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Violent séisme dans le Pacifique au large du Mexique

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AMERIQUE CENTRALE - Le tremblement de terre de magnitude 8 a été ressenti jusque dans la capitale Mexico. Une alerte au tsunami est en cours.
Violent séisme dans le Pacifique au large du Mexique

Le tremblement de terre, dont l'épicentre se situe à 120 km des côtes, a frappé le sud du Mexique dans la nuit de ce jeudi à vendredi. Une alerte tsunami a été déclenchée pour le Mexique mais aussi pour le Nicaragua, le Panama, Honduras, l'Equateur, Costa Rica et le Salvador.

Les secousses ont commencé un peu avant minuit (19 heures heure de Tahiti) et ont duré environ deux minutes. Dans les rues de Mexico les habitants se sont sortis dans la rue, mais les dégâts semblent peu important. Ce qui ne devrait pas être le cas dans le sud du pays, plus proche de l'épicentre.

Selon les premières informations locales il pourrait s'agir du plus gros tremblement de terre connu par le Mexique depuis 1985.
 
 



Vidéo - Forum du Pacifique : les principales résolutions

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CLIMAT - Le Forum des Îles du Pacifique s'est achevé vendredi soir à Apia (jeudi soir à Papeete), avec plusieurs heures de retard en raison de tensions entre l'Australie et les petites îles, en raison de leur positionnement différent sur le réchauffement climatique. Voici les principales résolutions à retenir de ce 48ème Forum.
Vidéo - Forum du Pacifique : les principales résolutions
C'est Tuvalu qui a mené la charge. Déjà virulent face à Donald Trump, qu'il avait comparé à une tortue, le premier ministre des Tuvalu Enele Sopoaga s'est battu bec et ongles, selon des sources internes, pour obtenir un texte ferme sur le réchauffement climatique. La retraite des leaders devait s'achever entre 15 et 16h, mais ils sont sortis quatre heures plus tard. Et une nouvelle fois, c'est le plus riche qui finit par dominer les débat : l'Australie. Ce pays est le plus puissant de la zone et c'est le grand financier du forum ; il est donc difficile pour les petites îles de s'imposer face à lui. Et, si la lutte contre le changement climatique tient une large part dans le communiqué final, le ton est assez tiède, bien loin des idées de Tuvalu ou Kiribati, des archipels menacés de disparition par la montée des eaux.

Difficile donc de parler de consensus lors de ce forum. Mais, avec son franc-parler, le premier ministre de Tuvalu a tout de même fait bouger les lignes. Et fait comprendre que son archipel ne mourrait pas sans combattre. Il est d'ailleurs très actif sur la scène internationale.

Tiède également est la position du forum sur la Papouasie, encourageant simplement "au respect de élections et des droits de l'Homme", ce qui est bien le moins dans une région aussi tourmentée. Les leaders sont plus prolixes sur les tests nucléaires de la Corée du Nord : ils les "condamnent", ainsi que les menaces sur Guam.

Les leaders s'engagent fermement, en revanche, sur un autre dossier : les indemnités dues aux Îles Marshall par les Américains après leurs essais nucléaires. Les pays du Pacifique soutiennent les Marshall dans leurs requêtes, et demandent au secrétariat du forum de coordonner l'assistance technique pour faire avancer ces dossiers.

Point de détail en faveur de la Polynésie : "Les leaders constatent que la Polynésie française a déposé les éléments de dossiers relatifs à son adhésion en tant que membre à part entière" au Forum. S'ensuit une petite pique diplomatique à l'autre collectivité française devenue membre cette année : "La Nouvelle-Calédonie est proche d'achever son dossier d'adhésion". Autrement dit, un an plus tard, ce n'est toujours pas terminé.

Ce seront d'ailleurs les seules allusions à la Polynésie française et à la Nouvelle-Calédonie. Pas de résolution, par exemple, sur le trafic de drogue dénoncé par Edouard Fritch au forum. Mais cette question a été abordée et va faire son chemin, assure le président polynésien.

