PORTRAIT - Depuis plus de 5 ans, James Doom, un Polynésien passionné de sport de combat et de self défense, pratique le Penchak Silat, un art martial indonésien. Il enseigne maintenant ce sport encore peu connu, sur le Fenua. Brandy Tevero l'a rencontré à Faa'a :
![Découvrez le Penchak Silat avec James Doom]( "Découvrez le Penchak Silat avec James Doom")
James Doom, est passionné de sport de combat et de self défense. Il pratique le Penchak Silat, un art martial indonésien, depuis 5 ans.
Il a été formé à Tahiti et en France aux côtés d'un des meilleurs instructeur dans l'hexagone, Charles Joussot.
Après son stage, James Doom a obtenu l'agrément de son maître pour pouvoir enseigner ce sport.
Ce natif de Tubuai, partage son art dans un dojo à Papeete. Au couché du soleil, il se rend à Faa'a à vélo pour une autre session d'entraînement à Saint Hilaire chez l'un de ses élèves.
Le Penchak Silat que James Doom enseigne ne ressemble plus au Penchak traditionnel. A force de pratique et de recherche, les instructeurs du monde ont apporté beaucoup de modifications. Pour certains ce sont des améliorations, d'autres parlent d'évolution.
A Tahiti, le Penchak Silat semble réservé à un public spécifique, à la recherche de moyens d'autodéfense. Contrairement à la plupart des sports de combats, il n'y a pas encore de compétition de Penchak Silat sur le Fenua ni dans le monde, en tous cas pas sous la forme enseignée par James Doom. Avec son petit groupe d'élèves, il compte quand même ancrer et développer sa passion en Polynésie.
Il a été formé à Tahiti et en France aux côtés d'un des meilleurs instructeur dans l'hexagone, Charles Joussot.
Après son stage, James Doom a obtenu l'agrément de son maître pour pouvoir enseigner ce sport.
Ce natif de Tubuai, partage son art dans un dojo à Papeete. Au couché du soleil, il se rend à Faa'a à vélo pour une autre session d'entraînement à Saint Hilaire chez l'un de ses élèves.
Le Penchak Silat que James Doom enseigne ne ressemble plus au Penchak traditionnel. A force de pratique et de recherche, les instructeurs du monde ont apporté beaucoup de modifications. Pour certains ce sont des améliorations, d'autres parlent d'évolution.
A Tahiti, le Penchak Silat semble réservé à un public spécifique, à la recherche de moyens d'autodéfense. Contrairement à la plupart des sports de combats, il n'y a pas encore de compétition de Penchak Silat sur le Fenua ni dans le monde, en tous cas pas sous la forme enseignée par James Doom. Avec son petit groupe d'élèves, il compte quand même ancrer et développer sa passion en Polynésie.
Reportage de Brandy TEVERO
