Cette année, le jour de l’an est suivi d’un long week-end et en Polynésie et ces week-ends festifs sont généralement synonyme de bringue en famille et entre amis. Des fêtes bien souvent alcoolisées.

Un dispositif renforcé a donc été mis en place par la direction de la sécurité publique et les gendarmes en collaboration avec les policiers municipaux des différentes communes pour prévenir les « troubles à l’ordre public, sanctionner l’insécurité routière et veiller au respect des mesures sanitaires« .

Dans le contexte sanitaire actuel, une attention particulière a été portée sur les regroupements dans des lieux publics et les rassemblements festifs non-autorisés. Objectif d’une telle opération, éviter une nouvelle vague de contamination.

Première étape de cette tournée, une patrouille pédestre dans la ville de Papeete avec la direction de la sécurité publique pour rappeler aux restaurateurs et hôteliers les mesures et protocoles sanitaires, ainsi que la nécessité de respecter le couvre-feu fixé exceptionnellement à 22 heures.

Arrêt ensuite sur les différents points de contrôle routier. La « sécurité routière constitue une préoccupation forte de l’Etat et du pays. »

Lors de la visite aux service de santé, les autorités ont tenu à apporter un message de soutien aux personnels soignants et à l’ensemble des acteurs du milieu hospitalier.

Et avant de rencontrer la brigade nautique de la gendarmerie, ils se sont arrêtés à la caserne des pompiers de Punaauia pour saluer l’équipe mobilisé en cette soirée de réveillon.

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Quelques restaurants ont décidé de démarrer le réveillon en début ou milieu de journée, pour que les clients aient le temps de profiter de cette journée de fête. Et pour attirer le monde, de nombreuses animations sont prévues. Une formule très appréciée des clients venus célébrer le passage à la nouvelle année nous dit Erika, employée de restaurant :  » il y a pas mal de monde, on a essayé d’ouvrir plus tôt que prévu. »

Une fois la nuit est tombée sur Papeete, la soirée suit son cours. Les rues sont désertes. Les animations continuent jusqu’au couvre-feu: « malgré l’épidémie et tout, je trouvais que c’était sympa de fêter ça avec des amis. On va bientôt rentrer chez nous et on va faire les coups de minuit à la maison.« 

Et il y a ceux qui ont préféré rester à la maison en famille et entre amis. Ils se sont retrouvés autour d’un bon repas, avec un seul mot d’ordre : faire la bringue pour fêter le passage à la nouvelle année.

A Mamao, un quartier a décidé de fêter le passage à la nouvelle année comme il se doit. Les résidents se sont cotisés pour offrir un beau feu d’artifice.

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Née ce matin à 6h48 à Pirae, Matarangi TEAMO TERERUA HATUUKU est le premier bébé de l’année 2021 du centre hospitalier de Taaone. Il mesure 45cm et pèse 2k910.

Il est le 2^ème enfant d’un couple de Fakarava.

A cette jolie petite famille des Tuamotu, TNTV présente ses félicitations.

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Il est 20 heures, aux urgences de l’hôpital de Taaone. Généralement, ce service est très sollicité pendant la nuit de la Saint-Sylvestre. Mais avec les restrictions sanitaires, à quelques heures du réveillon, la soirée est plutôt calme. Seule exception en ce début de soirée, une personne héliportée depuis Moorea suite à un accident en quad. « Cette année, c’est un peu exceptionnel avec le couvre feu » nous dit Tony Tekuataoa, médecin aux urgences du centre hospitalier de Pirae.

Une deuxième équipe doit partir vers Rikitea aux alentours de minuit, pour la 1è évacuation sanitaire de l’année: « à partir de minuit puisqu’il y a des règles aéronautiques qui font qu’on ne peut pas se poser la nuit sur certains atolls des Tuamotu et notamment des Gambier. Et là, en l’occurrence, on sera au petit matin sur Rikitea, pour récupérer une plaie d’avant bras. »

21h40, à quelques minutes du couvre-feu, les rues de la capitale se vident progressivement. Les chauffeurs de taxi comme Heiata Mapu, eux, sont en service toute la nuit: « c’est vrai que par rapport à la situation, l’activité a bien baissé mais il y a toujours des personnes qui ont besoin de nous, donc c’est pour ça qu’on est là ce soir« .

