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Vidéo - Etudiants polynésiens en métropole : quand se loger devient compliqué

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MÉTROPOLE - Comme chaque année, ils sont des centaines d’étudiants polynésiens à poursuivre leurs études supérieures en hexagone. Eloignement, difficultés de se loger et démarches administratives compliquées : voilà à quoi ressemble le quotidien de ces jeunes tahitiens pour les premiers mois de leur installation.
Tematui est arrivé il y a plus d’un mois en hexagone et c’est pratiquement le temps qu’il lui a fallu pour trouver un logement. Pourtant ce n’est pas les visites qui ont manqué mais sans son garant sur place impossible de signer le bail de location… Sans compter la discrimination dont ils ont été victimes lui et sa maman.
"On a eu affaire à une particulière qui nous a contacté par téléphone. On a fixé un rendez-vous et quand elle a su qu'on venait de Tahiti, elle n'a pas voulu nous recevoir", raconte la maman. 
"J'étais choqué. On ne choisi pas de ne pas louer son appartement en fonction de là d'où les gens viennent", lance Tematui. 
 
C’est finalement la délégation de la Polynésie française qui lui a trouvé son logement. Et depuis septembre, il n’a plus à se soucier de l’affiliation à la sécurité sociale… "Avant, les étudiants, pour obtenir leur carte Vital, attendaient des mois voire des années. Maintenant, les étudiants polynésiens récupèrent leur numéro Insee à l'ISPF en Polynésie et lorsqu'ils viennent en métropole, ils peuvent s'affilier à la Sécurité sociale de leur lieu de résidence", explique Caroline Tang, déléguée de la Polynésie à Paris. 
 
Logements et démarches administratives réglées, ces deux amis vont pouvoir reprendre les études sereinement mais il reste une dernière problématique : s’acclimater à la vie parisienne. Pas toujours facile pour Vaiana, arrivée depuis 1 mois : "Les gens sont moins accessibles qu'à Tahiti. On a pas vraiment l'habitude. On croise des gens dans la rue, on les regarde et ils ne rendent pas vraiment le sourire. C'est dur d'être seule dans une grande ville comme ça."
 
Tematui reprend les cours ce lundi … Sa maman s’envolera ce jeudi pour le fenua… Mais elle ne laisse pas son fils tout seul, les deux amis pourront compter l’un sur l’autre pour gérer l’éloignement.
 
(Reportage Solène Boissaye )


Vidéo - La Polynésie vue par un jeune réalisateur de Hawaii

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PROMOTION - Amir Zakeri a une vision plutôt insolite des endroits qu'il visite. Le jeune réalisateur a publié une vidéo de Tahiti mêlant images de rêve et effets spéciaux.
Tahiti tourisme fait régulièrement appel à des journalistes spécialisés de la presse internationale mais aussi à des réalisateurs, blogueurs, vlogueurs pour faire la promotion de la Polynésie. 

Cette fois c'est le jeune artiste Amir Zakeri qui pose son regard sur le fenua. Une vision magique de la Polynésie exprimée dans une vidéo postée la semaine dernière sur Facebook et partagée déjà des centaines de fois. 

Amir Zakeri est basé à Hawaii et suivi par quelques 17 000 abonnés sur YouTube, près de 4 000 sur Facebook... mais surtout 181 000 abonnés instagram. 

Rédaction web 

Dimanche, on fête le cheval à Pirae

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Dimanche, on fête le cheval à Pirae
La Polynésie participera à la journée nationale du cheval. Dimanche de 8 à 14 heures à l'hippodrome de Pirae, la fédération et les clubs feront découvrir l'équitation au public. 
Au programme : balade à cheval ou à poney, démonstrations équestres.... 
Ceux qui le souhaitent pourront également s'inscrire à des stages ou dans un club pour l'année.

Vidéo - Journées du patrimoine : à la (re)découverte de la culture au Musée de Tahiti et des îles

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ÉVÉNEMENT - Vous avez jusqu'à ce dimanche soir pour profiter des journées du patrimoine au Musée de Tahiti et des îles.
S’initier, découvrir et se former ! Les journées du patrimoine, une manière de mettre au goût du jour des pratiques ancestrales souvent oubliées au travers de différents ateliers. Pour cette 35e édition, les journées s’articulent autour du thème "L’art du partage" : "C'est vrai que nous, on met beaucoup l'accent sur tout ce qui est transmission au travers des ateliers que nous proposons notamment des ateliers de confection de tapa, d'éléments de costume, on a aussi l'association faafaite qui tient des ateliers autour de la navigation traditionnelle. L'idée c'est que les polynésiens puissent venir au musée avec leurs enfants et réapprendre tout ce qui fait partie de notre patrimoine culturel", détaille Miriama Bono, directrice du Musée de Tahiti et des îles.
 
