Le village SOS de Papara a fêté, cette année, ses 20 ans d’existence. Composé de 12 habitations, il accueille actuellement 49 enfants de 3 à 21 ans. Parfois des frères et sœurs que l’encadrement veille à ne pas séparer.

Tous ont été placés sur décision de justice, comme l’explique le directeur Xavier Le Goff : « ils ont subi des violences, des maltraitances ou ce que l’on appelle des carences, c'est-à-dire qu’ils n’ont pas eu de soins adaptés ou n’ont pas été stimulés intellectuellement. Les parents étant en telle difficulté que le juge a ordonné une mesure de placement ».
Outre les 27 personnes qui composent l’équipe éducative et celle en charge de l’administration, la structure s’appuie aussi sur huit aides familiales mais également 11 mères SOS, telle Virginie Vanaa.
« Nous restons au village cinq semaines, 24 heures sur 24. Je leur apporte du réconfort, la sécurité. Je les accompagne pour les devoirs (…) mais je ne remplace pas les parents », explique celle-ci.
Le village est toujours à la recherche de ces mères SOS comme d’aides de mécènes même s’il bénéficie du soutien financier du Pays.
D’autant que des projets de développement sont envisagés, notamment la construction d’une unité à l’extérieur du site et destinée « aux adolescents et surtout aux jeunes majeurs (…) pour leur apprendre à vivre en autonomie et préparer leur avenir », conclut Xavier Le Goff.
Outre les 27 personnes qui composent l’équipe éducative et celle en charge de l’administration, la structure s’appuie aussi sur huit aides familiales mais également 11 mères SOS, telle Virginie Vanaa.
« Nous restons au village cinq semaines, 24 heures sur 24. Je leur apporte du réconfort, la sécurité. Je les accompagne pour les devoirs (…) mais je ne remplace pas les parents », explique celle-ci.
Le village est toujours à la recherche de ces mères SOS comme d’aides de mécènes même s’il bénéficie du soutien financier du Pays.
D’autant que des projets de développement sont envisagés, notamment la construction d’une unité à l’extérieur du site et destinée « aux adolescents et surtout aux jeunes majeurs (…) pour leur apprendre à vivre en autonomie et préparer leur avenir », conclut Xavier Le Goff.
J-B. C.