Au marché, Mama Mapu fait partie des derniers vendeurs à être encore sur place. Tous ses colliers de fleurs et ses couronnes ont été vendus. Pas de repas de fête prévu en ce 31 décembre et le lendemain, une nouvelle journée de travail se profile, elle commencera à 5 h 30 du matin. Elle estime que pour ce réveillon, la vente de couronne a bien marché malgré le couvre-feu.

L’une des seules pizzeria ouverte en ce jour de réveillon, se prépare à livrer ses 2 dernières pizzas de l’année 2020 alors que le couvre-feu démarre. Teva Ah-Min a voulu terminer l’année en beauté en travaillant et ça a payé: « ça a bien tournée. C’était la folie, ça n’a pas arrêté… les téléphones, les livraisons, les gens sur place« 

Les pompiers de Papeete étaient prêts à toute éventualité, mais à quelques minutes du passage à la nouvelle année, toujours rien à signaler.

Il n’était pas encore minuit, que déjà des feux d’artifices étaient tirés dans le quartier Vaininiore à Papeete, tout près de la caserne des pompiers de Papeete. Et comme de tradition, lorsque sonnent les douze coups de minuit, les soldats de feu mettent en marche la sirène pour un petit tour en ville. Une virée exceptionnelle qui s’est faite sur les routes désertes de la capitale.

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Médecins de garde

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Le rameur serait parti de Haumi, au sud-est de Moorea, vers 17 heures, selon nos confrères de Polynésie la 1e. Vers 22 heures, le JRCC, centre de coordination de sauvetage aéronautique et maritime, signale cette disparition à la brigade nautique de Moorea.

Les recherches démarrent alors à l’extérieur du lagon, à partir de Vaiare, un peu plus au nord. Les policiers municipaux et l’hélicoptère le Dauphin ont de leur côté ratissé le lagon entre Haumi et Maatea. Des recherches qui n’ont donné aucun résultat, elles se sont arrêtées à 2 heures, ce samedi matin.

Depuis 8 heures, la brigade nautique a repris les recherches et tente de retrouver le rameur disparu. Plusieurs bateaux couvrent une zone de recherche étendue de la passe Atiha à la plage de Temae.

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Francis Richmond vit entre Avatoru et ce que l’on appelle  » le secteur », aux abords de Tiputa, à Rangiroa. Il a érigé un poulailler à plus d’un kilomètre des habitations sur le motu familial. À Rangiroa il y a 5 éleveurs de poules pondeuses: « j‘ai un quota de 205 par an, de poussins et on tourne avec ça chaque année. »

Tous les jours Francis, récolte, nettoie et trie ses œufs par taille avant de les livrer dans les magasins, pensions de famille et restaurants du village d’Avatoru. Aux Tuamotu, les livraisons sont dépendantes de la météo et de la mer. Quand elle est agité, Francis et son employé doivent attendre que ça se calme pour livrer les œufs.

En plus du poulailler Francis s’est lancé dans l’élevage de canard et la production de poisson séché et il ne compte pas en rester là, il compte lancer d’autres projets en2021.

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La crise sanitaire, économique et sociale que vit la Polynésie depuis mars 2020 est aussi au coeur du discours du président du CESEC, pour qui il faudra mobiliser toutes les « forces vives du Pays, patrons, salariés et associations pour apporter une contribution utile à la reconstruction de notre Fenua » en apportant des « propositions concrètes » aux projets de lois qui sont soumis à la 4è institution du pays.

Retrouvez le discours d’Eugène Sommers:

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Né le 4 janvier 1932, il compte parmi ces jeunes Polynésiens qui sont partis très tôt poursuivre leur scolarité en France chez les Frères de Plöermel, puis à Aix-en-Provence pour étudier le droit.
À son retour à Tahiti, il entre en politique dès les débuts du Here Ai’a en 1965 aux côtés de John Teariki et suit Pouvana’a a O’opa dans toutes ses tournées, à partir de 1968 à son retour d’exil.
De 1967 à 1972, il siège à l’Assemblée territoriale.
En 1977, lorsque Francis Sanford devint vice-président du Conseil de gouvernement, Yannick AMARU entre au Conseil en qualité de chargé de l’Aménagement du Territoire, des Travaux publics, de l’urbanisme et de la SETIL.
Il poursuit sa carrière professionnelle au service des Affaires économiques.
Dans les années 90, il gère le service des archives du gouvernement.
En 2000, à la création de la chaîne Tahiti Nui Télévision, Yannick AMARU est nommé par Gaston FLOSSE Président du Conseil d’Administration. Il le restera jusqu’en 2004.