La navigation, le tressage, le battage d’écorces, la sculpture ou bien encore les visites guidées ont attisé la curiosité du jeune public, 14 ateliers, tous gratuits, et des passionnés de culture heureux de pourvoir transmettre leur savoir à qui veut :  "Chez un sculpteur il est très  important de transmettre son savoir-faire à toute personne. C'est comme ça qu'on va perpétuer la sculpture"
 
Une édition particulière puisque la salle d’exposition permanente sera fermée à l’issue de cet événement pour des travaux de rénovation. C’est donc la dernière occasion pour le public de visiter cette salle, vous avez jusqu’à demain pour profiter de toutes les activités proposées pour ces journées du patrimoine. 
(Reportage Hitiura Mervin)

Le programme ce dimanche
Vidéo - Journées du patrimoine : à la (re)découverte de la culture au Musée de Tahiti et des îles

Vidéo - Nacres : comment se déroule le transport en avion ?

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PERLICULTURE - 5 Tonnes de Nacres ont été transférées de Manihi vers Raiatea. Pour assurer ce transport particulier, un ATR d’air Tahiti a été entièrement vidé de ses sièges. La compagnie assure ponctuellement des vols Cargo entre les îles à la demande de clients.
Habituellement ce sont des passagers qui embarquent dans. Cette fois, il n’y aura que les pilotes à bord de l'ATR 72. Les 68 sièges de l’appareil sont démontés les uns après les autres pour configurer la cabine en une soute de 74 m3.  L’appareil est préparé pour transporter des nacres de Manihi vers Raiatea "Tous les ATR72 ne sont pas équipés de ce type de configuration. Nous avons deux ATR72 dans la flotte qui sont capables de faire du transport cargo", explique Thierry Caer, directeur technique. 

12 palettes peuvent être chargées dans la cabine grâce à un système de rail. Des panneaux en shoji sont aussi plaqués contre les parois de la cabine. En moins de 3h l’appareil est prêt pour le transport des marchandises. 

À Mahini, la course contre la montre a débuté. 130 000 huitres perlières sont prêtes à être chargées. Mais avant, chaque bac est pesé. Pour des raisons de sécurité, la charge marchande maximale de 5 tonnes ne doit pas être dépassée. Si le transport des nacres se fait en bateau d’une ferme à l’autre dans les atolls, pour rejoindre les îles sous le vent, l’avion est la meilleure solution, comme l'explique Tapu, perliculteur : "Par avion l'avantage c'est que les nacres arrivent en bonne santé. Presque 100% de vivants"

1h30 de vol plus tard, la précieuse cargaison est livrée sur le tarmac de Raiatea. L’heure tourne et là encore, le temps est compté afin de garantir la qualité des huîtres. "C'est la dernière ligne droite. On débarque toutes les nacres et on repart avec juste les bas vides", décrit  Roland Peni-Marae, agent de trafic.

L’acheteur, un perliculteur de Tahaa, Alfred Martin, a acheté ces huîtres pour renouveler ses stocks. Un investissement qui se chiffre à près de 10 millions de Fcfp.  À peine débarquées de l’avion, les nacres sont chargées à la chaine sur 5 bateaux. Il faut rapidement rejoindre la ferme : "C'est sûr, les nacres sont déjà sorties depuis 6 heures ce matin. Donc ça fait 6 heures qu'elles sont à sec. On sait qu'elles peuvent survivre entre 9 et 10 heures hors de l'eau"

Tout au long du trajet, les nacres sont arrosées à grand coup de saut d’eau. Une fois plongées dans le lagon de Tahaa, il ne restera plus qu’à les laisser grandir avec un objectif : la production de perle de qualité.
 
(Reportage Thomas Chabrol)

Vidéo - Une nouvelle filière forme à la communication visuelle au lycée Raapoto

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EDUCATION - Au lycée Samuel Raapoto de Arue, 22 élèves se sont inscrits en 2nde bac Pro Arts et métiers d’arts en marchandisage visuel. Cette nouvelle filière forme de futurs techniciens de la communication visuelle.
Hinatea a intégré depuis la rentrée le cursus Bac pro Arts et métiers d’arts (AMA) du lycée Samuel Raapoto. Avec ses camarades, elle participe aux journées du patrimoine pour observer l’architecture du musée de Tahiti et des îles, mais aussi les pièces des collections. Des modèles à reproduire sur papier. "J'aimerai bien être architecte. Mais architecte d'intérieur."

Le lycée Raapoto forme déjà depuis 2010 des techniciens du design avec un bac en sciences et technologies du design et des arts appliqués... Il prépare les élèves aux formations spécialisées dans la publicité, la création d’objets ou encore l’aménagement intérieur. "L'objectif en arts visuels c'est qu'ils découvrent différents domaines d'expression artistique de la peinture au modelage, à la gravure... plein de domaines. Et en histoire de l'art c'est balayer le champs artistique. Il faut qu'ils aient une connaissance culturelle pour enrichir leur pratique", explique Eric Ferret Professeur d’art visuel et d’histoire de l’art.

En bac pro Marchandisage visuel, les lycéens vont apprendre à agencer un espace pour servir l’image commerciale d’une enseigne ou d’une boutique. "Ils pourrons également travailler en grande surface, sur la partie marketing sur tout ce qui va être rayonnage, présentation de produit, événementiel également", assure Camille de Roux, professeur d'arts appliqués. 
La formation compte 22 semaines de stage. La 1ere débute en octobre .

