ENVIRONNEMENT - Samedi, l'association 193 dénonçait l'acheminement de graviers contaminés en provenance de Hao pour refaire la route de Rikitea. Ce lundi, la Présidence nie toute contamination des graviers, indiquant que ceux-ci avaient été analysés et qu'aucune trace de radioactivité y avait été décelée.

Samedi, Dans un communiqué intitulé "Dénonciation d’une manœuvre politique nuisible à la sante du peuple de Mangareva" la section de Mangareva de l’Association 193 soupçonnait la livraison de graviers "contaminés" en provenance de Hao pour refaire la route de Rikitea. Contacté par nos soins, le ministère de l'équipement nous avait assuré que ces gravats concassés provenaient de la destruction de bâtiments en béton armé et n'étaient pas pollués.
Ce lundi, la Présidence indique par communiqué que "Ces matériaux sont issus du concassage des gravats de la démolition de l’ancienne base militaire de Hao. Ils ont été analysés en 2011 par le Laboratoire d’étude et de surveillance de l’environnement (LESE), sur la proposition technique de l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN). Le LESE a conclu 'qu’aucun radionucléide d’origine artificielle n’a été détecté dans les échantillons'. Il est donc erroné de dire que ces gravats seraient contaminés".
Ce lundi, la Présidence indique par communiqué que "Ces matériaux sont issus du concassage des gravats de la démolition de l’ancienne base militaire de Hao. Ils ont été analysés en 2011 par le Laboratoire d’étude et de surveillance de l’environnement (LESE), sur la proposition technique de l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN). Le LESE a conclu 'qu’aucun radionucléide d’origine artificielle n’a été détecté dans les échantillons'. Il est donc erroné de dire que ces gravats seraient contaminés".
Rédaction Web