En dehors de ces résolutions, le Forum aura été marqué cette année par la présence constante de Chinois, en particulier des sociétés et des investisseurs, qui souhaitent conclure des partenariats avec les Îles du Pacifique. De nombreuses délégations des îles viennent d'ailleurs avec des entreprises pour développer leurs échanges et trouver de nouveaux marchés, ce qui n'a pas été le cas de la Polynésie.

Le prochain Forum des Îles du Pacifique aura lieu dans un an à Nauru.

Mike Leyral
 

L'interview d'Edouard Fritch à l'issue du 48ème forum :

 

Le communiqué complet du 48ème forum :

FORTY-EIGHTH PACIFIC ISLANDS FORUM
 
Apia, Samoa
 
5 - 8 September, 2017
 
FORUM COMMUNIQUÉ
 
The Forty-Eighth Pacific Islands Forum was held in Apia, Samoa from 5 – 8 September 2017 and was attended by Heads of States, Governments, and Territories from Australia, Cook Islands, Federated States of Micronesia, French Polynesia, Republic of Kiribati, Republic of the Marshall Islands, Republic of Nauru, New Caledonia, Papua New Guinea, Samoa, Solomon Islands, Tonga, Tuvalu and Vanuatu. Republic of Palau was represented by their Vice President, the Republic of Fiji was represented by the Minister for Defence and National Security, New Zealand by the Minister for Foreign Affairs , Niue the Minister for Social Services. The Forum Leaders’ Retreat was held at Taumeasina Island Resort in Apia on 8 September 2017.
 
  1. Tokelau attended the formal session as an Associate Member. American Samoa, Wallis and Futuna, the African, Caribbean and Pacific Group of States Secretariat; the Asian Development Bank, the Commonwealth Secretariat, the United Nations (UN), the Western and Central Pacific Fisheries Commission (WCPFC), the International Organisation for Migration and the World Bank attended as Observers. The Council of Regional Organisations of the Pacific (CROP): the Pacific Islands Forum Fisheries Agency (PIFFA); the Pacific Power Association (PPA); the Secretariat of the Pacific Community (SPC); the South Pacific Tourism Organisation (SPTO); the Secretariat of the Pacific Regional Environment Programme (SPREP); and the University of the South Pacific (USP) were represented by their respective Heads of Organisations and senior officials.
 
  1. Forum Leaders expressed their warm appreciation to the Prime Minister of Samoa, the Government and the people of Samoa for the kind and generous hospitality extended to all delegations. Leaders commended the outstanding preparations and facilitation of the 2017 Leaders’ and related meetings which enabled Leaders and all participants to hold inclusive and constructive discussions, and contributed to the overall success of the 48th Pacific Islands Forum.
 
 
THE BLUE PACIFIC – OUR SEA OF ISLANDS – OUR SECURITY THROUGH SUSTAINABLE DEVELOPMENT, MANAGEMENT AND CONSERVATION
 
  1. Leaders reaffirmed the Framework for Pacific Regionalism (FPR) as their platform for a renewed commitment to collective action to drive the region’s policy agenda towards the realisation of the Leaders vision for a region of peace, harmony, security, social inclusion, and prosperity so that all Pacific people can lead free, healthy and productive lives.
 
  1. Leaders further reaffirmed the value of ownership of the regional agenda through an inclusive and transparent policy development process. Leaders recognised the value of dialogue processes with the Associate Member, Observers, Forum Dialogue Partners, CROP Heads, civil society and private sector to inform the Leaders meeting.
 
  1. Leaders endorsed The Blue Pacific identity as the core driver of collective action for advancing the Leaders vision under the Framework for Pacific Regionalism. Through this endorsement, Leaders recognised The Blue Pacific as a new narrative that calls for inspired leadership and a long-term Forum foreign policy commitment to act as one “Blue Continent”. In considering the shifts in the global and regional contexts, Leaders recognised the opportunity of The Blue Pacific identity to reinforce the potential of our shared stewardship of the Pacific Ocean and reaffirms the connections of Pacific peoples with their natural resources, environment, culture and livelihoods.
 