Avec deux filières spécialisées dans les arts appliqués, le lycée Samuel Raapoto envisage d’ouvrir d’ici 3 ans un BTS Design.

(Reportage Thomas Chabrol)

Vidéo - Tearii Alpha : "Les communes ont leur rôle à jouer dans la réussite de notre Pays"

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COMMUNES – Le maire de Teva i Uta et ministre de l’Economie verte était sur le plateau du grand JT dimanche soir. L’édile est revenu sur le congrès des maires qui s’ouvre aujourd’hui dans sa commune.
Vidéo - Tearii Alpha :
Le thème du congrès des communes cette année est le statut de l’élu. Est-ce que c’est un thème qui répond à une demande ?  

Cela fait plusieurs années que l’on parle de l’évolution des compétences communales, par rapport à la répartition avec celles du Pays, et le rôle et le statut du tāvana mais aussi de l’élu municipal. C’est un débat national et c’est un débat polynésien. Je pense que pendant ce congrès nous allons bien l’aborder et proposer des préconisations pour les élus du Pays.

A quelles difficultés répondent ces préconisations ?

Je pense qu’il faut garder à l’esprit que, être maire, c’est d’abord aimer sa commune et servir sa population. Un statut ne va pas venir réorganiser tout ça. Le plus important, c’est aussi d’essayer de répondre aux préoccupations de proximité, que l’on soit compétent ou pas, la population vient nous rencontrer. L’urgence, la première réponse, c’est le tāvana qui doit essayer de la donner, même si la solution n’est pas une solution communale. Je pense qu’il faut garder cela à l’esprit. Même si le statut doit évoluer demain, il ne faut pas que l’on perde cette proximité avec notre population.

Est-ce que cette évolution est nécessaire pour vous ?

Pour faire évoluer, il faut des avancées législatives. C’est pour cette raison qu’un sénateur du Haut-Rhin, ancien ministre, vient pour faire le lien avec le grand débat national et ne pas reproduire les frustrations que nous avons connues avec le Code des communes où on a l’impression d’avoir perdu notre identité polynésienne. A nous de veiller à ce qu’il y ait bien ce lien fort avec la population. Aujourd’hui, tāvana, élu municipal, ce sont des gens qui sont reconnus dans leur commune, qui ont une proximité de vie avec leur population et qui doivent chercher à trouver une solution.

Selon vous, dans quel sens ce statut doit évoluer ?

Les six thématiques qui ont été retenues sont celles qui organiseront la réflexion sur le statut. Le plus important c’est le lien entre notre travail du quotidien, notre vie et le service que l’on va donner à la population. C’est valoriser tout ça pour que le mandat de six ans soit un mandat très fructueux et disons-le, efficace auprès de sa population.

Selon vous, est-ce que les compétences des tāvana doivent être augmentées ?

Avec le Pays que nous avons, immense en termes d’insularité, je ne vois pas comment une politique territoriale peut être efficace, s’il n’y a pas cet échelon de proximité, qui est l’échelon communal. Il faut inventer cette gouvernance. On ne demande pas forcément la compétence du Pays, il faut la partager pour qu’on ait le droit de donner la première réponse et ensuite d’attendre la solution définitive à la question posée par la population, qu’elle soit au niveau du développement, social, de l’animation, la cohésion. Les communes ont leur rôle à jouer dans la réussite de notre Pays.

Est-ce que cela implique un meilleur accompagnement du Pays et de l’Etat aux communes ?

Cela n’implique pas forcément des lois très compliquées. Une prise en compte de l’organisation territoriale de notre Pays passe par les organisations communales. Il n’y a pas de continuité territoriale dans notre Pays. La chance que l’on ait, c’est qu’il y a des communes partout avec des élus qui sont les premiers garants, concernés par la vie de leur commune.

Est-ce qu’une fiscalité communale doit être mise en place ?

Cela existe déjà. Ce sont des débats des précédents congrès, il faut la faire évoluer.

Est-ce que le Pays envisage d’augmenter sa participation au FIP (Fonds intercommunal de péréquation) ?

Ce n’est pas à moi de répondre. On va laisser le président… Laissons le gouvernement travailler sur ce sujet. Le plus important pour nous, c’est de valoriser ces hommes et ces femmes qui ont été élus par la population, qui ont fait un choix, qui maintenant doivent porter leur commune parce qu’ils aiment leur commune et qu’ils ont envie de la développer.

La majorité est importante pour les élections municipales. Est-ce que les tāvana se sont rapprochés du Tapura récemment ?

Il n’y pas de conseil unique dans notre Pays. Aujourd’hui, lorsqu’on se réunit, on met de côté nos clivages politiques et on s’intéresse à la vie de nos communes et à leur avenir. C’est ce que Cyril Tetuanui a toujours défendu et nous le remercions pour cette mandature.


