Vendredi 13 novembre à 19h55, TNTV vous propose une grande soirée dédiée à la culture polynésienne avec l’intégralité de la cinquième édition de Pina’ina’i.
Une édition 2015 sur le thème de la transmission mais qui a également rendu un vibrant hommage à Flora Devatine, initiatrice et cofondatrice de la revue Littérama'ohi et membre de l'académie tahitienne.
"Pina'ina'i, c'est un groupe qui a un but unique qui est de faire connaître la litté rature, ce qui s'écrit, se pense, en Polynésie, et de transmettre ce désir aux jeunes, en plus des mots que nous écrivons et que nous laisserons aux générations futures", a décrit cette grande dame de la culture polynésienne.
Pina’ina’i un événement qui connaît un succès grandissant puisque cette année, 700 personnes sont venues le 17 octobre dernier assister au spectacle sur le paepae a Hiro de la Maison de la culture.
Une très belle réussite pour Moana'ura Tehei’ura concepteur de Pina’ina’i et membre de l’association Littérama’ohi qui s’est attelé à la préparation et la mise en scène de l’événement depuis plus deux mois.
"Pina'ina'i, c'est un groupe qui a un but unique qui est de faire connaître la litté rature, ce qui s'écrit, se pense, en Polynésie, et de transmettre ce désir aux jeunes, en plus des mots que nous écrivons et que nous laisserons aux générations futures", a décrit cette grande dame de la culture polynésienne.
Pina’ina’i un événement qui connaît un succès grandissant puisque cette année, 700 personnes sont venues le 17 octobre dernier assister au spectacle sur le paepae a Hiro de la Maison de la culture.
Une très belle réussite pour Moana'ura Tehei’ura concepteur de Pina’ina’i et membre de l’association Littérama’ohi qui s’est attelé à la préparation et la mise en scène de l’événement depuis plus deux mois.
« Pina’ina’i, c’est le rassemblement des personnes habitées par les mots, par les textes. Des textes qui racontent qui nous sommes, nos joies, nos peines. Des textes qui, pour cette nouvelle édition, auront comme fil conducteur la transmission d’un patrimoine, d’une culture, d’une langue. 16 tableaux, 20 textes, 20 danseurs, 15 acteurs-lecteurs : le scénario est prometteur. »(Hiro’a)
Pina’ina’i 5.15 quand les mots prennent corps
Pina’ina’i 5.15 quand les mots prennent corps