Quantcast
Channel: TNTV News • TNTV Tahiti Nui Télévision
Viewing all 31112 articles
Browse latest View live

La princesse Kate annonce avoir terminé son traitement de chimiothérapie

$
0
0


« Je ne peux pas vous dire à quel point c’est un soulagement d’avoir finalement terminé mon traitement de chimiothérapie », dit la princesse de Galles, l’épouse de William, l’héritier du trône britannique.

« Les neuf derniers mois ont été incroyablement durs pour nous, en tant que famille », poursuit la princesse de 42 ans, dans ce message accompagné d’une vidéo dans laquelle elle apparaît entourée de son époux et de leurs trois enfants, George, Charlotte et Louis, se promenant dans la nature. 

Cette vidéo, dans laquelle la princesse est habillée d’une robe légère, les cheveux au vent, a été tournée en août dans le Norfolk, dans l’est de l’Angleterre. Elle renvoie l’image d’une famille unie et heureuse, pique-niquant, jouant aux cartes. Kate sourit, se repose sur l’épaule de son mari.

Pourtant tout au long de ces mois, il a fallu « trouver un moyen de naviguer dans des eaux tumultueuses et sur des routes inconnues », explique-t-elle.

« L’expérience du cancer est complexe, effrayante et imprévisible pour tout le monde, en particulier pour ceux qui vous sont les plus proches », poursuit la princesse.

« Mon chemin vers la guérison et le rétablissement complet est long et je dois continuer à prendre chaque jour comme il vient », prévient-elle. « J’ai cependant hâte de retourner au travail et d’entreprendre des activités publiques dans les mois à venir quand je le pourrai ».

Kate, adorée des Britanniques et qui apparaissait presque tous les jours dans la presse, a subitement disparu du paysage médiatique après Noël 2023.

« Un choc énorme »

Elle avait été hospitalisée en janvier pour une « intervention chirurgicale abdominale ». Le palais avait indiqué qu’elle ne reprendrait probablement pas ses fonctions officielles avant Pâques.

Toutes sortes de rumeurs étaient alors apparues sur les réseaux sociaux. 

Et fin mars, elle avait révélé elle-même, dans une vidéo émouvante, être atteinte d’un cancer, sans en préciser la nature

Seule, sur un banc, visiblement fatiguée, elle avait parlé d’un « choc énorme ». Un coup dur de plus pour la famille royale, puisque le roi Charles III avait début février lui aussi annoncé être atteint d’un cancer. 

Kate était pour la première fois réapparue en public le 15 juin à l’occasion de la parade d’anniversaire du souverain. Elle avait salué la foule depuis le balcon du palais de Buckingham, avec la famille royale.

L’épouse du prince William avait alors été chaleureusement acclamée par le public venu en nombre assister à la parade militaire « Trooping the Colour » (« Salut aux couleurs ») organisée chaque mois de juin. 

Sa dernière apparition publique remonte à début juillet à Wimbledon, où elle avait remis le trophée au vainqueur du tournoi de tennis, l’Espagnol Carlos Alcaraz. Là encore, elle avait été longuement applaudie. 

Dans son message lundi, la princesse fait part de sa « reconnaissance » pour tout le soutien qu’elle a reçu. « La gentillesse, l’empathie et la compassion de chacun a été vraiment une leçon d’humilité », dit-elle. 

Kate conclut avec une parole pour les personnes « qui poursuivent leur propre voyage contre le cancer ». « Je reste avec vous, côte à côte, main dans la main. De l’obscurité peut naître la lumière, alors laissez cette lumière briller », dit-elle.

Charles III, 75 ans, a quant à lui repris au printemps ses engagements publics, après les avoir suspendus pendant plusieurs mois.

Il doit effectuer, avec son épouse la reine Camilla, une visite officielle en Australie et aux îles Samoa cet automne.

L’article La princesse Kate annonce avoir terminé son traitement de chimiothérapie est apparu en premier sur TNTV Tahiti Nui Télévision.


Escale cauchemardesque pour Thomas Lubin à San Francisco

$
0
0

Thomas Lubin a enfin retrouvé le fenua, ce dimanche matin, après un vol qui a viré au cauchemar. De retour, avec Cédric Wane, de la Otillö Swimrun, en Suède, où le duo s’est classé dans le top 10 mondial, il a embarqué sur un avion French Bee vendredi à Paris à destination de Tahiti. Un vol de routine qui a pourtant pris des proportions inimaginables.

« J’étais assis derrière une dame américaine. Elle avait déjà posé plein de problèmes au staff de French Bee dès sa prise en charge, chose que je ne savais pas en entrant dans l’avion. Au moment du premier repas, où il est exigé de remonter son dossier, le truc de base, je lui ai demandé si elle pouvait le faire, vraiment poliment, pour que je puisse avoir de l’espace pour déjeuner. J’ai tout de suite vu que ça allait être compliqué. Elle était agressive et tenait des propos presque délirants », témoigne Thomas Lubin auprès de TNTV.

Et celui-ci d’ajouter : « Je lui ai redemandé poliment de redresser son siège et là, ça a été le début de la tornade. Elle a commencé à devenir vraiment agressive. Elle a essayé de me prendre en photo en disant qu’elle avait des droits, qu’elle se sentait agressée. Elle a voulu me prendre en photo. Le premier réflexe que j’ai eu, c’est de mettre ma main devant sa caméra, car j’estime qu’elle n’avait pas le droit de le faire sans mon accord ».

Quand les choses ont pris « une tournure rocambolesque » Thomas Lubin et Cédric Wane ont demandé aux PNC de pouvoir changer de sièges. « Le staff m’a dit qu’il n’était pas surpris et il nous a tout de suite changé de place. Mais elle s’est alors pris la tête avec l’hôtesse qui était adorable », explique-t-il.

Quelques heures avant l’escale à San Francisco, le personnel est revenu vers lui pour lui indiquer que la passagère « ne s’était pas du tout calmée, qu’elle était procédurière et que ça ne sentait pas très bon » : « Je leur ai dit : ‘si ça peut apaiser les choses, je veux bien lui présenter des excuses même si je n’ai strictement rien fait’. Mais elle ne les a pas acceptées ».

L’avion s’est ensuite posé à San Francisco.  Et les problèmes ont continué. « Dès qu’elle est arrivée sur le sol américain, elle est allée voir la police. Et au moment de rembarquer pour Tahiti, des agents étaient là pour m’arrêter. J’ai été menotté devant tout le monde, puis placé en cellule », souffle le swinrunner, encore très « choqué ».

S’en est suivie une longue attente avant un interrogatoire d’un agent du FBI : « Je lui ai expliqué que je n’avais absolument pas eu de contact physique avec cette dame, qu’on avait tout fait avec le staff de French Bee pour que les choses s’apaisent, mais que cela n’a pas été le cas et qu’elle avait menti dans sa déposition. Et moi que j’avais loupé ma connexion et que j’étais menotté ».

Selon lui, une hôtesse de la compagnie a également été ciblée par une plainte de la passagère. Elle aussi a été interrogée, ainsi que tout le personnel qui se trouvait à bord. « J’étais à la fois tranquille, parce que je savais que j’avais le soutien de tout le staff de French Bee, mais aussi très angoissé par cette situation délirante. L’honnêteté a porté ses fruits. Au final, l’agent du FBI m’a dit : ‘je suis désolé pour vous, mais on a dû respecter la procédure. On n’a rien à retenir contre vous. Vous pouvez partir », poursuit Thomas Lubin. Un autre policier « très sympa » lui a permis d’appeler sa compagne tout en lui indiquant qu’il « pouvait revenir aux États-Unis sans problème ».