24ème édition du tour Tahiti Nui : 10 équipes sur la ligne de départ

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VELO - Du mardi 18 au samedi 22 septembre, se tiendra la 24ème édition cette course, une des plus importantes au fenua. Une cinquantaine de compétiteurs de tout horizon s’affronteront sur six étapes entre Tahiti et Moorea.
24ème édition du tour Tahiti Nui : 10 équipes sur la ligne de départ
"Cela va être très dur mais on y croit. Sur le Tour Tahiti Nui, il faut être présent tous les jours, il ne faut pas se rater." Julien Buisson donne le ton de la 24ème édition du Tour Tahiti Nui. Cette course cycliste, l’une des plus importantes au fenua, se déroule du 18 au 22 septembre.

A l’occasion de la présentation des 10 équipes en lice, le maillot jaune 2017 a livré ses impressions sur la compétition. Il sait que le défi sera au rendez-vous. Une cinquantaine de compétiteurs sera sur la ligne de départ.

Parmi eux : Maxime Uriti, accompagné de son équipe du Limousin. Il y aura aussi des cyclistes chiliens et calédoniens. A noter, le retour de Taruia Krainer, Tahitien qui évolue en métropole. Il viendra renforcer l'As Fe'i Pi. Huit maillots sont en jeu. 
 

Rédaction web avec Oriano Tefau

LE DEROULE 

Mardi 18 septembre, c’est le prologue du tour à Papenoo : un contre la montre sur un circuit de trois kilomètres.

Mercredi 19 septembre, les compétiteurs s’attaqueront à l’étape la plus longue : 135 kilomètres pour un aller – retour entre la mairie de Punaauia et le PK 0 à Teahupoo.   

Jeudi 20 septembre, la 3ème étape les coureurs partiront de la mairie de Pirae pour prendre la ligne de départ devant le RSMA de Mahina. Les coureurs devront rejoindre Afaahiti en passant par le plateau et en faisant un demi-tour à la marina de Pueu. L’arrivée se tiendra à la patte d’oie du Belvédère. Distance totale : 114 kilomètres. 

Vendredi 21 septembre, la 4ème étape se disputera Moorea. 88 kilomètres avec un tour complet de l’île depuis Vaiare. Les compétiteurs continueront leur course  jusqu’au sommet du belvédère.

Samedi 22 septembre, deux étapes sont prévues le même jour. L’une de 41 kilomètres le matin avec un départ depuis la mairie de Papeete direction la côte Ouest pour un demi-tour devant la maire de Paea et une arrivée au sommet de l’Uranie.

La dernière étape se déroulera de nuit. Un circuit de 22 tour est prévu sur le front de mer soit un total de 48 km.
 







 


En un an, la fréquentation touristique a augmenté de 12,7% en Polynésie

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TOURISME - Au mois de juillet 2018, la fréquentation touristique de la Polynésie française a progresse de 12,7 % par rapport à juillet 2017.
En un an, la fréquentation touristique a augmenté de 12,7% en Polynésie
En un an, la fréquentation touristique a fortement progressé : +12,7 par rapport à juillet 2017. Cette hausse résulte d’une forte progression du nombre de touristes terrestres (+ 15 %) et d’une stabilité du nombre de touristes accueillis en hébergement flottant. La tenue des championnats du monde de pirogues et les flux touristiques additionnels liés au développement du transport aérien expliquent cette progression qui alimente à la fois l’hébergement marchand et non marchand.

Le nombre de nuitées touristiques croît de 20% en lien avec la hausse de fréquentation et celle de la durée moyenne de séjour (+ 1 jour). Depuis janvier 2018, la Polynésie française a accueilli 120 710 touristes, soit une hausse de 6,7 % par rapport à l’année précédente. La hausse résulte exclusivement de la progression des effectifs croisiéristes, le nombre de touristes terrestres restant stable. Le nombre de nuitées touristiques progresse de 12,6 % à 1 777 000 nuitées.
 
Rédaction web 

Un an de prison pour avoir aspergé sa femme d’essence

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JUSTICE – Un homme de 48 ans a été condamné, ce lundi en comparution immédiate, à un an de prison ferme pour avoir aspergé sa femme d’essence avant de menacer de mettre le feu au liquide. Cet homme, qui était déjà sous le coup d’une condamnation, a été écroué à la maison d’arrêt.
Un an de prison pour avoir aspergé sa femme d’essence
Le 5 août, de retour d’un repas arrosé où il avait bu 5 litres de bière et 2 de vin,  le quadragénaire avait eu une altercation avec sa femme à leur domicile de Pirae. Il s’est alors saisi d’un jerricane d’essence pour verser le liquide inflammable sur le torse et les jambes de la victime.

Puis il a saisi à briquet et lui a lancé : "je vais te brûler." Fort heureusement, l’homme n’est pas passé à l’acte. Mais sa compagne est très choquée. "Je me voyais brûler. Je n’ai rien compris à ce qu’il lui a pris", a-t-elle témoigné auprès des enquêteurs.

Circonstance aggravante, le quadragénaire était sous le coup d’une condamnation d’un an de prison mais avait était placé à domicile par le juge d’application des peines.