Informations pratiques :
Une première veillée aura lieu lundi 4 à 18h à Min Chiu. Une deuxième veillée aura lieu le mardi 5 à 18h à l’église St Paul de Mahina.Les funérailles suivront le lendemain mercredi 6 à partir de 9h à l’église St Paul de Mahina pour la levée du corps suivi d’une messe, puis l’enterrement se fera au cimetière catholique de Mahina, à la Pointe Vénus.

TNTV transmet ses sincères condoléances à son épouse et à la famille.

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Phénomène rarissime en Polynésie où règne un climat tropical, des grêlons sont tombés ce matin pendant quelques minutes à Punaauia et Paea. Les habitants pensaient qu’il s’agissait de fortes pluies provoquées par un orage, mais certains internautes ont publié des photos ou vidéos de ces petites billes de glace tombées du ciel.

La dernière fois qu’un tel phénomène était apparu, c’était en 2013 à Papeete et en 2006 à Taravao. Selon Météo France, les épisodes de grêle se produisent lors d’orage violents, au sein de cumulonimbus, mais moins de 10% de ces cumulonimbus donnent de la grêle atteignant le sol alors avec un climat comme celui de la Polynésie, c »est d’autant plus rare.

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Il est à peine 20h30, mais c’est déjà la fête dans certains quartiers de Papeete. Alertées, les patrouilles de la police municipale se rendent sur les lieux. Il s’agit d’un problème de nuisances sonores dans un quartier de Tipaerui. En cause, un attroupement d’individus alcoolisés avec une charrette boum boum qui dérange le voisinage. « On les a sermonné une première fois et on les a avisé que si on devait revenir une seconde fois, ils seraient directement verbalisés » informe Manu Lehartel, agent de Police municipale.

Les nuisances sonores sont un réel problème au fenua. Selon le code de l’environnement polynésien, il est interdit d’émettre ou de propager des bruits ou des vibrations de nature à présenter des dangers ou à causer un trouble excessif aux personnes. Cela peut tout aussi bien être de la musique, que des travaux ou encore des aboiements intempestifs.

Les communes ont fixé des horaires interdisant les nuisances sonores, généralement entre 22h et 6h du matin, mais en journée aussi les bruits excessifs peuvent être considérés comme préjudiciables.

Les personnes à l’origine de bruits qui portent atteinte à la tranquillité de leur voisinage encourent une contravention allant de 8 115 F à 53 550 F.  Ils risquent également de se faire confisquer le matériel à l’origine de l’infraction. Selon Marcelino Tehaamoana, chef de la Police Municipale de Papeete, si au départ il s’agissait de prévention « maintenant on passe directement à la saisie du matériel, comme ça, ça s’arrête direct ».

Et lorsque les bruits deviennent répétitifs, et que plusieurs contraventions sont dressées, ils passent dans la catégorie des délits. Cela peut aller jusqu’à un an de prison et plus d’un million sept cent mille francs d’amende.

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Heiura- Itea-Tetaa veut développer et encourager l’apprentissage du tahitien, elle a donc créé « Speak Tahiti – Parauparau Tahiti » en avril 2019. Depuis elle développé avec son équipe, plusieurs outils dont cet imagier en français/tahitien.

C’est l’histoire de Vai et Tama, deux jeunes enfants du fenua, qui voyagent dans le monde merveilleux des mots en tahitien. Dix thèmes lexicaux sont proposés allant de l’alphabet et des nombres, jusqu’aux termes utilisés pour les animaux. Au début c’était surtout un outil que Heiura voulait utiliser en famille: « pour moi qui lit beaucoup et qui lit avec ma fille, c’est vraiment pour partager en famille. donc c’est sur qu’un livre peut se balader dans la famille, donc c’est vraiment pour tout le monde. »

L’imagier est enrichi d’une version numérique que vous pouvez télécharger, pour que les plus petits qui ne savent pas lire puissent aussi en profiter :  » ma fille de 4 ans, elle ne sait pas lire, ce n’est pas grave, elle écoute, en fait. » Vous profiterez alors des histoires avec une ambiance musicale, des bruitages ainsi que des mots et des expressions dictés en tahitien. Tous les sons ont été enregistrés « avec des voix d’enfants, des voix d’adultes pour apprendre et écouter les mots tahitien. »

En tout 200 exemplaires ont été édités. Et seulement deux jours après sa sortie, plus d’un quart de la commande a été vendue.