Reste que l’athlète a passé une nuit dans l’aéroport, puis a loué une chambre dans un hôtel avant de racheter un billet d’avion et de regagner Tahiti, ce dimanche. « Avec ma compagne Rauana, on a fait tout le nécessaire, car personne ne s’est occupé de moi, si ce n’est la responsable des partenariats de sponsoring de French Bee qui a fait son maximum pour nous aider », dit-il.

Il souligne avoir dû débourser environ 100 000 francs pour faire face à tous ces imprévus et espère pouvoir obtenir « une prise en charge de ses frais ». Quant au dépôt d’une éventuelle plainte contre la passagère, il hésite à franchir le pas.

« Engager des poursuites contre une dame névrosée, c’est dangereux, mais en même temps, je ressens une injustice totale. Quelqu’un dépose une plainte, ment, et elle aspire dans son tourbillon tout un tas de personnes qui se sont retrouvées dans une situation délicate. Elle, elle a pu repartir chez elle en toute impunité. Alors que l’hôtesse de French Bee et moi-même ont subi les conséquences. Ce qui m’a vraiment choqué, c’est d’avoir été menotté (…) Je n’ai pas envie que cette injustice reste en l’état », conclut-il, amer.

L’article Escale cauchemardesque pour Thomas Lubin à San Francisco est apparu en premier sur TNTV Tahiti Nui Télévision.

Travaux à Moorea : Moetai Brotherson fait le point

$
0
0

Depuis plusieurs jours, les riverains de Tiahura ont partagé leurs inquiétudes sur des travaux en cours sur la plage de Tiahura, à Haapiti, à proximité du complexe Moe Moea – Sunset beach – Tipaniers. Contactée par Radio 1, la mairie de l’île sœur a indiqué que le terrain avait été « récemment vendu » par un privé à un porteur de projet, qui avait lancé la construction de plusieurs fare. La mairie a également confirmé avoir lancé des vérifications sur l’autorisation de ces travaux. 


« La Présidence ne dispose à ce jour d’aucune information sur la nature des travaux envisagés par le ou les propriétaires privés » a déclaré ce lundi matin Moetai Brotherson, qui précise que les travaux « n’ont fait l’objet d’aucune demande d’autorisation auprès de la Direction de la construction et de l’aménagement. S’ils devaient être réalisés, ceux-ci seraient incompatibles avec les prescriptions réglementaires du plan général d’aménagement. Informée de la situation, la DCA s’est immédiatement rapprochée de la commune de Moorea pour recueillir les informations nécessaires afin d’entamer les démarches idoines. La direction de l’équipement procèdera aux vérifications d’un éventuel empiètement non autorisé du domaine public maritime ». Enfin, le président du Pays rappelle que « l’occupation non autorisée du domaine public du Pays donne lieu notamment à l’établissement d’une contravention de grande voirie ».

Concernant le projet d’un Carrefour à Moorea, Moetai Brotherson réagit au communiqué au rapport de la Fédération Tāhei ‘auti ia Mo’orea qui indique que « le groupe Wane bafoue l’interdiction de l’Autorité Polynésienne de la Concurrence (APC) et met en péril les magasins historiques de Mo’orea ». En effet, l’APC avait donné un avis défavorable en juin 2022 à l’implantation de l’enseigne sur Maharepa. De son côté, le Directeur de la construction et de l’aménagement (DCA) a autorisé en septembre 2023 la construction du magasin. « L’avis de l’APC n’est pas une prescription réglementaire à laquelle est soumise la DCA pour la délivrance de l’autorisation de travaux immobiliers » tient à rappeler le président. « L’instruction des PC (permis de construire, Ndlr) se fait en tenant compte notamment du code de l’aménagement, du PGA de Moorea, du code de l’environnement ».


L’APC se prononce sur le projet d’activité et non sur le projet de bâtiment : « En résumé, tu peux avoir ton PC pour un bâtiment, mais ne pas avoir in fine le droit d’exercer l’activité que tu avais prévue dans ce bâtiment ».

Enfin, concernant l’étude d’impact environnementale à laquelle plus de 600 personnes ont participé, « une vérification va être demandée à la DCA ».

L’article Travaux à Moorea : Moetai Brotherson fait le point est apparu en premier sur TNTV Tahiti Nui Télévision.

« Fraudes » et « dysfonctionnements » au sein de la SEM Abattage de Tahiti, selon la CTC

$
0
0

La CTC entame son rapport en rappelant que le « développement des filières d’élevage » est « une priorité de la collectivité de Polynésie française pour son développement agricole et le renforcement de son autonomie alimentaire ».

La production animale locale représente à « peine 5 % des besoins totaux de la population », ce qui est insuffisant pour répondre à la consommation des habitants du fenua.

« Dans ce contexte, l’abattoir de Tahiti, créé sous forme de SEM en 1985 est l’unique prestataire local pour l’ensemble des filières de production de viande (porc, bœuf et volaille) et constitue un outil indispensable pour assurer non seulement un débouché pour les éleveurs, mais aussi garantir les règles d’hygiène actuellement en vigueur », soulignent les magistrats financiers.

Or l’abattoir est régi par le statut de Société d’Économie Mixte et ce, « sans que les conditions juridiques ne soient respectées (actionnaires publics qui détiennent plus 90 % du capital) » mais aussi alors que la « convention d’affermage » est « irrégulière (signée par une autorité non habilitée, pas de loyer demandé au fermier par le Pays, pas de risque d’exploitation compte tenu d’une subvention systématique du Pays) », poursuit la CTC qui « invite la collectivité à étudier (…) une autre forme juridique ».

La Chambre a en outre constaté « des dysfonctionnements à tous les niveaux de la chaîne de contrôle » mais aussi « des fraudes importantes (…) commises par deux directeurs généraux délégués ».

L’un d’eux, « déjà salarié de la SEM » a bénéficié de « sur-rémunérations » injustifiées pour un montant total d’environ 6,8 millions de francs. Cette même personne a également utilisé à sa guise la carte bancaire de la société.

« Entre août 2019 et août 2020, divers retraits d’espèces, virements en sa faveur ou règlements par carte bancaire » ont été constatés, « pour des achats personnels pour un montant total de 1 653 059 francs », note la CTC. Elle a été condamnée par le tribunal à rembourser la société en 2022 mais aucune somme « n’a pu être recouvrée ».

Plus de 6 millions de dépenses personnelles

Son successeur a « réalisé des faits similaires mais à une échelle beaucoup plus importante », ajoute la Chambre. Ce dernier a en effet effectué « plus de 6 millions de francs d’achats à titre personnel ». « Il a ainsi financé des vacances en famille dans les hôtels, des achats de bijoux, des sorties en boites de nuit, des jouets pour sa famille, une moto pour son usage personnel, etc », indique le rapport. L’intéressé a été révoqué en mars 2023 mais « plus de 2 Millions de francs restaient encore à rembourser au moment du contrôle ».

