Cette compétition qui avait lieu samedi toute la journée clôture ainsi le championnat 3 Mouvements de la saison 2019. Plusieurs catégories en fonction de leur nature (novice ou confirmé), de leurs poids ou de leurs sexes se sont affrontées.
Beaucoup d’entre eux étaient seuls dans leurs catégories, mais tout aussi méritants, notamment avec les novices, qui terminent aussi champions toutes catégories confondues, par rapport à leurs classements : novice femme (Minouche Robson en -72 kg) et novice sub-junior (Andrew Uuru en -74 kg, 14 ans seulement).
Toujours en catégorie novice, des nouveaux clubs comme Hotu Shape ou des anciens comme Manu Ura, se sont inscrits sans vraiment maîtriser toutes les techniques des 3 mouvements, mais de part leur force, ils ont su démontrer de bons résultats. Kaianui Mare de Manu Ura l’emporte en -93 kg, et est le champion novice en senior.
Chez les confirmés, on retiendra la participation d’une seule femme, Mahei Tchang, déjà très reconnue dans le milieu, et donc championne toute catégorie en confirmé femme.
Puis il y a eu des performances très impressionnantes, notamment avec des athlètes médaillés au dernier Jeux du Pacifique comme Miguel Hopuetai (en -105 kg) et François Lantereis (en +120 kg), ainsi que Kévin Boukansan (en -120 kg), chacun dans leurs catégories respectives.
En champions toutes catégories: Miguel l’emporte en confirmé senior homme, et Andy Faremiro en confirmé master homme.
Les résultats de la compétition de la Fédération Polynésienne d’Haltérophilie, de Musculations et Disciplines Associées du 19 octobre :
C’est la 18ème fois que le salon des Australes est organisé à Tahiti. Comment se profile cette nouvelle édition ? “Samedi matin, nous avions notre dernière réunion pour donner les consignes avant la préparation de l’ouverture du salon 2019.”
Un point important notamment sur la décoration du hall de l’Assemblée dans le cadre de ce salon, c’est une première cette année ? “Exactement. Cette année, le thème qu’on a gardé vient de l’île de Raivavae : “Valoriser les bienfaits de la terre et de la mer”, toujours en travaillant dans l’artisanat. Et le premier concours qu’on lance à partir de lundi 21 octobre, c’est la décoration, qui va durer deux semaines. Les fédérations devront montrer leur savoir-faire, à partir du thème que l’on a donné cette année.”
Comment cela va se traduire concrètement ? Les produits qui sont confectionnés doivent être adaptés au thème retenu ? “Tous les concours cette année sont adaptés suivant le thème, ainsi que les produits.”
On parle de cinq îles de l’archipel des Australes, qui participent à cette exposition. On imagine que c’est un travail laborieux de faire venir autant d’artisans et surtout de marchandises jusqu’à Tahiti ? “On travaille toujours un an à l’avance. (…) C’est une île, un container… Il y aussi les demandes à faire au niveau du transport aérien et maritime. (…)”
Ils sont toujours aussi nombreux à vouloir participer à cette exposition ? Les jeunes aussi se lancent dans la pratique de l’artisanat ? “Plus les années passent et plus les jeunes viennent et s’intéressent à l’artisanat. Il y a 70 exposants cette année et chaque île a ramené ses jeunes. On espère augmenter encore le nombre de jeunes l’année prochaine.”
Avez-vous changé votre façon de confectionner les produits en les adaptant éventuellement à ce qui se fait aujourd’hui ? “Comme on dit chez nous, les Australes inventent tout : paniers, chapeaux, peue, couronnes… Il y en a de toutes les couleurs. Vous n’allez pas le regretter. Rendez-vous lundi à 10 heures pour l’ouverture. (…) Et nous fermerons le dimanche 3 novembre à 17 heures.”
Cinq dossiers seront examinés par les jurés tirés au sort, durant les deux semaines que dureront les audiences. Une session qui sera uniquement consacrée à des crimes sexuels.
Les 5 hommes qui comparaîtront sont en effet accusés de viol sur des mineurs, dont, dans certains cas, par ascendant. Les procès pourraient donc se dérouler à huis-clos dans la grande salle d’audience.
On vous l’annonçait en août dernier : le navire de croisière Paul Gauguin a été racheté par la société propriété du milliardaire français François Pinault et le groupe Artémis : Ponant. Vendredi 18 octobre, Nicole Bouteau rencontrait les représentants de la compagnie de croisière.
Paul Gauguin Cruises est la propriété depuis dix ans du groupe hôtelier Pacific Beachcomber. Dans le cadre de cette acquisition, les deux compagnies conservent leur identité propre. Les structures en place aux États-Unis ne sont pas modifiées : Diane Moore, directrice générale de Paul Gauguin Cruises continuera de piloter son équipe à Seattle. L’équipe basée à Tahiti sera également maintenue.