  1. Leaders further recognised The Blue Pacific as being about all Pacific peoples comprising our ocean of islands, who recognise their needs and potential, who plan and own their development agenda, and who can act collectively for the good of all, rather than a few. The Blue Pacific is the catalyst for deeper Pacific regionalism.
 
  1. Leaders reiterated their support for existing regional ocean policy and declarations, and strengthening of the Office of the Pacific Ocean Commissioner for coordination and advocacy of cross-sectoral ocean issues. Leaders called for the commencement of the negotiations in the UN for a new Implementing Agreement on the Conservation and Sustainable Use of Biodiversity on Areas Beyond National Jurisdiction.
 
  1. Leaders committed to fast track the development of policies to ban the use of single-use plastic bags, plastic and styrofoam packaging and called on Pacific Rim partners to join and commit to action on addressing marine pollution and marine debris, to maintain the environmental integrity of the Pacific Ocean for people, planet and prosperity.
 
  1. Leaders called for a united regional effort that establishes and secures international recognition of the permanent protection and integrity of the maritime zones and sovereignty, from the impacts of climate change and sea-level rise. Leaders noted the leadership of Cook Islands, French Polynesia, New Caledonia, Palau and Vanuatu toward integrated ocean management of their maritime and exclusive economic zones.
 
 
ANALYSIS OF REGIONAL GOVERNANCE AND FINANCING
 
  1. In considering the need for coherent implementation of the Forum Leaders’ decisions as well as the need to address the current fragmentation of actors in their support of the regional policy agenda, Leaders confirmed they are the apex of the regional architecture and the driver of regional priority setting and resource allocation. Leaders’ committed to ensuring a whole-of-government engagement with the regionalism agenda to strengthen the regional architecture and maximise effective use of resources regional actions and initiatives; embed the Forum agenda across the CROP and its member agencies, including at ministerial and institutional governance levels; and commence a Member-driven process to converge regional meeting platforms and agenda setting processes.
  2. In relation to implementing the Forum agenda, while recognising national needs and priorities, Leaders encouraged donors and partners to the region to align their resources, including through a regular regional donor roundtable linked to the Forum Economic Ministers Meeting (FEMM).
 
  1. Leaders instructed CROP and its member agencies to ensure that meetings and their agendas are rationalised to take forward the Forum agenda in a synchronised way, and directed the CROP Chair to work closely with the Heads of CROP agencies and their respective Governing Boards to develop an implementation plan of the recommendations above and to report to Leaders on progress.
 
 
SUSTAINABLE DEVELOPMENT PRIORITIES
 
  1. In endorsing the Pacific Roadmap for Sustainable Development, Leaders reinforced the centrality of the FPR in contextualising global commitments under the 2030 Agenda and the SAMOA Pathway. Leaders acknowledged with appreciation the work of the SDG Taskforce and all key stakeholders in preparing the PRSD. Leaders committed to focusing their national as well as regional collective efforts to ensure that “no one is left behind” and requisite resources are secured. Leaders recognised that the five elements of the Roadmap provided the requisite guidance for the achievement of the 2030 Agenda by the region. Specifically, the elements are: (i) leadership and coordination; (ii) advocacy and communications; (iii) regional monitoring and indicators; (iv) integrated reporting; and (v) supporting the means of implementation.
 
  1. Leaders agreed to strengthen Pacific solidarity by ensuring collective efforts through improved ownership and returns from The Blue Pacific by way of specific initiatives including the following regional priorities:
 
  1. Fisheries
 
  1. Leaders acknowledged the progress made by the Fisheries Task Force in implementing its agreed work programme, and noted the need for national level policy coherence to support regional policy positions as highlighted in the Tuna Political Mapping Report and noted the need to consult further with the relevant fisheries experts on the proposed recommendations in the report. Leaders recognised from their dialogues with stakeholders that the increasing demands for fisheries resources across the region requires coherent and coordinated approaches to address multidimensional issues including illegal, unreported, unregulated (IUU) fishing, and monitoring, control and surveillance.
 