Un « manque de culture de contrôle interne au sein de la structure », dixit la CTC qui « ne garantit pas non plus la préservation des fonds, des stocks et des biens attractifs de l’abattoir ».

« Le contrôle des activités opérationnelles de l’abattoir témoigne » également « d’une grande latitude laissée par la direction de l’environnement, en contradiction avec les règles relatives aux installations classées et à la protection de l’environnement ».

 « En matière de sécurité alimentaire, le bureau de santé environnementale a signalé des activités initiées entre 2019 et 2022, non prévues dans l’arrêté d’autorisation, dont la dernière (hachage et cuisson de terrines) était plus particulièrement susceptible de faire peser des risques pour les consommateurs », écrivent encore les magistrats financiers.

Enfin, la CTC note que « plus de la moitié des recettes de la SEM sont absorbées par les entreprises prestataires » et qu’elle « ne dispose pas d’autonomie quant à l’ajustement/fixation du montant des tarifs de ses prestations d’abattage, ceux-ci étant arrêtés par le conseil des ministres et fixés à un niveau qui permet la commercialisation de la viande locale à des prix comparables avec ceux de la viande importée, au détriment de la rentabilité de la société ».

« Au final, la SEM Abattage de Tahiti est déficitaire chaque année en raison de charges structurelles toujours importantes et une subvention d’équilibre du Pays est indispensable. Le fonds de roulement s’est très fortement dégradé en 2022 et est même négatif. La SEM ne disposant pas d’assez de ressources de long terme pour financer ses emplois immobilisés, cette situation l’oblige à se tourner vers des solutions de financements à court terme (dettes fournisseurs, ligne de trésorerie), ce qui n’est pas de bonne gestion », poursuit le rapport.

Et la CTC de conclure : « Si des progrès sont indispensables dans la gestion de la SEM, il n’en reste pas moins que sa rentabilité dépend essentiellement de facteurs dont elle n’a pas la maîtrise, ces facteurs étant contrôlés par le Pays à travers sa politique de soutien aux filières de l’élevage ».

Les 8 recommandations de la CTC :

Recommandation n° 1. : Dès 2024, se rapprocher du Pays afin d’assurer un contrôle sur place des installations classées relatives à l’abattoir.

Recommandation n° 2. : Dès 2024, initier, en lien avec le Pays, une nouvelle répartition du capital pour ne pas dépasser les 85 % d’actionnariat public.

Recommandation n° 3. : Réexaminer dès 2024, en lien avec le Pays, les statuts de la SEM à l’aune des dernières dispositions de la délibération n° 2023-56 APF du 12 octobre 2023.

Recommandation n° 4. : Mettre à jour, dès 2024, le document d’évaluation des risques professionnels.

Recommandation n° 5. : Renforcer, dès 2024, le dispositif de contrôle interne de la société.

Recommandation n° 6. : Dès 2024, s’assurer en lien avec le Pays, du respect des obligations de contrôle externe et d’information de la SEM Abattage de Tahiti.

Recommandation n° 7. : Se doter, dès 2024, d’un logiciel de comptabilité performant.

Recommandation n° 8. : Etudier, dès 2024, l’adéquation entre le personnel et l’activité de la SEM, en tenant compte de ses spécificités.

Le rapport complet de la CTC :

L’article « Fraudes » et « dysfonctionnements » au sein de la SEM Abattage de Tahiti, selon la CTC est apparu en premier sur TNTV Tahiti Nui Télévision.

Courses hippiques ce dimanche 15 septembre à Pirae

$
0
0

Les courses hippiques sont de retour ce dimanche 15 septembre, à l’hippodrome de Pirae de 14 à 17 heures. 4 courses sont au programme.

Comme toujours, les paris hippiques seront ouverts pour les plus grands, et pour les plus petits, il sera possible de faire des balades en poney à partir de 13 heures.

La buvette et le snack seront ouverts dès 11 heures.

L’entrée est gratuite et un parking est à disposition au centre de l’hippodrome.

Plus d’informations ICI

L’article Courses hippiques ce dimanche 15 septembre à Pirae est apparu en premier sur TNTV Tahiti Nui Télévision.

Aviron indoor : Pascal Tuiho, triple médaillé aux PaRowlympics Challenges

$
0
0

Sur son aviron indoor, Pascal Tuiho a remporté une nouvelle victoire : comme en 2021, il a relevé le défi des PaRowlympics Challenges. En cumulant des séries de 40 minutes pour atteindre 3 heures puis 5 heures et enfin 7 heures de rame, Pascal a décroché en ligne le bronze, l’argent et l’or. Des médailles symboliques qui sont le résultat d’un entrainement rigoureux. Ce challenge, c’est à sa manière, ses Jeux paralympiques : « Je me suis entrainé toute l’année, j’étais prêt à relever le défi. Je cherche toujours à me dépasser. (…) On était 2 Tahitiens sur les 89 participants. Il y a eu 32 médailles d’or en tout, 28 d’argent et 22 de bronze. ».

Le challenge sportif s’est déroulé en même temps que les Jeux paralympiques de Paris 2024. Pascal espère que cet événement international pourra servir la cause des athlètes locaux en situation de handicap et leur permettra d’accéder à un niveau qui leur ouvrirait les portes de prochains Jeux. « Quand je voyais le para tennis de table, ça me donnait envie. Mais je n’ai pas les moyens pour y aller. J’espère que le gouvernement, les sponsors… pourront éventuellement s’orienter vers l’adaptation et l’accessibilité. Peur-être que dans 4 ans, on pourrait avoir des Polynésiens aux prochains Jeux paralympiques si on s’y prend maintenant ».

Des heures d’efforts à la force des bras et du mental. (Crédit photo : Tahiti Nui Télévision)

Avec l’océan comme thérapie, Pascal a participé à plusieurs exploits sportifs depuis son accident en 2016. Compétiteur dans l’âme, il s’est initié à l’aviron en duo puis solo malgré sa tétraplégie.

Grâce à un soutien humain et logistique et à une rigueur sans faille, il a retrouvé au fil des années de la mobilité dans les bras. Des capacités qui lui permettent aujourd’hui de retrouver le plaisir de nager dans le lagon.

L’article Aviron indoor : Pascal Tuiho, triple médaillé aux PaRowlympics Challenges est apparu en premier sur TNTV Tahiti Nui Télévision.

La Tahiti Pearl Regatta de retour en 2024 du 16 au 20 septembre

$
0
0

Malgré quelques incertitudes en début d’année, la Tahiti Pearl Regatta est bien de retour en 2024, organisée par la Fédération Tahitienne de Voile (FTV).

En 20 ans, la Tahiti Pearl Regatta a su s’imposer comme l’une des plus belles et des plus médiatiques courses du Pacifique insulaire. « La course est connue dans le monde, mais en majorité, ce sont surtout des locaux qui font cette régate parce que les lagons de Raiatea et Tahaa sont tellement merveilleux qu’on a envie d’y aller. Cette année, on a 5 jours de compétition avec un petit break le mercredi où on va emmener la population faire de la voile. On les invite à venir essayer les bateaux et naviguer avec les équipages » indique Didier Arnould, président de la FTV.

Le programme :

Organisée depuis 2004, cette course autour et dans les lagons de Raiatea et Tahaa réunit des équipages locaux et internationaux pour 5 jours de festivités.