Cette collaboration permettra aux passagers des deux compagnies de choisir leur croisière parmi une palette de destinations emblématiques toujours plus riche. Les deux compagnies disent “partager la même philosophie, des valeurs identiques et une excellente maîtrise opérationnelle”. La ministre s’est réjouie de cette synergie entre les deux croisiéristes qui ouvre des perspectives prometteuses. Deux autres navires de croisières devraient rejoindre le Paul Gauguin au sein de la compagnie Paul Gauguin Cruises. Ces navires opéreront des croisières intra-Pacifique depuis Papeete et Fidji.
Paul Gauguin Cruises rejoint le leader mondial de la croisière d’expédition de luxe, Le Ponant.Hier, je me suis…
La société marseillaise, Ponant, créée en 1988 par des officiers de la marine marchande, est le seul croisiériste à battre pavillon français. La compagnie a créé un nouveau style de croisières, la croisière d’expédition, permettant aux passagers d’accéder à des territoires exceptionnels à bord de yachts de luxe. La compagnie est à la tête d’une flotte de neuf navires. Trois nouveaux bateaux sont en commande.
Cette société a multiplié son activité par cinq depuis 2014. Ponantajoute donc une nouvelle société ainsi qu’une nouvelle marque à son panel. D’ici l’horizon 2021, la compagnie française, propriété de la famille Pinault et du groupe Artémis, disposera d’une flotte d’expédition de la gamme Explorerainsi que du très attendu navire d’exploration polaire, le Commandant Charcot. Le navire disposera des dernières technologies en matière de respect de l’environnement et d’un laboratoire destiné à la recherche scientifique pour des missions d’océanographie de recherche ou opérationnelle. Il sera le premier navire d’exploration à aller au-delà des normes écologiques prévues par la réglementation internationale. Hybride électrique, il sera propulsé au gaz naturel liquéfié (GNL).
La compagnie du Ponant a créé en 2018 une fondation avec pour objectif de préserver les océans et les pôles ainsi que de favoriser les échanges entre les peuples autochtones. Les deux compagnies célébreront cette alliance, le 25 octobre prochain, dans le port de Papeete, en présence du navire Le Boreal de Ponant qui sera également à quai.
Organisé par Tahiti Tourisme de février à août 2019,“J’embellis ma commune” est un concours annuel sur le thème de l’embellissement des voies publiques ou tout autre lieu public ou d‘accès facile. Il permet aux municipalités par le biais d’associations volontaires d’embellir les espaces publics, avec la mise en valeur de sites dédiés, ou pouvant l’être, au développement d’activités touristique.
Et c’est la pieuvre de Haapu qui a retenu toute l’attention du jury cette année. L’association A rohi no te Tama no Haapu a souhaité faire revivre une de ses légendes. “Pour ce concours, nous avons choisi de reconstituer la pieuvre de Haapu. Lorsque vous montez sur le mont Pahitirere, vous pouvez apercevoir la forme de la pieuvre dans le lagon. Elle a toute une histoire. À Huahine, pour tous les concours, nous mettons toujours en avant les légendes de notre île. Chaque île a son histoire” explique Claude Chong, maire délégué de Haapu.
(Crédit photo : Tahiti Nui Télévision)
L’association a remporté deux prix. Une récompense méritée : les membres de cette association ont mis tout leur cœur et leur temps à l’aménagement du site. “On doit poursuivre nos efforts. J’ai dit au tavana qu’on n’allait pas arrêter. On va toujours travailler pour embellir notre commune” nous dit Alexandre Tehio, habitant de Haapu.
Plus qu’un concours, pour les 13 associations de l’île participantes au concours cette année, cette initiative est un bon moyen pour rendre Huahine plus attrayante pour ses habitants et les visiteurs. En effet, le tourisme prend une place importante dans l’économie de l’île. “Que ce soit les habitants ou les touristes, lorsque vous faites le tour de l’île, tous ces sites sont en bord de route. C’est agréable depuis que le site a été nettoyé et aménagé. Les visiteurs sont de plus en plus nombreux à venir ici, et ils s’arrêtent pour admirer ou même déjeuner sur place” précise Claude Chong.
(Crédit photo : Tahiti Nui Télévision)
A rohi no te Tama no Haapu a remporté un chèque de 150 000 Fcfp pour le premier prix des îles Sous-le-Vent, et un autre de 200 000 Fcfp pour la deuxième place du grand prix.
Les lauréats de cette 5ème édition ont été récompensés comme suit :
Kassav’, qui donnait un concert place To’ata vendredi soir, devait repartir ce dimanche matin pour Tokyo, ayant un concert de prévu lundi 21 octobre (soit dimanche soir pour Tahiti). Mais leur vol Air Tahiti Nui ayant été retardé à lundi 1 heure du matin, le groupe a dû l’annuler, sans pouvoir le reprogrammer.