"Il ne s’explique pas lui-même son geste. Il n’a jamais eu l’intention de la brûler", a plaidé son avocate.

Outre la peine de prison, le mari devra verser 300 000 francs de dommages et intérêts à son épouse au titre du préjudice moral.

J-B. C. 

Pirae : une opération de nettoyage à l’échelle de la commune

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ENVIRONNEMENT – Ce lundi, la commune a lancé la première édition de son opération de nettoyage des quartiers. Plus de 30 mètres cube ont été collectés.
Pirae : une opération de nettoyage à l’échelle de la commune
Une quarantaine de bénévoles s’est mobilisée pour la première édition de Pirae Oire Ma. Dans le cadre de ce programme d’actions, plusieurs opérations en faveur de l’environnement sont organisées comme "Je débarrasse et nettoie mon quartier", qui avait lieu ce lundi.

Après plusieurs heures de nettoyage, quatre bennes de 30 mètres cube se sont remplies d’encombrants de classe III : plastiques, ferrailles et électroménager. Cette opération vient compléter les temps de collectes mensuels des encombrants.
"Je débarrasse et nettoie mon quartier" continue toute cette semaine de 8 h à 12 heures.

PRATIQUE
 
L’opération continue toute cette semaine de 8h00 à 12h00. Renseignements auprès de la cellule à l’usager au 40 50 80 73 ou au 87 72 11 57 / 87 72 81 07. 

Pour les quartiers prioritaires (voir les secteurs mentionnés ci-après), cette opération est couplée du nettoyage des quartiers avec les associations et bénévoles du quartier.

Les secteurs concernés sont programmés sur la semaine avec un jour, un secteur de 8 h à 12 heures : 
- mardi 18 septembre : Cité Ouvrière et la vallée de Hamuta (Vaipahu, Plateaux, Coteaux, Walker);
- mercredi 19 septembre : Fautaua Val ; Taporo ; Tapotapo ; Chalets De Pater ; Rue Paul Berniere ; Rafea ; Pirae Uta et Timiona;
- jeudi 20 septembre : Taaone Afarerii, Atimaro, Graffe, Laroche;
- vendredi 21 septembre : Taute Tefaatau Gadiot, Temarii ; Matatevai, Fare va’a. 

Tous les administrés de Pirae (hors commerces) pourront déposer leurs encombrants, triés, dans les bennes disposées de 8 h à 12 heures uniquement les jours suivants :
- mardi 18 Septembre : parking du terrain Vaipahu – Vallée de Hamuta ;
- mercredi 19 Septembre : parking de la Maison des jeunes de Pater ;
- jeudi 20 Septembre : parking du Complexe Pirae Volley Club – Sur la plaine ; 
- vendredi 21 Septembre : terrain communal de Matatevai avant le complexe sportif de l’OPT. 




 

En 2019, les surfeuses gagneront autant que les surfeurs

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SURF - La World Surf League (WSL), organisatrice du circuit professionnel mondial de surf, a décidé d'instituer l'égalité des primes de résultats entre femmes et hommes, à partir de 2019.
En 2019, les surfeuses gagneront autant que les surfeurs
Bonne nouvelle dans le milieu du surf professionnel : dès 2019, les surfeuses obtiendront les mêmes primes que les hommes. "Cette décision est simplement la bonne décision à prendre (...) Nous voulons être en première ligne pour pousser à l'égalité dans tous les domaines de la vie" a commenté fièrement Sophie Goldschmidt, la directrice générale de la World Surf League, qui se présente aujourd'hui comme la première ligue professionnelle établie aux États-Unis à promouvoir l'égalité salariale entre ses sportifs et sportives. En effet, dans d'autres pays, d'autres sports professionnels ont déjà instauré une égalité salariale entre les hommes et les femmes, comme la Norvège pour les équipes nationales de football, et la France pour les équipes de handball.

>>> Lire aussi : Teahupoo Arii Horue : un festival de surf à Tahiti

Pour rappel, en 2018, la dotation globale du circuit masculin de surf était de 607 800 dollars (environ 62 101 258 Fcfp), avec 36 surfeurs en lice, et de 303 900 dollars (environ 31 050 629 Fcfp) pour le circuit féminin, avec 18 sportives admises.


> Une belle avancée saluée par Kelly Slater et Stéphanie Gilmore
Cette décision de la WSL a été saluée par de nombreux surfeurs et surfeuses. Notamment l'Américain Kelly Slater sacré onze fois Champion du monde : "Les surfeuses du circuit mondial méritent cette réforme, je suis si fier que le surf ait choisi de donner l'exemple dans le sport pour l'égalité et la justice".

>>> Lire aussi : Vidéo - Le surf traditionnel en démonstration

L'Australienne Stéphanie Gilmore, sextuple Champion du monde de surf et qui fera ses débuts olympiques en 2020 à Tokyo a également commenté l'annonce sur son compte Instagram : "Comme toutes les femmes athlètes, lorsque vous êtes en compétition, vous êtes focalisées uniquement sur la victoire. La différence de prime entre les hommes et les femmes ne traverse pas votre esprit à ce moment-là. (...) Aujourd’hui, je suis très fière d’être une femme qui surfe. (...) Parce que ce n’est pas juste du surf ou un sport, c’est le combat des femmes pour l’égalité. Et il est partout." D'autres surfeuses ont réagi sur les réseaux sociaux avec le hashtag #CatchThisWave (« Prends cette vague ») telles que Lakey PetersonSally Fitzgibbons, Coco Ho, Carissa Moore ou encore Pacha Light.


