ECONOMIE - Y aura-t-il un jour une cité flottante en Polynésie française ? Pourquoi pas, a répondu en substance René Bidal, mardi lors de ses voeux à la presse, mais certainement pas une île flottante indépendante. Ecoutez sa réaction dans cet article, ainsi que ses réflexions sur la loi Morin et sur les accords de Papeete.
Mike Leyral

"Le seul Etat souverain que je connaisse en Polynésie, c'est la République française". En une phrase, René Bidal a écarté toute possibilité d'enclave indépendante dans les eaux polynésiennes.
L'une des originalités des projets de cités flottantes, c'est leur souveraineté vis-à-vis des gouvernements, par philosophie mais aussi pour éviter de s'acquitter des taxes. En dehors de cet aspect politique, le haut-commissaire se dit prêt à étudier "ce sujet d'investissements économiques" :
L'une des originalités des projets de cités flottantes, c'est leur souveraineté vis-à-vis des gouvernements, par philosophie mais aussi pour éviter de s'acquitter des taxes. En dehors de cet aspect politique, le haut-commissaire se dit prêt à étudier "ce sujet d'investissements économiques" :
Lors de ses voeux à la presse, le haut-commissaire a aussi répondu à des questions sur les modifications de la loi Morin. L'une des principales demandes des associations anti-nucléaire était la suppression de la notion de risque négligeable dans cette loi. C'est peu probable, d'après René Bidal :
Sur les accords de Papeete, René Bidal a assuré, comme le Président Hollande la veille, qu'ils serait "signés avant la fin de la mandature", c'est-à-dire en avril au plus tard :
Mike Leyral