Suite à l’annulation du vol Papeete/Tokyo du 20 octobre, nous sommes contraints d’annuler le concert prévu le lundi 21…
En effet, comme le rapporte Radio 1, le vol TN07 attendu samedi à 21 h 45 est resté cloué au sol à Los Angeles par une panne moteur qui nécessitait le changement d’une pièce. Et c’est cette avion qui effectue également le vol à destination de Tokyo (celui que devait prendre Kassav’ donc).
Sur son site, la compagnie aérienne indique : “Le vol TN07 Los Angeles-Papeete du 19 octobre 2019 prévu à 16 heures partira de Los Angeles le 20 octobre à 14 heures sous le numéro de vol TN427. Il arrivera à Papeete le 20 octobre à 19 h 05 (heure locale). En conséquence, le vol TN78 Papeete-Narita 20 octobre 2019 prévu à 8 heures du matin partira de Papeete le 21 octobre à 1 heure du matin (dans la nuit de dimanche à lundi). Il arrivera à Narita le 22 octobre à 7 h 05 du matin (heure locale). Le vol TN77 Narita Papeete 21 octobre 2019 prévu à 17 h 40 partira de Narita le 22 octobre à 13 heures. Il arrivera à Papeete le 22 octobre à 5 h 05 du matin (heure locale)”.
Aucune solution viable n’ayant été trouvée pour que le groupe puisse atteindre Tokyo à temps via Hawaii ou Auckland, il s’est résigné à rentrer vers Paris.
Gérer une petite entreprise n’est pas donné à tous : dans le tourisme, il faut jongler entre les prestations, la partie administrative et la promotion de son activité. Des domaines que tout le monde ne maîtrise pas à la perfection. Grâce au Passeport Tourisme, les prestataires sont mieux préparés. “C’est une formule d’accompagnement qui s’adresse aux prestataires d’activités touristiques hors hébergement et hors Tahiti. Donc on vient au contact de ces prestataires touristiques dans les îles, même les plus éloignées, pour leur proposer de la formation en mode accompagnement individualisé” explique Vanessa Tiaitou, directrice du pole formation de la CCISM.
Accueil, langue, gestion administrative et e-communication sont les quatre thèmes retenus dans ce volet. Une fois les besoins identifiés, des intervenants seront mis à la disposition des prestataires pour les aider et les accompagner. “Une équipe d’intervenants, de professionnels, d’experts dans chaque thématique, viendront dans les îles pour accompagner les prestataires et réponse à leurs besoins” précise Vanessa.
(Crédit photo : Tahiti Nui Télévision)
(Crédit photo : Tahiti Nui Télévision)
C’est un coup de pouce non négligeable pour ces excursionnistes qui doivent souvent se débrouiller pour la comptabilité ou encore certaines démarches administratives. “Je pense que cette formation pourra nous apporter beaucoup, surtout au niveau de la gestion pour moi. Car on n’a pas de formation, on se lance dedans, on essaie d’apprendre sur le tas, mais c’est difficile” confie Areiti Nautre, un prestataire. “On va avoir des renseignements administratifs qui sont utiles, notamment pour effectuer une embauche. Après il y a les langues, la comptabilité, le suivi administratif...” nous dit encore Bruno Fabre, prestataire.
Les premières formations devraient débuter dès le mois de novembre. Pour 5 000 Fcfp, les prestataires bénéficient de 12 heures de formation dans deux thématiques au choix.
La prévention est toujours au programme d’Octobre rose. Le cancer du sein reste la deuxième cause de décès par cancer chez la femme en Polynésie. Si le risque de maladie est plus important à partir de 50 ans, la sensibilisation et la promotion du dépistage concerne toutes les femmes.
“Je tiens à rappeler que les hommes aussi peuvent avoir le cancer du sein. (…) Ce n’est pas le manque d’information mais la peur de la maladie qui est là. On est là justement pour aider ces mamans à en parler, à ne pas avoir peur, et à les informer sur les moyens de dépistages qui existent et qui sont simples pour éviter des chirurgies très lourdes et douloureuses. C’est une maladie qui se soigne, si on s’y prend tôt. Le cancer du sein, on n’en meurt plus. En France, 9 femmes sur 10 survivent, chez nous, nous n’en sommes qu’à 5 sur 10. Il y a réellement un problème, alors que nous avons les mêmes moyens de traitement. Il faut se dire qu’on n’est jamais seul dans la maladie. La famille est là, les amis sont là, et la Ligue contre le cancer aussi” explique Natacha Helme, vice-présidente du comité polynésien de la Ligue contre le cancer.
(Crédit photo : Tahiti Nui Télévision)
Les professionnels de santé rappellent que l’autopalpation est un bon moyen pour détecter le plus tôt possible une éventuelle tumeur. Un geste simple qui s’apprend dans un atelier. “C’est de la prévention. On entend toujours parler des mammographies après 50 ans, mais malheureusement, cela peut arriver avant. L’autopalpation est facile à faire, et si ça peut nous sauver, il faut savoir le faire. Cela rassure de savoir le faire soi-même” nous dit Nelly, une participante. “Dès lors que l’on trouve une anomalie dans sa poitrine, il faut consulter immédiatement son médecin pour faire des examens complémentaires” précise Isabelle Granjon, attachée scientifique hospitalière dans tout le Pacifique.
