SANTE - Une grève a débuté mardi matin à la clinique Paofai. Le fonctionnement de l'établissement est peu perturbé, puisque selon la direction, le mouvement social mobilise en tout et pour tout... un salarié.
![Mini-grève à la clinique Paofai]( "Mini-grève à la clinique Paofai")
Un gréviste à la clinique Paofai. Ce magasinier est le seul à suivre le mouvement social proposé par O oe to oe rima, un syndicat minoritaire dans la clinique.
Il proteste contre le licenciement d'un autre salarié, un brancardier, qui est aussi délégué syndical de O oe to oe rima.
Selon la direction, ce brancardier serait sur le point d'être licencié pour avoir injurié à deux reprise un autre salarié. Mais comme c'est le cas pour tout salarié protégé, c'est l'inspecteur du travail qui prendra la décision finale.
O oe to oe rima affirme que la clinique veut licencier ce brancardier car il refuse de voir évoluer sa fiche de poste.
A tia i mua, le syndicat majoritaire à la clinique Paofai, ne s'est pas joint au mouvement de grève. Mais ce syndicat dénonce aussi les conditions de travail et le harcèlement qu'il dit constater à la clinique. Cependant, A tia i mua affirme "privilégier le dialogue avec les autorités sanitaires, au moins jusqu'à la nomination du futur ministre de la santé".
Il proteste contre le licenciement d'un autre salarié, un brancardier, qui est aussi délégué syndical de O oe to oe rima.
Selon la direction, ce brancardier serait sur le point d'être licencié pour avoir injurié à deux reprise un autre salarié. Mais comme c'est le cas pour tout salarié protégé, c'est l'inspecteur du travail qui prendra la décision finale.
O oe to oe rima affirme que la clinique veut licencier ce brancardier car il refuse de voir évoluer sa fiche de poste.
A tia i mua, le syndicat majoritaire à la clinique Paofai, ne s'est pas joint au mouvement de grève. Mais ce syndicat dénonce aussi les conditions de travail et le harcèlement qu'il dit constater à la clinique. Cependant, A tia i mua affirme "privilégier le dialogue avec les autorités sanitaires, au moins jusqu'à la nomination du futur ministre de la santé".
Mike Leyral