Convaincue que la langue tahitienne peut se partager de manière ludique, l’équipe de Speak tahiti – Parauparau Tahiti veulent afficher leurs ambitions au-delà des frontières. L’imagier en tahitien devrait être aussi traduit en Anglais, en espagnol et en japonais.

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Selon la page Facebook de la ville de Mahina, des blocs de roche se sont détachés de la falaise alors qu’un véhicule circulait en contre-bas dans le sens Mahina-Papenoo. Les photos du 4X4 au milieu des rochers sont impressionnantes.

La conductrice du pick-up, légèrement blessée, a été conduite par les pompiers de Mahina aux urgences de l’hôpital de Taaone avec « des douleurs au bras due essentiellement au déclanchement de l’air-bag de son véhicule » précise la publication de la mairie.

La circulation a été rétablie quelques heures après, le temps de dégager la route et sécuriser la zone.

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Priscilla taille elle-même les coquillages, ramassés sur les plages de Maupiti, pas question de les commander à l’étranger. Mis à part, le fil de nylon et quelques cordelettes, le reste des matériaux utilisés dans ses créations est de source locale.

Une fois découpées, les pièces sont assemblées. Priscilla laisse faire son imagination avec une aisance déconcertante. De ce travail minutieux, va naître une magnifique parure. Ses créations sont toujours des modèles uniques:  » J’utilise mon imagination pour créer mes colliers. Et si j’ai une idée de collier pendant que je travaille sur un autre, je le dessine sur un papier, pour pouvoir le faire une fois que j’ai terminé le premier. Comme matière première, j’utilise des coquillages, des perles et des cailloux pour les penu. » 

Vannerie, bijouterie, sculpture, gravure, couture, Priscilla excelle dans plusieurs spécialités de l’artisanat. Un savoir-faire qu’elle entretient depuis l’âge de 15 ans.

L’artisanat est un travail qui a de l’avenir selon Priscilla, même si depuis le début de la crise sanitaire, les touristes se font rares: « nous avons des difficultés depuis mars. Avec le confinement et jusqu’à maintenant ils sont très peu nombreux. »

Avec ses 3 sœurs, Priscilla continue de perpétuer des gestes ancestraux, pour que cet héritage ne tombe pas dans l’oubli.

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Tout projet de calendrier démarre avec Tepoe TAPETA, chargé de clientèle. Elle est le lien direct avec les clients. Tous les éléments sont pris en compte pour établir un devis, avant le lancement de la production: « je suis là pour aider le client dans le choix du papier, dans le choix du format et même dans les couleurs si jamais il y a des couleurs spécifiques dont le client a besoin. »

Après validation du devis, la maquette est transmise au service production. Les données sont traitées pour établir le process de production approprié. L’impression est ensuite lancée sur la plus grande imprimante de l’entreprise. Ce jour-là, 3000 calendriers, en l’occurrence ceux de Tahiti nui Télévision, sont imprimés.

Selon de directeur de production Bruno Paquet, le marché local représente 100% de la production de la société STP-Multipress: « Tous les calendriers qu’on produit sont des calendriers issus du marché local. Les grandes sociétés, les grandes entreprises et même les toutes petites produisent des calendriers. On a la chance, nous, d’avoir les process pour produire des gros volumes de calendriers ou des petits volumes pour les petites sociétés, les associations. »

Les calendrier de Tahiti nui Télévision devraient être distribués dans quelques jours.

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Dans cette pâtisserie comme dans bien d’autres les préparatifs commencent au milieu de la nuit. À quelques heures de l’ouverture, on se presse en cuisine, la mise en place doit être parfaite, dans quelques heures la boutique de Lucie sera prise d’assaut : « Très très tôt le dimanche matin, à Papeete, les gens viennent au marché. En temps normal, quand c’est pour les pâtisseries c’est plutôt vers 11 heures le rush. Là je pense que ça va être ce matin, vers 8 heure et demi – 9 heures. La boutique va être pleine de clients. »

Cette année, l’épiphanie arrive plus tôt que d’habitude, 2 jours à peine après avoir vendu les dernières bûches de Noël, il faut déjà enchainer sur les galettes des rois.

Première étape pour préparer une belle galette, la pâte feuilletée. Dans cette pâtisserie du centre-ville de Papeete, elle est réalisée selon la technique du feuilletage inversé. Une technique plus facile, plus rapide et qui donne un feuilleté plus aérien.