(Crédit photo : Tahiti Nui Télévision)
Le programme de dépistage permet aux femmes âgées de 50 à 74 ans de bénéficier gratuitement tous les deux ans d’un examen clinique de leur poitrine et d’une mammographie. Plus le dépistage est régulier et plus il permet gagner en espérance de vie en cas de maladie avérée.
(Crédit photo : Tahiti Nui Télévision)
“Il y a des situations où on a fait un dépistage, on a trouvé une petite tumeur qui fait 1 ou 2 centimètres, ou dans d’autres situations où les patientes ont attendu et ont des tumeurs de 4-5 centimètres, des fois la peau est grignotée, et là ce sont des cancers qui se guérissent beaucoup moins bien avec des traitements plus lourds avec de la chimiothérapie, radiothérapie, et des risques de métastases dans le poumon, le foie et parfois le cerveau. Si on a une maladie débutante sans ganglions envahis, on a 9 chances sur 10 à 5 ans d’être en vie, si on a déjà une maladie avec des ganglions envahis, on a plus que 1 chance sur 2 d’être en vie à 5 ans. D’où l’importance de faire régulièrement des mammographies à partir de 50 ans tous les deux ans, mais on a aussi des cancers chez les femmes plus jeunes, d’où l’importance également de faire une autopalpation du sein pour trouver un nodule très tôt” avertit le docteur Christophe Allé, chef de service de gynécologie au CHPF.
(Crédit photo : Tahiti Nui Télévision)
Plusieurs entreprises ainsi que le lycée professionnel de Faa’a apportent leur soutien dans cette campagne. Les élèves de la section mode se sont mobilisés pour la troisième année consécutive et avaient organisé un défilé de mode avec des tenues vestimentaires uniques qu’ils avaient confectionné, pour que malgré les traitements contre la maladie, les femmes puissent se sentir toujours bien dans leur corps.
“L’indispensable à l’usage des parents d’élèves” : un guide au titre évocateur cher à la Fédération des associations de parents d’élèves du public (FAPEEP). Cette première édition concrétise les recommandations des assises des parents d’élèves organisées il y a deux ans. En 200 pages, cet outil guide les parents à trouver les réponses aux questions qu’ils se posent.
“Nous avons souhaité qu’il soit le plus complet possible et qu’il traite à la fois des problématiques de la place des parents au sein de la communauté éducative, mais également des sujets de santé scolaire, des sujets de l’éducation par rapport au parcours de l’enfant et aux dispositifs qui sont aujourd’hui proposés par l’éducation. Chacun devrait y trouver son compte” explique Tepuanui Snow, président de la FAPEEP.
(Crédit photo : Tahiti Nui Télévision)
Ce mode de communication est de nature à responsabiliser les parents sur l’environnement scolaire de l’élève et ne leur donne que peu de prise sur le travail en classe ou le déroulement des enseignements. “Le guide ne va pas tout faire. Il est un outil supplémentaire. Le vrai travail initial, c’est dans les établissements scolaires entre les associations de parents d’élèves et les chefs d’établissements ou les directeurs d’écoles” précise Thierry Delmas, directeur de la Direction générale de l’Éducation et de l’Enseignement (DGEE).
25 000 guides seront distribués gratuitement d’ici deux semaines dans les écoles, les collèges, et les lycées publics en Polynésie. Financés par les annonceurs, la fédération souhaite produire des guides à chaque rentrée scolaire.
Pari réussi pour la commune de Punaauia qui a rassemblé en un même lieu les familles de quartiers prioritaires tels que Taapuna, Puna Nui, Puna Iti ou encore Outumaoro. Deux journées détente avec de nombreuses activités sportives et culturelles organisées dans les jardins de la mairie et au parc Vaipoopoo. Seule exigence : former des équipes composées de parents et de leurs enfants.
(Crédit photo : Tahiti Nui Télévision)
(Crédit photo : Tahiti Nui Télévision)
“Étant donné qu’elles travaillent toute la semaine, les familles ont peu de temps pour jouer entre elles. Ce genre d’action, c’est l’occasion de les rassembler, de proposer des activités intergénérationnelles telles que de l’artisanat, et de favoriser les activités sportives avec leurs enfants” explique Maruia Père, membre du comité organisateur.
(Crédit photo : Tahiti Nui Télévision)
(Crédit photo : Tahiti Nui Télévision)
(Crédit photo : Tahiti Nui Télévision)
Concours d’échasse, peinture sur paréo, tressage, initiation au ukulélé ou encore volley-ball, baby-foot, badminton… Au total, c’est plus d’une quinzaine de jeux et ateliers d’apprentissage qui étaient proposés pour le plus grand bonheur des petits et grands.
(Crédit photo : Tahiti Nui Télévision)
Ce challenge Trilogie Family aura suscité l’engouement des familles qui ont émis le souhait de voir l’événement perdurer dans le temps.
