responsabilités qui leur seront confiées dans les entreprises du Pays. Ainsi, l’engagement de l’École de Commerce de Tahiti est d’accompagner le développement commercial local et international des entreprises que nos étudiants vont intégrer.

Les 3 axes forts du cursus :

  • Un enseignement académique général et professionnel pour développer une pensée autonome, créative et opérationnelle.
  • Une pédagogie de l’action favorisant l’implication des étudiants par des missions concrètes et de nombreux stages professionnels en entreprise.
  • Une formation tournée vers l’international en immergeant les étudiants dans une entreprise ou / et en les insérant dans une université étrangère. L’ECT est par ailleurs signataire de la charte ERASMUS+.

Les résultats de la promotion 2016-2019

Les étudiants de l’ECT reçoivent à la fin de leur parcours 3 titres. Cette année, les résultats par titre sont répartis ainsi :

  • Titre professionnel de niveau III RNCP BAC+2 Attaché Commercial : 100%
  • Titre professionnel de niveau II RNCP BAC+3 Responsable de Développement Commercial : 96%
  • Diplôme de l’ECT : 79%
(Crédit photo : CCISM)

Les étudiants les plus méritants ont reçu :

  • Un billet d’avion PPT/LAX/PPT pour la major de promotion : Raitea Lucas
  • Un kit Fenua student pour chaque étudiant de l’ECT
  • Une nuit à l’Intercontinental Moorea Resort & Spa pour l’étudiant ayant effectué son meilleur stage de fin de cursus : Camille Lecomte
(Crédit photo : CCISM)

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Comment lutter contre les “fake news” ?

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“Les fake news envahissent nos réseaux sociaux. Régulièrement les internautes, mais aussi certains médias, se font prendre au piège. D’ailleurs, certaines fausses informations reviennent régulièrement. On pense, par exemple, à plusieurs annonces de cyclones ravageurs qui en fait proviennent souvent de faux sites internet d’actualité.”

Alors, comment ne pas se faire prendre au piège ?
“Quand on est un internaute, il y a plusieurs petites règles que l’on peut respecter. Tout d’abord, douter absolument de tout, faire confiance aux médias de référence, voir l’information à la source si possible, consulter les pages officielles d’institutions -qui ont un petit macaron bleu- comme celles de Météo France, de la gendarmerie ou encore du JRCC.”

Que font les réseaux sociaux finalement pour remédier au phénomène des fake news ?
“C’est un sujet qui préoccupe les géants du net et principalement Facebook, également propriétaire d’Instagram. Ce sont deux réseaux très utilisés au fenua. Dernièrement, une étude américaine a montré que Instagram est devenu un vecteur important de fausses nouvelles. Un nouvel outil va donc être mis en place très prochainement, dès la fin du mois. Les utilisateurs pourront signaler eux-mêmes une fake news en un simple clic. Ce sont ensuite des sociétés spécialisées dans la vérification d’informations qui se chargeront de valider ou non le signalement.”

C’est un processus qui semble assez long… Est-ce qu’on peut imaginer que dans quelques années, on pourra éliminer efficacement et rapidement les fake news des réseaux sociaux ?
“C’est la volonté de Facebook en tout cas qui investit énormément d’argent pour combattre les fake news. Et on espère que le développement de l’intelligence artificielle pourra aider à repérer les fausses informations avant même qu’elles ne soient signalées par les internautes.”

Et sachez que sur notre chaîne, une information donnée est une information vérifiée.

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