Les parcours :

La compétition est ouverte à tout type de voiliers sans limitation de taille. Il est possible de s’inscrire jusqu’à lundi en ligne ICI.

L’article La Tahiti Pearl Regatta de retour en 2024 du 16 au 20 septembre est apparu en premier sur TNTV Tahiti Nui Télévision.

Te Mana o Te Moana, les anges gardiens des tortues marines au fenua

$
0
0

Après 10 mois de soins, Kava, une jeune tortue verte, est enfin prête à prendre le large. Une réhabilitation qui n’aurait pas été possible sans l’aide de Te Mana o Te Moana. Depuis la création de l’association il y a 20 ans, plus de 670 tortues affaiblies ou blessées ont été prises en charge.

« On voit que ces dernières années, il y a une tendance à l’augmentation des collisions avec les bateaux et on a toujours un peu de braconnage, mais qui a quand même diminué sur les tortues qu’on reçoit. (…) Une fois qu’on réceptionne la tortue au centre de soin, on va lui faire un premier examen clinique où on va vraiment faire les traitements, pour faire en sorte qu’elles aillent mieux. Et une fois qu’elles regagnent un peu d’énergie, on les teste dans notre lagon de réhabilitation. Quelques heures par jour au début, et si elles vont mieux, de plus en plus longtemps jusqu’à ce qu’elles y restent à plein temps avant d’être relâchées dans l’océan » explique Jade Gouin, vétérinaire, coordinatrice des programmes de conservation pour l’association Te Mana o Te Moana.

Mais les soigner ne suffit pas à garantir leur avenir. Les tortues marines, pourtant protégées, doivent faire face à de nombreuses menaces liées aux activités humaines : pollution, pêche, braconnage et loisirs nautiques. Seule solution pour changer la donne : la sensibilisation.

« On organise des programmes éducatifs dans lesquels on accueille des scolaires de partout en Polynésie où on va travailler sur des programmes de sensibilisation. On a également des projets éducatifs qu’on va créer en fonction des thématiques environnementales actuelles. De manière générale, je dirais qu’au niveau des problématiques environnementales, que ce soit la pollution, le réchauffement climatique, les problématiques d’érosion… ce sont des problématiques qui sont quand même comprises par la population. Parfois, c’est un petit peu compliqué de faire changer les habitudes, mais on est quand même sur une bonne direction » indique Hélène Duran, directrice de l’association.

Si vous souhaitez vous impliquer aux côtés de Te Mana o Te Moana, l’association recherche des bénévoles et/ou des services civiques pour participer au suivi des pontes sur l’atoll de Tetiaroa.
À noter qu’il faut être disponible au moins 4 semaines entre le mois d’octobre et le mois de mars.
Une occasion unique de contribuer à la protection de ces fascinantes créatures.
Vous pouvez candidater à info@temanaotemoana.org

L’article Te Mana o Te Moana, les anges gardiens des tortues marines au fenua est apparu en premier sur TNTV Tahiti Nui Télévision.


Le swim & run, une discipline en plein essor au Fenua

$
0
0

200 participants à la Vodafone Swimrun de Punaauia, 300 à la Swimrun Vaipahi, et plus 350 à la Tauati Ferry Swimrun de Moorea il y a deux semaines. Le swimrun a la côte au fenua. En témoigne les compétitions qui se multiplient, au point de prendre le pas sur le trail et le triathlon. Une popularité qui se voit aussi du côté des clubs de natation. L’année passée, le cercle des nageurs de Polynésie a compté environ 30% d’inscriptions supplémentaires.

« On a un public adulte qui vient se renseigner auprès du club pour perfectionner la natation, et ça dans un but qui est de se perfectionner dans la pratique du swim & run, explique Katarin Quelennec-Lorzil, directrice technique et entraîneuse. À la base ce sont peut-être des coureurs qui veulent s’essayer à cette pratique-là, se perfectionner pour perdre un peu moins de temps dans l’eau ! » 

Née en Suède, dans l’archipel de Stockholm, la discipline connaîtra sa toute première compétition en 2006, baptisée Otillo, littéralement « d’île en île » en français. Un sport qui est donc parfaitement adapté à la Polynésie, comme le rappelle le président de la fédération de triathlon, Joe Tapare. « Déjà ça nécessite moins d’équipement, il y a aussi un vrai esprit de convivialité parce qu’on coure par équipe de 2, par binôme. Et c’est aussi la diversité de l’environnement puisqu’on progresse sur plusieurs distances, dans l’eau et sur terre… Et la Polynésie dispose d’un terrain de jeux qui se prête très bien à cette discipline. »

Depuis qu’il a découvert le swimrun, l’ancien sénateur Richard Tuheiava enchaîne les compétitions les plus difficiles, comme ici sur le circuit Rockman, une version ultra de la discipline.

Directeur de cabinet du président de l’assemblée, Richard Tuheiava a été mordu par la discipline il y a quelques années. Il en est même devenu un fervent ambassadeur sur les réseaux sociaux. Une révélation qui lui a permis de perdre 30 kg en un an et demi. « C’est un sport d’émerveillement, je ne cherche pas la performance. Dans le cadre de cet entraînement, j’ai suivi la passion et l’émerveillement que m’a procuré ce sport. Il a fallu découvrir que le corps avait besoin de perdre du poids. Je crois que c’est un peu le but aussi. Mais on ne perd pas du poids que pour perdre du poids. On perd du poids parce qu’on a besoin d’être plus à l’aise, d’être beaucoup plus mobile, plus agile. Et peut-être aussi pour ménager ses articulations et tendons ».

« J‘ai suivi la passion et l’émerveillement que m’a procuré ce sport. Il a fallu découvrir que le corps avait besoin de perdre du poids. »

Richard Tuheiava, directeur de cabinet du président de l’assemblée et passionné de swimrun.

Pour cet ancien sénateur jadis au bord de l’obésité, le swimrun a été une « raison profonde » de perdre du poids, un élément « moteur » et « central, à côté d’une démarche de vie, de renaissance, mais aussi d’une réécriture de mon histoire personnelle par rapport à des antécédents sanitaires en relation avec ma famille ». Mais au-delà de la force physique que ce sport lui procure, c’est aussi le rapport à la nature qui le séduit.

« C’est que ce n’est pas nous qui sommes maitres de la nature. C’est la nature qui décide, et nous, on s’adapte. Et dans le sport à deux, en équipe, notamment la pirogue ou le swimrun, on est obligés de respecter ça comme postulat de base. Il n’y a pas une course de swimrun qui se ressemble. Que ce soit au niveau de la température de l’eau, des vents, des courants, même l’ensoleillement ou la chaleur ! Même si on répète la même course l’année suivante, ce ne sera pas la même. » 

Si le swimrun dépend encore de la fédération tahitienne de triathlon, de nombreux pratiquants espèrent voir la discipline se développer au sein d’une fédération propre et surtout d’un championnat.

L’article Le swim & run, une discipline en plein essor au Fenua est apparu en premier sur TNTV Tahiti Nui Télévision.

Une journée pour trouver un job le 12 septembre à Punaauia

$
0
0

Ce jeudi 12 septembre, la ville de Punaauia organise à la mairie de 8h30 à 15h30 la 1ère édition de la Journée de l’emploi. Un évènement dédié à l’accompagnement des demandeurs d’emploi de la commune.