Heiata Aka, ancienne élève devenue aujourd’hui professeure au Centre des Métiers d’arts, s’est d’abord fait remarquer par ses bijoux en nacre. Des pièces uniques travaillées avec finesse dans lesquelles elle mélange art traditionnel et moderne avec toujours l’ambition de révéler la lumière :
(Crédit photo : Tahiti Nui Télévision)
(Crédit photo : Tahiti Nui Télévision)
“Le message fort qui émane de ce collier, c’est le soleil qui est au cœur de tout. L’énergie solaire qui nous englobe et qui rayonne. Ce sont des symboles forts que je vais récupérer et qui vont me suivre, et que je vais transposer dans certaines de mes gravures et dans mes tableaux. (…) Je touche un peu à tout : la pierre, le bois…” explique l’artiste.
(Crédit photo : Tahiti Nui Télévision)
Heiata pratique aussi l’art numérique comme ses tableaux en plaque d’aluminium. La jeune femme s’est révélée en tant qu’artiste sur le tard après un parcours professionnel jalonné de diverses expériences. Mais sa passion pour l’art est en elle depuis son plus jeune âge : “Dès petite, j’adorais le dessin, la peinture. Ma maman peignait beaucoup et elle faisait des petites figurines en plomb qu’elle peignait très finement, et j’étais en admiration devant son travail. Mon papa est sculpteur, il dessine aussi. J’ai toujours voulu être dans l’art, dans la création “.
(Crédit photo : Tahiti Nui Télévision)
(Crédit photo : Tahiti Nui Télévision)
Son exigence et sa persévérance amènent Heiata à exposer pour la deuxième fois. Une exposition de lumière et de finesse à salle Muriavai de la Maison de la culture. “Je me suis plus concentrée sur l’univers métallique, en mettant en avant la dualité, l’équilibre et la connexion. Et puis la gravure” explique-t-elle.
(Crédit photo : Tahiti Nui Télévision)
(Crédit photo : Tahiti Nui Télévision)
Après avoir fondé sa propre marque, Heiata est désormais une artiste accomplie. Elle a notamment trouvé sa voie aux côtés de son compagnon avec qui elle exposera du 22 au 26 octobre.
PRATIQUE : Exposition d’art Heiata Aka Maison de la culture – salle Muriavai Entrée libre Du mardi 22 au samedi 26 octobre De 9 heures à 17 heures du lundi au vendredi et jusqu’à midi le samedi Renseignements au 40 544 544 Plus d’infos ICI
Loma est née le 21 avril 1939 à papeete. Elle épouse Louis babo Aitamai le “metua” de la boxe polynésienne. Ils auront 4 enfants ensemble : Tania, Mara, Glenn et Rocky à qui nous transmettons toutes nos condoléances.
Loma et Mila ont créé et chanté les plus belles mélodies polynésiennes avec le support d’Eddy lund compositeur américain bien connu de l’époque. En 1956 Eddy lund leur propose d’animer le Quinn’s célèbre boite de nuit locale. Le duo est né, et leur carrière décolle, c’est la période de la “belle époque”. Elles arrêtent la chanson en 1983 mais leurs chansons restent encore dans les mémoires. Personne n’a oublié les plus grands tubes de “Loma et Mila” tels que “To’u vai api raa”, “pehepehe mai ra” ou encore “Vahine Tahiti”.
Michel Buillard, maire de Papeete a tenu à honorer la mémoire de cette grande figure de la chanson polynésienne. Le corps de la chanteuse sera exposé dans la salle du conseil de la mairie où une messe sera célébrée à partir de 18 h 00. L’inhumation aura lieu au cimetière de l’Uranie au deuxième étage, la date n’a pas encore été confirmée.
La victoire est historique pour les joueurs de l’île de Pâques. Les rugbymen de Rapa Nui participaient pour la première fois à l’événement Papeete international Sevens. Les Matamua RC repartent avec le bouclier des Sevens en s’imposant face au RC Pirae. “Je suis content du travail réalisé par l’équipe. Ce n’était pas facile pour nous de venir ici. Tous les efforts que nous avons fournis ont enfin payé. Nous dédions cette victoire à notre île”, a réagi Korahi, le capitaine de l’équipe.
C’est en demi-finale que Tahiti a brillé, le RC Pirae a créé la surprise et réussi à s’imposer face aux favoris, les Français South Sevens Rugby. Le coach Teiki Dubois se dit “très satisfait de ce qu’on a été capables de faire. On a réussi à produire du jeu. On a réussi avec nos qualités à proposer quelques chose.”
La petite finale pour la 3e place opposait les joueurs français à l’AS Arue. Là aussi, les Tahitiens se sont imposés. “Notre point faible c’est qu’on est sérieux seulement quand on a envie. Là on a essayé d’être sérieux jusqu’au bout. On a vu qu’on pouvait faire quelque chose. On n’avait pas trop de pression. Le match contre Rapa Nui, on s’est un peu trop mis la pression je pense”, estime le capitaine Loïc Tautu.