 

Voir cette publication sur Instagram

Like every female athlete, when you are out there competing, your only focus is on winning. The difference in prize money between men and women never crosses your mind in the heat of competition - you are too busy going all out. Today is a very proud day for me. I’m proud to be a surfer. Proud to be a female surfer. I feel like the momentum in our society to have this conversation is incredible — because it’s not just in surfing, or in sport, that women are fighting for equality. It’s everywhere. And for this announcement to come now, and for it to happen during my career. Thank you @wsl Nelson Mandela once said, “Sport has the power to change the world.” #CatchThisWave #EqualByNature #makewavesmovemountains

Une publication partagée par Stephanie Gilmore (@stephaniegilmore) le



Rédaction web

Le nombre de consultations en hausse pour la grippe en Polynésie

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SANTE - Le dernier bulletin de la Veille sanitaire souligne une augmentation des consultations pour la grippe et une hausse des cas de diarrhée.
Le nombre de consultations en hausse pour la grippe en Polynésie
Selon le dernier bulletin de la Veille sanitaire, le nombre de consultations pour la grippe est en hausse. 109 cas ont été rapportés : 63 en semaine 35 et 46 en semaine 36. 

Les autorités sanitaires recommandent de :

- Tenir les personnes fragiles (âgées, en ALD = carnet rouge, obèses, femmes enceintes) à distance des personnes malades
- Dans les lieux publics, à proximité d’une personne visiblement malade, se détourner si elle tousse ou éternue
- Eternuer dans sa manche ou en se couvrant la bouche avec un mouchoir
- Se moucher dans un mouchoir à usage unique, puis le jeter à la poubelle
- Se laver les mains fréquemment, notamment après avoir éternué ou s’être mouché, et après être passé par des lieux très
fréquentés (bus, salle d’attente…)

Autre augmentation : celle du nombre de cas de diarrhée : 31 cas ont été rapportés en semaine 35 et 50 cas en semaine 36 dont 22,7 % d’enfants de moins de 4 ans. 

Il est recommandé :

- lavage des mains fréquent, et notamment après être allé aux toilettes.
- dans l’entourage d’une personne malade, nettoyage et désinfection des toilettes et des poignées de portes chaque jour.
- en cas diarrhées et/ou vomissements, réhydrater la personne et consultez un médecin.
 

Rédaction web 

Consultez le bulletin de Veille sanitaire en intégralité ici : 

Vigilance jaune en cours sur Tahiti et Moorea

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Vigilance jaune en cours sur Tahiti et Moorea
Ciel gris, passages pluvieux, mer agitée... le mauvais temps va gagner peu à peu tout le territoire durant les prochains jours.

Un temps perturbé s'installe en ce début de semaine sur Tahiti et Moorea avec de fortes pluies qui sont attendues. La vigilance jaune a été activée aujourd'hui : soyez attentifs, si vous pratiquez des activités sensibles au risque météorologique. Des phénomènes habituels dans la région, mais occasionnellement dangereux (ex: temps modérément pluvieux, averses localement fortes, vent soutenu avec rafales) sont en effet prévus.

Retour du Mara'amu des Australes aux îles de la Société.

Plus d'infos sur meteo.pf

L’instituteur retraité mis en examen pour des agressions sexuelles écroué

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JUSTICE- L’instituteur retraité mis en examen mercredi dernier pour des atteintes sexuelles sur quatre jeunes adolescents sur un atoll isolé des Tuamotu a été présenté ce lundi matin au juge des libertés et de la détention. Le magistrat a ordonné son incarcération pour la suite de l’enquête.
L’instituteur retraité mis en examen pour des agressions sexuelles écroué
L’ex-instituteur de 65 ans a reconnu les faits au cours de sa garde à vue mais il a assuré que les rapports étaient consentis.

Pour éviter la détention provisoire, l’homme a demandé à être placé sous bracelet électronique. Sauf que sa belle-sœur, un temps pressentie pour l’accueillir, a finalement refusé de l’héberger.

Le sexagénaire a donc été écroué à la maison d’arrêt de Faa’a. Et ce d’autant que l’expert psychiatre qui s’est entretenu avec lui a dit craindre un risque de récidive, l’homme ayant une très forte attirance pour les jeunes garçons. Une opinion que ne partage pas son avocate selon qui il n’est pas un prédateur sexuel : "C’est un dossier qui est plus complexe qu’il n’y parait (…) Il n’a pas contraint ces mineurs à avoir des relations sexuelles avec lui (…) La question du consentement fait l’objet de beaucoup de débat en ce moment (…) Est-ce que l’on peut consentir quand on a 14 ans à un acte sexuel ? La question reste ouverte ", a déclaré Me Sandra Boulleret.

