ATTENTATS BRUXELLES - Le Consul de Belgique en Polynésie française se dit écœuré par les attentats qui ont touché son pays. Sur place, quelques tahitiens sont choqués par les événements, mais disent avoir confiance envers les forces armées.
Pierre REYNAL, Consul honoraire de Belgique en Polynésie française
Les attentats dont a été victime la Belgique cette semaine, et sa capitale, hier, le lundi 21 mars vers 21 heures (heure de Polynésie française), ont ému l'Europe, le monde entier et même la Polynésie française. Bien que la communauté belge ne soit pas très grande au fenua, le président du pays Edouard Fritch a tenu à lui adresser son soutien et ses condoléances. Le consul honoraire de Belgique se dit touché. Il a appris la nouvelle tard hier soir et a été très choqué.
En Belgique, quelques tahitiens le sont également. C'est le cas de Collette Raapoto Hemmelryck, qui réside depuis 25 ans en Belgique, à seulement 15 minutes de la capitale. Cette coiffeuse, originaire de Tahiti confie rester prudente, confinée chez elle. Elle garde cependant la tête haute, et dit avoir confiance envers les forces armées. "Ici, les gens continuent de vivre. Certains doivent avoir peur. Mais les gens circulent. Ils vont au magasin..."
Il y a cinq jours, dans sa commune, un terroriste était retrouvé mort, tué par un policier.
En Belgique, quelques tahitiens le sont également. C'est le cas de Collette Raapoto Hemmelryck, qui réside depuis 25 ans en Belgique, à seulement 15 minutes de la capitale. Cette coiffeuse, originaire de Tahiti confie rester prudente, confinée chez elle. Elle garde cependant la tête haute, et dit avoir confiance envers les forces armées. "Ici, les gens continuent de vivre. Certains doivent avoir peur. Mais les gens circulent. Ils vont au magasin..."
Il y a cinq jours, dans sa commune, un terroriste était retrouvé mort, tué par un policier.
Rédaction Web