Chez les femmes, face aux joueuses de Rapa Nui, les Rugby Hine ont dominé le match. Le score a été sans appel : 32 à 0 pour la sélection tahitienne. “On s’était dit qu’il fallait y aller dès le début, leur montrer qui on était, on est chez nous. C’est à nous de montrer notre jeu, à nous de dominer sur tout le match. Elles ont de la résistance mais leur point faible et ce qui nous a donné de la chance, c’est qu’elles ne savent pas trop conserver le ballon. Ça nous a aidé à continuer à aller dedans”, se réjoui Stéphanie Perros, capitaine des Rugby Hine.
Il n’y a pas si longtemps, le don d’organes était quelque chose d’encore très peu connu auprès de la population. Les mentalités ont beaucoup évolué ? “Oui les mentalités évoluent. On a de plus en plus de personnes qui viennent nous voir, qui posent des questions, qui cherchent à s’informer sur le sujet, donc c’est une réelle avancée pour nous.”
Sur quoi portent en général les interrogations de la population ? “Ce sont les mêmes questions qui reviennent souvent. Jusqu’à quel âge on peut donner ? Est-ce que moi, qui ai telle ou telle maladie, ou un petit peu de surpoids, je peux donner un organe après mon décès ? Et ce qui est assez étonnant, c’est que les gens viennent pour s’inscrire sur un registre des donneurs. Donc ils ont réellement cette envie de faire partie des donneurs et ils viennent régulièrement pour nous demander de pouvoir s’inscrire, alors qu’il suffit simplement de le dire à ses proches. On n’est pas obligé de se déplacer et de venir s’inscrire.”
Pour le moment on ne parle que de greffe de rein, puisque c’est la seule intervention pratiquée en Polynésie… “Tout à fait, seule la greffe rénale est réalisable sur le territoire.”
Y a-t-il des rencontres qui vous ont marquée lors de vos interventions auprès du public ? “Oui, sur la journée de samedi, j’ai eu un monsieur qui est venu de Mataiea, spécialement pour poser sa question par rapport à lui personnellement ; et un autre monsieur qui est lui venu de Moorea, qui a malheureusement perdu sa femme dernièrement et qui du coup s’est posé la question de savoir quelle est sa volonté à lui, de donner ou pas ses organes après et il venait pour nous faire part de ses réflexions.”
D’autres campagnes de sensibilisation en prévision ? “La prochaine sera certainement en juin de l’année prochaine. L’association Un don de vie organise son bal annuel en général au mois d’avril. Donc les prochaines campagnes sont celles-là. Mais tout au long de l’année, on peut se renseigner sur le site Internet redonnervie.org ou sur Facebook « Un don de vie », on peut répondre à toutes les questions. Sur le site on peut commander sa carte de donneur et régulièrement on a des gens des îles qui nous envoient un message pour avoir une carte de donneur dans les îles.”
Ça fait cinq ans que vous tournez auprès de la population. Elle est très réceptive ? “Très réceptive, je ne dirais pas ça. Il y a encore effectivement des craintes, mais on sent qu’il y a de plus en plus de personnes qui ont eu connaissance, qui savent que maintenant on peut faire le don d’organes sur le territoire, qu’on peut donner ses reins, que la greffe rénale existe… maintenant l’étape d’après est d’exprimer sa volonté à ses proches.”
On compte aujourd’hui près de 150 personnes en attente d’un rein, c’est un chiffre qui augmente chaque année ? “Oui malheureusement, c’est un chiffre qui augmente. Même si on réalise des greffes, il y a de nouveaux inscrits tous les ans sur la liste d’attente. Il faut savoir qu’on a à peu près 40 à 45 patients qui arrivent en dialyse en plus chaque année. Donc le temps de faire les bilans pour les inscrire sur la liste, effectivement malheureusement ce nombre augmente.”
Comment cela se passe pour une personne qui souhaiterait faire don d’un de ses reins, de son vivant ? “De leur vivant, c’est quelque chose qui se fait beaucoup. Sur les cinq dernières années, il y a eu plus de 100 personnes qui se sont présentées pour faire don d’un rein à leur famille. Donc effectivement, on peut faire don à un membre de sa famille ou à quelqu’un avec qui on est proche, avec qui on a des liens affectifs stables depuis au moins deux ans. Il suffit d’aller voir le médecin qui s’occupe des reins, le néphrologue, et de voir avec lui pour faire les examens, le bilan de santé nécessaire pour voir si on est suffisamment en bonne santé pour donner, si on est compatible.”
On peut vivre normalement avec seulement un rein ? “Tout à fait. Un seul rein suffit pour être en bonne santé, vivre bien et c’est pour ça que les gens greffés, on leur greffe un seul rein, parce que c’est suffisant quand on a une bonne hygiène de vie.”