L’enquête se poursuit.

J-B. C. 


Au 16 septembre 2018, la route a fait autant de victimes que sur toute l'année 2017 en Polynésie

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SÉCURITÉ - En 2017, on comptabilisait 24 morts sur les routes. Un chiffre déjà atteint en septembre de cette année.
Avec l'accident survenu dans la nuit de vendredi à Mamao  et celui survenu le lendemain soir à Papenoo, le bilan passe de 22 à 24 morts sur les routes polynésienne pour l'année 2018, alors que nous ne sommes qu'au mois de septembre.
Pour rappel, en 2017, on comptabilisait un total de 24 morts sur les routes sur toute l'année...

En mai, 18 personnes avaient déjà perdu la vie sur les routes du fenua. Le haut-commissaire René Bidal et le procureur de la République avaient annoncé un renforcement des sanctions pour les délinquants routiers. 

En juin, le capitaine Vigneux en charge de la sécurité routière en Polynésie, rappelait également l’importance de marteler les messages de prévention auprès des jeunes : "Comme cela, ça devient tout à fait naturel et ils prennent conscience des risques de la route."

En août, les autorités ont décidé de s'attaquer au cas des deux roues. Une nouvelle loi applicable en Polynésie permet désormais de lutter contre les comportements dangereux notamment lors de "runs". 
Rédaction web 

29ème congrès des maires : la "crise de vocation des élus locaux" au cœur des débats

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COMMUNES – Organisée par le Syndicat pour la promotion des communes de Polynésie française, cette réunion annuelle des maires s’est ouverte ce lundi à Teva i Uta. Les élus des cinq archipels vont orienter leur débat sur leurs compétences, leurs fonctions et leur avenir. Tout un programme.
29ème congrès des maires : la
Quel avenir pour les maires et leurs élus de Polynésie française ? Quelles fonctions doivent-ils assumer ? Surtout, comment faire pour continuer à avoir des candidats aux élections municipales ? C’est autour de ces différentes questions que sont réunis les maires de toutes les communes de Polynésie françaises adhérentes au Syndicat pour la promotion des communes (SPCPF), tout au long de cette semaine à Teva-i-Uta.

A l’occasion du congrès annuel des maires, le SPCPF a décidé d’orienter les débats sur le statut de l’élu. Une thématique qui s’inscrit au cœur de l’actualité puisqu’une réforme du statut est en préparation par le gouvernement central.

"Nous sommes sollicités pour tout"

Pour beaucoup, le siège de maire, d’adjoint ou même de conseiller municipal fait de moins en moins rêver. Frédérix Teriiatetoofa, élu de Tikehau, a longtemps été maire délégué de la commune. Aujourd’hui, il n’est que conseiller. Mais les choses n’ont pas beaucoup changé selon lui. Il indique : "Dans les Tuamotu, les élus sont sollicités 24 h sur 24. Nous sommes sollicités pour tout. L’élu est une boîte à réponse…"

Même constat du côté de Maupiti. Selon Woullingson Raufauore, l’édile, le maire est sur tous les fronts. L’édile le sait : être maire conduit parfois devant le tribunal. Le premier élu de Maupiti regrette : "Parfois, nous n’avons pas les moyens pour faire face : moyens financiers, personnels… Nous devons prendre des décisions dans l’urgence sans consulter untel et untel. J’espère que nous allons sortir grandit de ce congrès."

"Il faut qu'il y ait encore des gens qui soient prêts à s'engager" 

Le Sénat a lancé une réflexion autour du statut de l’élu. Un questionnaire a été envoyé à tous les édiles de France pour recueillir leurs idées et leurs doléances. 17 000 réponses ont été adressées au groupe de travail. Jean-Marie Bockel, sénateur du Haut-Rhin et président de la délégation aux collectivités locales du Sénat, est en Polynésie dans le cadre de cette mission de travail.

Le sénateur va assister au débat de ce congrès des maires. Il explique : "On constate depuis quelques années, une crise de vocation des élus locaux qui s’est accélérée avec cette multiplication de lois, ces problèmes, ces contradictions et la baisse des dotations… Le président du Sénat, Gérard Larcher, m’a demandé d’engager un travail de fond sur les réponses que nous pouvons proposer pour améliorer la situation des élus. Aux prochaines élections municipales, il faut qu’il y ait encore des gens qui soient prêt à s’engager..."