Une quinzaine de chefs d’entreprises seront présents. Ils feront passer des entretiens d’embauche sous forme de « jobdating » pour tenter de trouver leurs nouvelles recrues. Plus de 50 postes sont à pourvoir, annonce la commune.

Les grands acteurs de l’emploi en Polynésie (Service de l’emploi, armée de terre, marine nationale, RSMA, agences d’intérim…) renseigneront aussi les visiteurs sur les opportunités qui s’offrent à eux. Des organismes spécialisés dans la formation et l’entrepreneuriat (CFPA, CCISM, ADIE, …) seront également présents.

Sur place, des services inédits seront proposés : Des coachs spécialisés dans les ressources humaines aideront les candidats à préparer leurs entretiens. Un stand de confection de CV, avec shooting photo et création graphique sera aussi à disposition, animé par la cellule de communication de la commune.

Les personnes non véhiculées pourront se rendre à cette journée grâce à des transports gratuits qui silloneront les rues de Punaauia.

L’article Une journée pour trouver un job le 12 septembre à Punaauia est apparu en premier sur TNTV Tahiti Nui Télévision.

Australie : projet de loi pour fixer entre 14 et 16 ans l’âge minimal pour utiliser les réseaux sociaux

$
0
0

Qualifiant ces sites de « fléau » pour les jeunes, il a affirmé que la loi fédérale instaurant cette limite serait appliquée en 2024, précisant que l’âge minimal pour se connecter à Facebook, Instagram et TikTok devait être fixé entre 14 et 16 ans.

Un test de vérification d’âge à la connexion va être mené dans les prochains mois avant que le texte n’entre en vigueur, a ajouté M. Albanese.

« Je veux voir les enfants loin de leurs écrans et (plutôt) sur les terrains de foot, dans les piscines et sur les courts de tennis », a lancé le Premier ministre de centre-gauche.

« Nous voulons qu’ils aient de vraies expériences avec de vraies gens parce que nous savons que les réseaux sociaux font du mal à la société », a-t-il encore dit sur la chaîne nationale ABC.

Interrogé plusieurs fois sur le sujet, Anthony Albanese a indiqué qu’il était personnellement favorable à un âge minimal de 16 ans.

Le chef de file de l’opposition conservatrice, Peter Dutton, a apporté son soutien au projet de loi du gouvernement.

« Chaque jour de retard laisse les jeunes enfants vulnérables aux menaces des réseaux sociaux », a-t-il déclaré.

« Irréfléchi »

Les analystes estiment cependant qu’une limite d’âge n’aidera pas les jeunes socialement en difficulté.

Pour Daniel Angus, professeur à l’université de Technologie du Queensland, le plan gouvernemental est « imprudent » et « irréflechi » car il intervient avant même le rapport final d’une enquête parlementaire sur les effets des réseaux sociaux sur la société australienne.

Ce projet « sape l’enquête et les principes de la démocratie délibérative et menace de causer de sérieux torts en excluant les jeunes d’une participation importante et saine au monde numérique », poursuit l’expert, qui dirige le pôle de recherche de l’université sur les médias numériques.

La loi pourrait rediriger quantité d’enfants vers « des espaces en ligne de moindre qualité » en « supprimant d’importants moyens de connexion sociale », déplore-t-il encore.

D’après Toby Murray, professeur associé d’informatique et de technologies de l’information à l’université de Melbourne, il n’est même pas certain que les moyens techniques pour appliquer une telle limite existent à ce jour.

« Le gouvernement est en train d’essayer une technologie de vérification de l’âge. Mais on sait déjà que les méthodes actuelles ne sont pas fiables, trop faciles à contourner ou risquées pour la vie privée des utilisateurs », affirme-t-il.

Le Premier ministre soutient de son côté que les parents attendent une réponse au harcèlement en ligne et une manière de contrôler l’accès aux contenus dangereux publiés sur les réseaux sociaux.

Dans le même registre, un projet de loi fixant à 13 ans l’âge minimum pour aller sur les réseaux sociaux a été présenté en avril au Sénat des États-Unis par des législateurs démocrates et républicains, mais aucune date n’est encore fixée pour son examen. 

En France, le président Emmanuel Macron s’est dit au mois de juin pour une interdiction du téléphone portable « avant 11 ans » et des réseaux sociaux « avant 15 ans ».

L’article Australie : projet de loi pour fixer entre 14 et 16 ans l’âge minimal pour utiliser les réseaux sociaux est apparu en premier sur TNTV Tahiti Nui Télévision.

La Journée mondiale du chien célébrée le samedi 28 septembre à Punaauia

$
0
0

Rendez-vous le samedi 28 septembre, dans les jardins de la mairie de Punaauia, de 8 heures à 16 heures pour célébrer les toutous, à l’occasion de la Semaine nationale du chien (du 28 septembre au 6 octobre).

Dès le vendredi 27 septembre, des conférences culturelles auront lieu à partir de 17 heures 30 dans la salle extension de la mairie de Punaauia. (Inscriptions au 40.54.83.00). Des conférences sur le rôle culturel, sociétal, biologique ou encore réglementaire du chien en Polynésie française. Programme détaillé à venir

Le samedi 28 septembre, plusieurs stands et animations seront présents dans les jardins de la mairie. Des stands animés par des acteurs clés de la condition animale, par des associations qui proposeront des chiens à l’adoption, au programme également des démonstrations d’éducation canine, des activités pour petits et grands, des ateliers de sensibilisation…

> Plus d’informations sur l’événement ICI

L’article La Journée mondiale du chien célébrée le samedi 28 septembre à Punaauia est apparu en premier sur TNTV Tahiti Nui Télévision.

Le CNRS de Tahiti, un maillon de la stratégie Indo-Pacifique française

$
0
0

Sur l’échiquier Indo-Pacifique, la France avance également ses pions sur le terrain de la recherche. Le Cirad, l’IRD, l’Ifremer, l’Institut Pasteur en Nouvelle-Calédonie… dans un environnement de plus en plus concurrentiel, elle s’appuie déjà sur un réseau étendu d’instituts et de centres de recherche. Un réseau où le CNRS vient aujourd’hui s’ancrer aux côtés de l’université de la Polynésie.

« Il y a aussi pour la France, dans le cadre de sa géostratégie, la nécessité d’avoir des relations qui ne soient pas uniquement de coopération sécuritaire, mais aussi de coopération académique, d’échange d’étudiants, d’échange d’enseignants, d’échange de chercheurs. Et par exemple, sur la biodiversité, il y a beaucoup d’intervenants étrangers qui viennent en Polynésie, sur le fenua, et donc ça fait partie des enjeux d’échanges essentiels. Il vient d’y avoir, au Forum du Pacifique, un débat assez compliqué sur l’exploitation des fonds marins entre ceux qui en sont déjà revenus, ceux qui ont décidé d’y aller, ceux qui expliquent que ça serait une mauvaise idée de commencer parce que ça remet à nouveau en cause l’équilibre environnemental... Tout ça peut permettre des échanges, et ces échanges-là passent par la science » explique Alain Bauer, professeur au CNAM.