C’est une galette locale, jusqu’à la fève. Fabriquée au fenua, elle est dissimulée dans la crème puis recouverte par une deuxième couche de pâte. Une fois les 80 galettes dorées sorties du four, direction la boutique. Et ce dimanche, il fallait se réveiller tôt pour acheter une belle galette dans les pâtisseries de Tahiti.

Les boulangeries aussi produisent des galettes mais dans des quantités plus importantes car livrées dans les commerces de l’île. Celle de Afaahiti, propose plusieurs parfums et en produit des centaines en quelques jours.

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Kahanui est le prénom le plus donné cette année aux enfants nés à l’hôpital du Taaone ou dans les cliniques de Papeete. Il a eu la faveur de plus d’une quinzaine de familles Polynésiennes.

« Kahanui – le cadeau de Dieu – arrive en tête avec 9 utilisations à l’Etat civil », indique Ramona Avaeoru Wong-Kai, responsable des affaires civiles à la mairie de Pirae. « Ensuite ce sont Ariihere et Ohana. Le constat que je fais aujourd’hui c’est que nous sommes retournés vers les prénoms tahitiens, on retrouve aussi pas mal de prénoms hawaiiens et de marquisiens comme Hakaiki ».

Même chose à Papeete, où se situent les cliniques Cardella et Paofai : « Ce qui ressort, ce sont les prénoms à consonnance forte comme les « k » chez les garçons comme chez les filles », constate Damas Raihauti, agent de l’Etat civil dans la capitale. « On a quelques Hanikea, Hawaiki, Kahanui, Kainoa ou encore Keanu. Chez les filles, à Papeete, ce sont les petites Mihiana et Victoria, ou encore Amalia. Le top 3 chez les garçon c’est Kahanui, Kainoa et Keanu ».

Pas de baby boom du confinement n’est pour l’instant constaté. Le nombre de bébés nés en Polynésie reste stable en 2020.

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Pacifique – Le navire du Pays, le Tahiti Nui, est arrivé au port de Suva, à Fidji, dimanche en début de matinée.

Conformément aux instructions reçues en amont par le chef du protocole au ministère des Affaires Etrangères de Fidji, Jiko Rasoqosoqo, et par la directrice du National Disaster Management Office (NDMO), Vasiti Soko, c’est l’équipage du navire lui-même qui a procédé au déchargement des quatre conteneurs remplis d’équipements d’urgence, de matériels humanitaires, de produits pharmaceutiques ainsi que de plusieurs cartons vestimentaires. Le National Disaster Management Office (NDMO) a réceptionné les conteneurs de dons.
« Nous sommes ici dans un esprit de solidarité et de fraternité. Nous serons aux côtés de Fidji de la même manière que nous l’avons fait avec nos frères et sœurs du Vanuatu, juste après le cyclone Pam en 2015. Nous avons également apporté notre aide à nos frères et sœurs de Vava’u à Tonga, par le passé. Nous avions fait également de même pour Niue, les îles Cook et les îles Salomon. En 2003, le navire Tahiti Nui était également présent à Labasa Vanua Levu pour les mêmes raisons », a indiqué Manuel Terai, le Délégué aux affaires internationales, européennes et du Pacifique (DAIEP), arrivé à Fidji dans le cadre de cette opération.
Le navire Tahiti Nui, après déchargement des conteneurs, procèdera au ravitaillement en carburant. Il quittera Fidji, le mardi 5 janvier, en début de soirée, pour un retour prévu sur Tahiti, le 10 janvier en fin de soirée.

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Aloha Leilani Pearl Nehenehe Tepa est le premier bébé né dans les hôpitaux hawaiiens cette année, et ses parents sont des Polynésiens.

La petite fille de 3,6 kg et de 52 cm est arrivée le 1er janvier à 00h04.

Elle est la fille de Mahana et Ariitu Tepa. Ariitu Tepa, champion de jiu jitsu brésilien a remporté plusieurs médailles d’or dans la discipline.

La maman et le bébé se portent bien. TNTV adresse ses félicitations à la famille.

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Sept victimes supplémentaires de la Covid 19 sont à déplorer entre le 1er et le 4 janvier à 08h, annoncent les autorités sanitaires.

62 nouveaux cas ont été détectés. Et 43 personnes sont actuellement hospitalisées au Taaone dans le service dédié à la Covid +. 20 sont en réanimation.

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