> Une indemnité à revoir

En Polynésie ou ailleurs en France, tous les maires s’accordent sur l’urgence à réformer le statut de l’élu. Parmi les choses à revoir : l’indemnité. Woulingson Raufauore souligne : "Par exemple, un maire, par rapport à un représentant à l’APF (Assemblée de Polynésie française NDLR), ne touche pas les mêmes indemnités et pourtant, il a plus de responsabilités en tant que premier magistrat. Il y une inégalité dans ce sens-là…"

Tous ces points seront débattus jusqu’à vendredi. Les réponses apportées par le groupe de travail du Sénat devraient être connues dans les prochains jours. Cela permettre d’esquisser les contours du futur statut de l’élu. Jean-Marie Bockel rappelle cependant : "On peut avancer très vite sans même faire de nouvelles lois. Mais maintenant c’est le gouvernement qui a la main…"

 
Rédaction web avec Laure Philiber et Jeanne Tinorua-Tehuritaua 

Relaxe générale pour l’OPT dans l’affaire de tromperie

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JUSTICE - Vini et sa maison mère étaient poursuivis au tribunal correctionnel pour tromperie et tentative de tromperie concernant la fourniture d’accès à Internet dans les îles éloignées.
Relaxe générale pour l’OPT dans l’affaire de tromperie
Le tribunal a ordonné la relaxe générale pour l’OPT. Vini et sa maison mère étaient devant la justice à la fin du mois d’août pour tromperie et tentative de tromperie concernant la fourniture d’accès à Internet dans les îles éloignées.

Cette affaire est née à la suite à de plaintes déposées par des professionnels de Rangiroa et des Marquises auprès de la Direction générale des affaires économiques (DGAE) en août 2014. Tous dénonçaient un débit très faible contrairement à ce que promettait leur forfait. Un agent de la DGAE avait alors mené une enquête. Selon lui, la tromperie était constituée.

Le tribunal en a jugé autrement. Ce mardi, il a prononcé la relaxe générale dans cette affaire pour défaut d’élément légal car la tromperie n’est pas prévue par les textes de répression en Polynésie française. L’OPT est aussi relaxé du chef de publicité mensongère.

Diffamation : Geffry Salmon écope d’une amende de 500 000 francs

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JUSTICE – Le tribunal a estimé que les déclarations de l’ancienne tête de liste du Tahoeraa Huiraatira aux élections territoriales ont porté atteinte au président de la Polynésie française, Edouard Fritch.
Diffamation : Geffry Salmon écope d’une amende de 500 000 francs
Geffry Salmon devra verser 500 000 francs d’amende et 200 000 francs de dommages et intérêts pour diffamation envers Edouard Fritch, président de la Polynésie française.

Entre les deux tours des élections territoriales, Geffry Salmon, tête de liste du Tahoera’a, avait tenu une conférence de presse au cours de laquelle il avait "dénoncé" le versement de subventions et d’aides en matériaux à la population par l’exécutif. Pour Edouard Fritch, tête de liste du Tapura Huira’atira, ces propos constituaient une diffamation. L’avocat d’Edouard Fritch avait sollicité 2 millions de francs de dommages et intérêts.

Le tribunal a estimé que les déclarations de Geffy Salmon ont bien porté atteinte à Edouard Fritch et que ses propos avaient pour dessein "de tenter d’influencer la campagne électorale", qu’il avait cherché "à tromper les électeurs". Enfin, les juges ont indiqué que le préjudice moral pour le président du Pays était "significatif".

Lucifer, votre nouvelle série du jeudi soir !

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Jeudi 20 septembre à 19h40, Lucifer débarque sur le petit écran du Fenua avec la saison 1, et croyez nous lorsqu'on vous dit que désormais, vos jeudis soirs son calés d'avance ...
Lucifer, votre nouvelle série du jeudi soir !
Lucifer, saison 1 (synopsis)
Lucifer, qui a décidé de prendre « congés » de son royaume des enfers, arrive sur Terre. Il est devenu propriétaire d'une boîte de nuit nommé le Lux et se fait appeler Lucifer Morningstar. C'est un séducteur. L'une de ses conquêtes, Delilah, arrive au Lux pour le retrouver, mais se fait tuer. Lucifer décide d'enquêter. C'est ainsi qu'il fait la connaissance de Chloe Decker, lieutenant enquêtant sur la mort de Delilah. Il va vite s'apercevoir qu'avec elle, son charme n'est pas si opérant. De ce fait, il va tout faire pour comprendre pourquoi il ne peut la séduire aussi facilement qu'une autre femme, allant jusqu'à devenir son coéquipier au sein de la police, lors de ses enquêtes.

19h40 - Épisode 1 : Au commencement
Lucifer a quitté les Enfers et profite de sa nouvelle vie à Los Angeles. Il est l'heureux propriétaire d'une boîte de nuit, le Lux. L'ange Amenadiel vient le trouver pour le ramener à la raison, mais il refuse de redevenir le seigneur des ténèbres. Lorsqu'une amie proche, Delilah, une star de la chanson, est assassinée sous ses yeux, il décide de collaborer avec le lieutenant de police Chloe Decker qui est chargée de l'enquête. Contrairement à toutes les autres femmes, elle semble parfaitement insensible à son charme.

20h25 - Épisode 2 : Lucifer, à la niche !
Quand le fils d'une star de cinéma est tué après avoir été pourchassé par des paparazzi, Chloe se penche sérieusement sur l'affaire avec l'aide de Lucifer. Pendant ce temps, Maze et Amenadiel continuent d'encourager Lucifer de retourner en Enfer

Lucifer, saison 1
2 nouveaux épisodes tous les jeudis à 19h40


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