Les portes de la science s’ouvrent un peu plus encore avec la convention cadre signée entre l’UPF et le CNRS. Désormais, les enseignants chercheurs de Polynésie française pourront accueillir leurs homologues de l’Hexagone et travailler ensemble sur des projets chers au fenua. « Le CNRS a des chercheurs très pointus, avec des laboratoires très pointus, et du matériel très pointu, qu’on n’a pas forcément à disposition ici. Mais nous, on a l’expertise du terrain et c’est primordial aujourd’hui » affirme Patrick Capolsini, président de l’UPF.

« La France a une vision mondiale de sa présence. Elle l’a avec ses lycées, elle l’a avec ses centres culturels et elle l’a avec ses universités. C’est une chance formidable et évidemment, elle ne peut pas être limitée à son propre espace. Elle a intérêt pour la Polynésie française, comme pour la France en tant qu’entité, à établir des situations de coopération avec, par exemple, l’ensemble du Forum du Pacifique, les autres établissements, les Américains avec Hawaii, les Australiens et les Néo-Zélandais sont très fortement impliqués dans le développement de la recherche et du financement de la recherche, mais aussi des puissances comme la Chine qui investissent massivement dans les relations et les coopérations académiques et universitaires. Et donc c’est un enjeu tout à fait majeur, et c’est très significatif, non seulement que ces conventions soient signées, mais surtout qu’elles soient appliquées » ajoute Alain Bauer.

Infographie TNTV

Premier organisme de recherche public français, le CNRS dispose d’un vaste réseau dans le monde, avec pas moins de 80 laboratoires de recherche internationaux et de 10 bureaux, dont un à Melbourne en Australie. « La distance avec la métropole, elle est ce qu’elle est, mais le territoire ici est proche d’autres pays scientifiques. Et nous, on serait ravis de pouvoir contribuer à développer des relations entre ce qui se fait ici et l’Australie ou la Nouvelle-Zélande, où il y a des laboratoires de qualité » indique Antoine Petit, président directeur général du CNRS.

Dans ce nouveau centre du monde, la France comme la Polynésie ont donc tout intérêt à jouer la carte science. Un atout de poids pour rayonner dans une zone de plus en plus stratégique.

L’article Le CNRS de Tahiti, un maillon de la stratégie Indo-Pacifique française est apparu en premier sur TNTV Tahiti Nui Télévision.

Va’a : la Fédération sous le choc après le malaise cardiaque d’Aldo Maueau

$
0
0

Rien ne laissait présager un tel drame. Deux heures après le début de la course, Aldo Maueau s’effondre. Il a tout juste le temps d’alerter son équipe. Un choc pour les membres de la Fédération Tahitienne de Va’a. « Nous avons appris la mauvaise nouvelle dimanche, vers 20 heures. Puis sa femme a essayé de nous joindre pour nous dire qu’elle allait en Amérique rejoindre son mari. Ç’a vraiment été une triste nouvelle pour nous, la Fédération » confie Rodolphe Apuarii, président de la Fédération Tahitienne de Va’a.

Personnalité dans le milieu du va’a, Aldo est aussi le président du club Air Tahiti Va’a. L’incertitude sur son état de santé a forcément ému les membres du club restés au fenua : « Aldo, c’est quand même notre président et un ami avant tout. On a essayé de prier de loin pour son rétablissement, de savoir aussi les infos sur comment ça s’est passé, et l’état où il en est à présent » indique Kyle Teraufau, capitaine de la team Air Tahiti Va’a.

Malgré tout, l’équipe a annoncé maintenir la Air Tahiti Va’a Race prévue ce samedi 14 septembre au parc Vairai. Une partie des recettes sera reversée à la famille d’Aldo, en guise de soutien. Une cagnotte en ligne a également été mise en place.

L’article Va’a : la Fédération sous le choc après le malaise cardiaque d’Aldo Maueau est apparu en premier sur TNTV Tahiti Nui Télévision.

5 hommes dont Kikilove condamnés pour l’importation d’1,4 kilo d’ice

$
0
0

L’affaire avait débuté en janvier de cette année avec l’interpellation à l’aéroport de Faa’a d’un homme de retour des États-Unis qui dissimulait in corpore 11 grammes d’ice. Une enquête avait été immédiatement ouverte. Les investigations et écoutes téléphoniques avaient permis de déterminer que la personne arrêtée, et trois autres individus, s’apprêtaient à réceptionner un conteneur au port de Papeete.

Dans celui-ci : une remorque achetée 800 dollars en Californie, dans laquelle une cache avait été aménagée pour y dissimuler la drogue. Des faits que les principaux protagonistes ont reconnus sans détour.

Un garagiste patenté, personnage central du dossier, s’était fait payer son billet d’avion, et celui d’un autre comparse, par celui qu’il considère comme son “employeur”. Un vendeur de voitures d’occasion qui lui a également remis de “l’argent de poche” en espèces.

Le garagiste et son acolyte s’étaient ensuite envolés pour les États-Unis où ils avaient acheté la meth à un revendeur trouvé au hasard. Ils avaient été rejoints quelques jours plus tard par un troisième individu. Un homme de 69 ans, père de 4 enfants, au casier judiciaire vierge et qui ne “connaissait personne dans le milieu”.

Lui était chargé de la “logistique” et devait donc trouver la remorque, puis un transitaire pour la ramener par bateau au fenua. Tous espéraient se partager environ 140 millions de francs après avoir revendu la drogue sur le sol polynésien.

A la barre, le sexagénaire n’a pas cherché a nié qu’il s’était risqué au trafic par pur appât du gain afin d’éponger ses dettes liées à ses échecs professionnels.

J’avais un bateau pour faire du charter. Il y a eu le Covid et l’activité s’est arrêtée. Ensuite, mon bateau a coulé à cause d’une voie d’eau. Il m’avait coûté plus de 20 millions. Tout ça s’est accumulé. (…) Le stress financier était là. Du coup, j’ai accepté. Je suis conscient aujourd’hui que c’était un très mauvais choix”, a-t-il dit au tribunal.

Puis d’ajouter : “Cette époque était tellement difficile que je n’étais plus moi. Je regrette beaucoup, mais je suis quand même content que le produit ne soit pas sorti de la douane et n’a pas causé de dommages aux gens”.

“La nouvelle génération…ils sont 1000 fois plus méchants”

Kikilove

Le vendeur de voitures, lui, est le seul des prévenus à avoir nié toute implication. “Je n’ai pas participé à l’opération. Je lui ai donné 6000 dollars pour qu’il achète des pièces et 4000 dollars d’argent de poche. Il devait me les rendre en espèces ou en heures de travail”, a-t-il juré.

Là où le bât blesse, c’est que cette version diffère de celles données aux enquêteurs. En audition, il avait en effet déclaré : “Je savais qu’il devait ramener de l’ice. Je lui avais prêté 600 000 francs et j’attendais 1,2 million”. “C’était sous le stress de l’audition”, a-t-il tenté pour s’expliquer, ce mardi, après que le président lui a rappelé ses déclarations.

Dernier protagoniste du dossier : Kikilove, l’ancien guide touristique condamné en 2018 à 8 ans de prison pour l’importation d’une trentaine de kilos de méthamphétamine. Mais lui apparait à la marge. Le comparse du garagiste, qu’il avait rencontré en prison, lui avait demandé de lui financer son séjour aux États-Unis.

Il avait prévu d’acheter de son côté 120 grammes d’ice et en remettre au moins la moitié à Kikilove à son retour. Mais il n’était parvenu qu’à incorporer 11 grammes, car “120 grammes, ça fait mal”. Ces mêmes 11 grammes qui ont permis de mettre au jour le trafic.