C’est tout un travail en amont pour expliquer la démarche qui sera réalisée auprès des personnes volontaires ? “Oui, il y a toujours un travail d’information parce qu’il faut qu’ils comprennent que cet acte est beau, mais il n’est pas non plus sans conséquence. Donc il faut quand même qu’on leur explique toutes les étapes, comment ça va se passer, qu’ils aient vraiment toutes les informations pour faire leur don en connaissance de cause.”
Quel serait votre message à l’adresse de la population ? “Le message le plus important c’est : donneur ou pas, l’important est de le dire à ses proches. D’avoir sa réflexion et de l’exprimer.”
Dans l’Hexagone, les arts martiaux de l’Empire du milieu comptent un bon nombre d’adeptes. Des personnes actives ou à la retraite en quête d’une certaine sérénité. Dans le dojo de Didier Beddar à Paris, Charles Laux retrouve les fondamentaux du kung-fu de Bruce Lee : le wing chung.
Non
loin de là, à Luxembourg, changement de décor et d’ambiance. Ce jardin
constitue le meilleur dojo à ciel ouvert. Tous les jours, certains maîtres
d’arts martiaux comme le japonais Sawada viennent y enseigner, échanger et
parfois pratiquer leur art.
“Maître Sawada rassemble aussi bien le taikiken, le tai-chi, le Xing Yi Quan, tout cela combiné, confie Charles Lau. Je pense que pour tous les grands maîtres d’arts martiaux, à un moment donné, le style n’a plus de sens. Un coup de poing est un coup de poing, un coup de pied est un coup de pied. Ce qui nous unit est de rechercher l’efficacité dans le combat.”
Mais en milieu urbain, une simple ruelle peut faire office de dojo. Charles Laux prend connaissance du kung-fu zhaobao avec maître Zhang qui enseigne également le tai-chi.
Ainsi, fort de ses expériences et rencontres, Charles Laux est désormais prêt, à son tour, à partager son savoir à qui le souhaite, même pour retrouver la santé.
“Je dirais que la société est malade. J’entends dans la presse parler que 70% de la population est en surpoids et je souhaite aider cette population en pratiquant aussi bien le tai-chi, le chi kung. Il faut avoir l’esprit guerrier. Celui qui a l’esprit guerrier, automatiquement va trouver la santé.”
En attendant, c’est sur les hauteurs de Punaauia que Charles s’adonne à sa passion et au renforcement de son corps avec l’application de nouvelles techniques de qi-gong acquises en métropole comme le qi gong de l’ours.
Lors d’une sortie baleines avec sa famille ce matin à Moorea, une femme a été attaquée par un requin parata. Selon nos confrères de Radio 1, la victime, une trentenaire, a été ramenée au ponton de l’hôtel Intercontinental de Moorea et a été prise en charge par les pompiers et transférée aux urgences de Afareaitu puis à l’hôpital de Taaone. La victime est actuellement au bloc opératoire.
“J’ai vu cette femme qui n’avait plus de bras, l’autre du côté gauche était juste pendant, la main pendait quoi, et le côté droit il était bouffé aussi vers les côtes. C’était la grosse panique pour tout le monde”, aurait déclaré un témoin.
Contactés, les pompiers évoquent plusieurs morsures graves. Selon nos informations, la victime aurait la main droite grièvement touchée, ainsi que les deux avant bras. Elle aurait eu un sein arraché. Son pronostic vital ne serait pas engagé.
Selon l’association Mata Tohora, les parata nagent parfois près de baleineaux. L’an dernier à la même période, un club de plongée et un plaisancier ont signalé à l’association des attaques de requins identifiés comme des requins soyeux. Des attaques qui n’auraient pas fait de blessés.
Alors que tout le monde avait embarqué à bord du navire Aremiti 6 ce lundi matin, la rampe d’accès au garage s’est retrouvée bloquée. Impossible d’embarquer les véhicules. La compagnie a annoncé un retard “conséquent” et proposé à ses passagers de passer sur le navire Aremiti Ferry. Ce que la majorité d’entre eux a fait.
Les rotations ont repris sans que l’Aremiti 6 puisse accueillir de véhicules. La rampe d’accès devrait être réparée dans la soirée, après la dernière rotation du navire.
Oups ! La porte du garage du Aremiti 6 a du mal à s'ouvrir ! Nos équipes sont sur le coup ! Il reprendra ses rotations à…
“Le big bang dans votre cerveau” : c’est ainsi qu’est annoncé le spectacle du mentaliste Fabien Olicard prévu le 9 novembre à Tahiti.
Curieux de tout, Fabien a toujours aimé comprendre les choses, les idées et les gens. Pourvu d’une étonnante mémoire, c’est à l’âge de 8 ans qu’il découvre la magie. ce qui le conduira rapidement vers la psychologie et le mentalisme.
Dans ce troisième spectacle qu’il présentera aux Polynésiens, Fabien fait résonner votre singularité avec la sienne en une explosion d’étonnements et de rires. Mémoire, langage non-verbal et synchronicité sont quelques-uns des éléments de cette approche moderne du mentalisme, où vous allez vous même vous surprendre.