J’ai prêté bêtement de l’argent. J’ai encore pris une mauvaise décision. J’assume”, a lâché l’ancien guide touristique, “ils ont voulu jouer aux grands avec les stup’, mais on ne joue pas avec ça”. De retour derrière les barreaux depuis 6 mois du fait de cette affaire, Kikilove s’est dit “déprimé”.

Notamment en raison de la violence du milieu carcéral actuel : “Je m’enferme dans ma cellule. Ce n’est plus comme avant. La nouvelle génération…ils sont 1000 fois plus méchants qu’en 2017. Ça s’est dégradé. La violence, ce n’est pas loin de Marseille. Il y a des gangs qui commencent à fleurir. Ils veulent copier l’Occident ou le Mexique”.

Un constat partagé par le procureur qui a déploré “de plus en plus de violence et de prise de pouvoir à Tatutu”, mais aussi la “corruption” des certains agents de l’administration pénitentiaires, choses qu’on “ne connaissait pas il y a quelques années”. 

Après avoir délibéré, le tribunal a considéré que les 5 prévenus étaient tous coupables des faits qui leur étaient reprochés. Le garagiste a écopé de 6 ans de prison ferme et son acolyte de 3 ans.

Le sexagénaire a quant à lui été condamné à 4 ans ferme et le vendeur de voitures d’occasion, qui se disait innocent, à 3 ans. Pour ce qui est de Kikilove, il passera, lui aussi, encore 3 ans derrière les barreaux. Les 3 prévenus qui s’étaient présentés libres devant le tribunal, ont été incarcérés sur-le-champ.

Tous devront également s’acquitter d’une amende douanière solidaire de 139,8 millions de francs. Une très mauvaise affaire pour eux qui souhaitaient solder leurs dettes et prendre un nouveau départ.

L’article 5 hommes dont Kikilove condamnés pour l’importation d’1,4 kilo d’ice est apparu en premier sur TNTV Tahiti Nui Télévision.


Deuxième édition du Forum des métiers à Moorea

$
0
0

Moorea organise la deuxième édition du Forum des métiers le vendredi 13 septembre à la salle omnisports de Afareaitu, de 8 heures à 13 heures 30.

Que vous soyez un étudiant ou en recherche d’emploi, ce forum est l’occasion de découvrir des métiers variés, de rencontrer des professionnels, de s’informer sur des formations disponibles.

Plus d’informations ICI

L’article Deuxième édition du Forum des métiers à Moorea est apparu en premier sur TNTV Tahiti Nui Télévision.

La pirogue en falcata de Viper va’a lauréate de la Grande exposition du fabriqué

$
0
0

La Grande Exposition du Fabriqué en France revient pour sa quatrième édition, au Palais de l’Elysée, à la mi-octobre.

Initié par le président de la République en 2020, et ouvert au public, cet événement met à l’honneur les entreprises, les artisans, les producteurs, les industriels et les associations engagés dans une démarche de fabrication française.

Cette année, 122 produits ont été sélectionnés pour la Grande Exposition du Fabriqué en France. Ces produits lauréats sont des objets du quotidien, des spécialités locales ou des innovations qui illustrent la richesse des savoir-faire français et de ses territoires. C’est l’entreprise Viper Va’a, basée à Raiatea, qui représentera la Polynésie en exposant son nouveau V1 VenomWood à l’Elysée.

Conçu notamment à partir de Falcata, le V1 Venomwood montre les perspectives offertes par la valorisation de certaines espèces végétales. Si le falcata est aujourd’hui considéré comme une espèce invasive, il présente néanmoins, par sa légèreté et sa résistance à la compression, les propriétés mécaniques idéales pour la construction de va’a. Le V1 VenomWood a nécessité près d’un an de recherche et de développement.

L’article La pirogue en falcata de Viper va’a lauréate de la Grande exposition du fabriqué est apparu en premier sur TNTV Tahiti Nui Télévision.

Apetahi express : test réussi pour la future ligne entre la Presqu’ile et Papeete

$
0
0

Test réussi ce mardi matin pour l‘Apetahi Express. Le navire a relié Papeete à Faratea en 1h et 05 minutes. Un test qui a aussi permis au capitaine Faraire Faaora « de voir les infrastructures à quai, voir de quoi on a besoin pour bien sécuriser le navire à quai. » 

À la Presqu’ile on se réjouit. Pour le tavana de Taiarapu Est Anthony Jamet, l’offre « va plaire à la population en matière de transport. Non seulement permettre la fluidification de la circulation, mais en même temps offrir un nouveau moyen de transport en toute sécurité, pour rejoindre dans les plus brefs délais la commune de Papeete, la grande agglomération ».

Pour rendre ce trajet accessible à tous, la compagnie prévoit de proposer un ticket Taiarapu-Papeete à 1000 Fcfp l’aller simple.

« C’est vrai que la ligne est 3x plus longue que celle de Moorea, et on arrive à se mettre au même tarif que Moorea, tout simplement parce qu’on vient en extension d’une ligne existante, explique le directeur général du groupe Tuatea, Samuel Matton. C’est-à-dire qu’on a rajouté Taiarapu sur la ligne des raromatai que fait déjà l’Apetahi express. »

Un tarif attractif, donc, mais des trajets limités, avec seulement 3 rotations par semaine pour commencer.

« La compagnie armatrice de l’Apetahi express avait envisagé une rotation plus régulière sur la côte Ouest il y a quelques années, mais le problème, c’est que le coût de l’opération était tel que le prix devenait rédhibitoire pour les usagers. Donc là, il serait intéressant d’étudier la rentabilité de cette nouvelle desserte, pour savoir si une desserte plus régulière pourrait être mise en service » déclare le ministre des Transports Jordy Chan.

Si tout se déroule comme prévu, la ligne sera mise en service début octobre, à l’issue du diagnostic de sécurité.

L’article Apetahi express : test réussi pour la future ligne entre la Presqu’ile et Papeete est apparu en premier sur TNTV Tahiti Nui Télévision.

La Nouvelle-Calédonie veut déclarer l’urgence climatique

$
0
0

« Les îles du Pacifique sont en première ligne face au réchauffement climatique mondial » et « le Vanuatu et la Nouvelle-Zélande ont déjà déclaré l’urgence climatique« , fait valoir le gouvernement local dans un communiqué, citant les travaux du Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (Giec).

La déclaration d’urgence climatique doit s’accompagner d’une stratégie d’adaptation reposant sur un forum réunissant experts et membres de la société civile, qui transmettra ses recommandations à un « comité calédonien du changement climatique« .

Ce dernier sera chargé de la gestion d’un « fonds de résilience » qui recueillera des financements extérieurs de grandes fondations pour soutenir des actions de lutte contre le changement climatique, poursuit le communiqué.

Ces mesures, adoptées mercredi par le gouvernement calédonien, doivent prochainement être soumises à l’approbation des élus du congrès, l’assemblée délibérante de ce territoire de 270.000 habitants. En Nouvelle-Calédonie, les conséquences du changement climatique sont déjà visibles.

L’île d’Ouvéa, mais aussi la côte Est de la Grande Terre, subissent l’érosion causée par l’élévation du niveau de la mer. Des habitations, des infrastructures et des terres agricoles sont menacées de disparition.

L’archipel voit également le nombre de phénomènes intenses (fortes pluies ou sécheresses majeures) s’amplifier. Enfin, la hausse des températures marines affecte les récifs de corail, touchés par des épisodes de blanchissement.

L’article La Nouvelle-Calédonie veut déclarer l’urgence climatique est apparu en premier sur TNTV Tahiti Nui Télévision.

Le nouveau Comsup souhaite « mieux expliquer les enjeux de la défense à nos jeunes »

$
0
0

Tahiti Nui Télévision : Vous êtes officiellement le nouveau Comsup depuis à peu près un mois, mais ce n’est pas la première fois que vous venez sur le territoire. Vous connaissez bien la Polynésie française ?
Contre-Amiral Guillaume Pinget, nouveau commandant supérieur des forces armées en Polynésie française : « Je ne pense pas qu’on puisse dire que je connaisse bien la Polynésie française. Je suis en effet venu il y a 28 et 27 ans ici, où j’ai passé six mois sur un bateau basé dans le Pacifique à Nouméa, qui venait en réparation ici à Tahiti. »

TNTV : En tant que Comsup, vous avez certainement un regard qui va au-delà de l’aspect militaire. On l’a vu, la recherche contribue à renforcer l’influence de la France dans la zone indo-pacifique. Comment intégrez-vous les données scientifiques, notamment celles qui tournent autour de l’environnement, dans vos stratégies, dans vos prises de décision ?
Contre-Amiral Guillaume Pinget : « Comme vous l’avez souligné, les enjeux environnementaux sont au cœur des préoccupations des Océaniens, des gens du Pacifique Sud. J’ai été frappé de voir combien finalement ces sujets ressortaient dans les préoccupations du Forum des îles du Pacifique, qui a eu lieu il y a deux semaines aux Tonga, avec la présence du secrétaire général de l’ONU et cet appel à sauver les océans. Je crois que cette mission vis-à-vis des océans est clairement portée par la France, avec en préparation du sommet de l’ONU à Nice en 2025, le sommet des océans, et pour les forces armées en Polynésie, protéger l’environnement, ça fait partie du cœur de nos missions. »

Lire aussi : Le CNRS de Tahiti, un maillon de la stratégie Indo-Pacifique française

TNTV : Les moyens de défense au Fenua commencent à se moderniser. Il y a quelques mois, nous avons accueilli le premier patrouilleur des Outre-mer. Il devrait bientôt y avoir de nouveaux avions de surveillance maritime. Ces moyens sont-ils suffisants pour surveiller, pour intervenir sur toute cette zone qui est aussi vaste que l’Europe ?
Contre-Amiral Guillaume Pinget : « Comme vous le soulignez, ça fait effectivement un mois que je suis là, et j’ai consacré mon premier mois ici à essayer de m’approprier ces enjeux polynésiens. Effectivement, cette mission qui est immense, avec cette zone qui est immense, et ce territoire qui est à la fois magnifique et plein d’enjeux. Ce que je dirais, c’est que la modernisation des forces va dans le bon sens. Elle nous permet d’aller plus vite, d’aller plus loin, d’être plus efficace. Les nouveaux avions que vous évoquez vont permettre d’aller aussi plus loin, plus vite, d’agir mieux de nuit, de mieux voir les choses, et de mieux contrôler les enjeux de cette zone que vous décrivez. »

TNTV : Il y a eu l’exercice Marara et la mission Pegas 24. Faut-il s’attendre à d’autres exercices, à d’autres démonstrations de force dans la région ?
Contre-Amiral Guillaume Pinget : « Marara, ce n’est pas une démonstration de force. Marara, c’est vraiment centré sur l’aide aux populations en cas de sinistre climatique ou d’événements climatiques extrêmes. C’est un exercice qui a lieu tous les deux ans, donc qui est régulier, et qui alterne avec celui des forces armées en Nouvelle-Calédonie, qui s’appelle Croix du Sud. C’est un exercice qui permet de se préparer aux situations de crise avec nos partenaires. Pegas, en effet, c’est un exercice de projection de puissance qui a lieu depuis plusieurs années et qui a vocation à se répéter tous les ans. J’espère qu’on pourra les voir bientôt en Polynésie française. »

TNTV : Dans un monde de plus en plus numérique, les menaces ne sont plus seulement physiques. La cybersécurité est-elle une priorité pour vous, les forces armées, notamment avec l’arrivée de Google en Polynésie ?
Contre-Amiral Guillaume Pinget : « Les armées sont montées en puissance au domaine de la cyberdéfense depuis presque une quinzaine d’années, je pense. On a atteint un niveau de maturité de nos compétences qui est bon. Aujourd’hui, on ne conçoit pas d’opération de milieu pur. On dit qu’aujourd’hui, on a cinq milieux. Terre, air, mer, on rajoute le cyber et l’espace, et on rajoute le champ informationnel et le champ électromagnétique. Pour conduire des opérations militaires, on couvre l’ensemble de ces volets. La cyberdéfense fait partie de tout ça. Sur la partie arrivée Google en Polynésie, je pense que c’est vraiment une bonne chose. J’ai pu aller visiter la semaine dernière les infrastructures de l’OPT à Papenoo. J’ai été impressionné par la qualité de ces infrastructures et de cette connexion. Je pense qu’il va dans le bon sens. On évoquait tout à l’heure les sujets d’environnement, de fonds marins. On peut faire le lien entre tout ça, et la compétition stratégique se joue aussi dans ce domaine-là. Et je pense que cette connexion-là et ce hub est une bonne chose pour la Polynésie et pour les enjeux de sécurité du Pacifique. »

TNTV : Les forces armées jouent aussi un rôle dans la formation et l’emploi des jeunes en Polynésie française. Quelles sont vos ambitions, vos projets pour encourager l’intégration des jeunes dans les forces armées, dans la défense ?
Contre-Amiral Guillaume Pinget : « Avec la modernisation des moyens, j’espère qu’on va retrouver un peu plus d’aisance pour aller plus au contact des Polynésiens. Les Polynésiens, c’est la collectivité qui fournit le plus de soldats à la France par rapport à la population. C’est déjà quelque chose d’extraordinaire. Ce sont des très bons soldats. Ce sont des gens que j’ai toujours apprécié d’avoir sous mes ordres. Les avoir ici, c’est une grande richesse. Pour continuer à développer nos partenariats, on a un centre de recrutement qui est ici en Polynésie, qui est ouvert à tout le monde, qui est sur un domaine public auquel les Polynésiens peuvent venir se rendre. On essaie également de développer pour les plus jeunes les partenariats pour les classes de défense. On va signer d’autres partenariats au cours de ce semestre. Je dirais que je peux lancer un appel. S’il y a des instituteurs ou des collégiens ou des proviseurs de collège qui veulent se lancer dans des partenariats avec les forces armées, j’espère qu’on saura répondre à leurs attentes pour mieux expliquer les enjeux de la défense à nos jeunes. »

L’article Le nouveau Comsup souhaite « mieux expliquer les enjeux de la défense à nos jeunes » est apparu en premier sur TNTV Tahiti Nui Télévision.

Viewing all 31112 articles
Browse latest View live


<script src="https://jsc.adskeeper.com/r/s/rssing.com.1596347.js" async> </script>