PRATIQUE
Samedi 9 novembre 19h30 Tahiti Pearl Beach Resort CARRE OR : 6600 Fcfp ARGENT : 5100 Fcfp PLATINE : 4600 Fcfp ZERO FRAIS DE PAIEMENT EN LIGNE Paiements en ligne avec AMEX, CB, Visa et MasterCard BILLETTERIE EN LIGNE : www.angela-r-productions.pf OU AVEC : HOA, AMEX, CB, Visa et MasterCard chèque ou espèces DANS LES MAGASINS: SMART STORE centre Vaima ET ISTORE Pacific Plaza, Faaa CONTACTS : ➢ Heimanu Wallart : 89 32 61 86 ➢ Cilia Bonno : 87 34 96 52
Programme : -Ouverture de portes et accueil du public à 19h00 -Fermeture des portes à 19h30 pour donner place au début du spectacle il ne sera pas possible de rentrer une fois que le spectacle ait commencé -Fin du Spectacle 21h15 ouverture de portes -Echange avec l’artiste 21H20 -Fin de la soirée 21h30
“C’est pour moi un grand honneur et un réel plaisir d’accueillir cette édition de l’innovation publique ; un plaisir d’autant plus grand que toutes les administrations, celles de l’État, des communes et bien sûr de la Polynésie française ; ainsi que nos institutions, l’assemblée de la Polynésie française et le Conseil économique, social, environnemental et culturel, ont œuvré de concert pour l’atteinte d’un objectif commun : la satisfaction de l’usager, dans le respect des principes fondateurs régissant tout service public : continuité, égalité et mutabilité”, a déclaré le président Edouard Fritch, ce lundi à l’ouverture de la semaine de l’innovation publique.
“Face aux attentes des citoyens et aux besoins des usagers, les administrations polynésiennes et leurs agents doivent s’adapter pour un service public juste, simple et efficace. Relever ce défi nécessite de repenser l’action publique en plaçant l’usager au centre des organisations administratives. L’innovation publique constitue un levier essentiel de la modernisation de nos administrations”, a ajouté le président du Pays.
Le projet du gouvernement est de mettre l’innovation au service des valeurs du service public. Dans ce but, les services de l’État et du Pays ainsi que le centre de gestion et de formation des communes poursuivent le partenariat avec l’École nationale d’administration (ENA), initié en 2018.
Sur toute la semaine, des séances de formation et de
sensibilisation seront dispensées par les formateurs de l’ENA, accompagnés de
l’équipe des 12 facilitateurs. Pour cette année, l’objectif visé est de
diffuser une culture de l’innovation à tous les niveaux de décision et d’action
publique. Destinées aux élus et décideurs, puis aux cadres supérieurs et
intermédiaires, ces séances visent à encourager le développement des méthodes
et l’utilisation des outils innovants dans la gestion des services publics et
l’élaboration des politiques publiques.
Les 21 et 22 octobre sont réservés à près de 80 élus et décideurs : représentants de l’APF, du Cesec et des communes ainsi que les membres du gouvernement. Les séances des 24 et 25 octobre seront, quant à elles, destinées aux cadres, supérieurs et intermédiaires des administrations. La journée du 23 octobre va entraîner la présence et la mobilisation de l’ensemble des acteurs des institutions et entités polynésiennes afin d’échanger et de partager sur l’innovation publique. Au travers de conférences-découvertes et d’ateliers pratiques, cette journée sera également l’occasion de faire la démonstration de la collaboration de tous les acteurs publics en faveur des usagers.
Leurs voix ne sont pas étrangères aux auditeurs polynésiens. Les adventistes du 7e jour diffusent sur les ondes depuis 20 ans déjà. Si leurs classes bibliques sont suivies par quelques milliers de fidèles, la web TV doit permettre de toucher un public encore plus large.
“Le nombre de téléspectateurs, par rapport à la télévision, stagne. Et le nombre de personnes connectées est en train d’augmenter. Donc nous avons opté pour le lancement de la web TV plutôt qu’une télé normale”, explique Gilles Tefaaroa, le directeur du centre média adventiste.
Stratégique en termes d’audience, Hope Channel ne cache pas son ambition en termes de contenu. Actualité religieuse, mais aussi sociale : la web TV vise 50% de production locale. Un défi de taille pour la petite équipe de cinq employés.
“Ça fait deux-trois ans que nous tournons dans les îles pour produire localement, poursuit Gilles. Ce n’est pas facile, il faut une bonne équipe. Nous sommes limités par rapport au personnel mais nous avons quand même des productions locales. Nous allons continuer à alimenter nos productions locales, mais ce n’est pas suffisant. Nous pensons diffuser également des productions de l’étranger, de France, du Canada, pour combler un peu la programmation.”
Les adventistes peuvent compter sur l’aide des bénévoles et la générosité de leurs membres.