  1. Leaders noted with concern reports that the negotiation of a new management measure for tropical tuna in the Western and Central Pacific Fisheries Commission is being used by some WCPFC members, including some Forum Dialogue Partners to undermine zone based measures, that Forum Members have developed in exercise of their sovereign rights under international law.  Leaders called on such partners to withdraw proposals for flag State based measures and to actively support Forum members’ efforts to gain benefits from sustainable management of fisheries in their EEZs.
 
  1. Climate Change and Resilience
 
  1. Framework for the Resilient Development of the Pacific (FRDP) to be fully elaborated to reflect the outcomes of the Paris Agreement and called on the Secretariat to undertake a process for this elaboration.
 
  1. Leaders supported, on a trial basis for an initial period of two years, the proposed Pacific
    Resilience Partnership (PRP) governance arrangements agreed by the PRP Working Group to ensure effective implementation of the FRDP while encouraging flexibility to allow the participation of Members in the Task Force; and committed the Forum Secretariat to support the successful implementation of the FRDP.
 
  1. With regard to the issue of fragility and vulnerability, Leaders reiterated their call to the World Bank for an expanded definition of “fragility” to take into account the vulnerabilities faced by Forum Island Countries.
  2. Leaders welcomed the early entry into force of the Paris Agreement on Climate Change in November 2016, at the twenty-second Conference of the Parties (COP 22), in Marrakech, and reaffirmed the Pacific Islands Forum’s commitment to continue to work with others who remain steadfast on their obligations under the Paris Agreement. Leaders welcomed the adoption of the Kigali amendment to the Montreal Protocol on Substances that Deplete the Ozone Layer (“Montreal Protocol”) and urged countries to accede to the amendment.
 
  1. Leaders recognised the unique opportunity that the twenty-third Conference of the Parties (COP 23) to the United Nations Framework Convention on Climate Change provides to the Pacific, building up on the outcome of the UN Ocean Conference, and expressed their support towards Fiji’s COP 23 Presidency.
 
  1. Leaders acknowledged Fiji’s five key priorities for the COP 23 presidency, namely: (i) facilitative dialogue; (ii) implementation guidelines and the Paris Agreement Rule Book; (iii) Gender, local communities and indigenous peoples platform; (iv) Adaptation and loss and damage; (v) Oceans pathway through 2020 that strengthens the ocean-climate change nexus.
 
  1. Recognising the significant vulnerability of Forum Island Countries to the adverse impacts of climate change, Leaders called for urgent, ambitious action from the global community to address climate change, including the provision of finance to implement the Nationally Determined Contributions (NDCs), finalising the Paris Agreement Guidelines by 2018, and launching an inclusive process to elaborate the Facilitative Dialogue.
 
  1. Leaders tasked the Forum Secretariat to coordinate, in consultation with Members, the work of CROP agencies in preparations leading up to the COP 23 in Bonn, Germany. Leaders agreed to remain fully engaged in the upcoming regional and global preparatory meeting, including the pre-COP meeting to be held in Nadi from 17 – 18 October.
  2. Leaders supported eligible Member’s application to the Green Climate Fund, including that of Nauru.
 
  1. PACER Plus
 
  1. Leaders acknowledged the signing of PACER Plus on 14 June, 2017 in Nuku’alofa, Tonga, as a milestone achievement noting that eleven Forum member countries have already signed.
 
SECURITY
 
  1. Radioactive contaminants in the Republic of the Marshall Islands
 
  1. Leaders recalled that the Republic of the Marshall Islands was placed by the international community under the trusteeship of the United Nations administered by the United States of America, both of which therefore have ongoing obligations to encourage a final and just resolution for the Marshallese people. Leaders welcomed the recommendations in the Special Rapporteur’s report submitted to the UN Human Rights Council in September 2012, and that the statement of the UN Secretary-General on 14 August 2016 that “finding a solution to this issue is critical for the future of the Republic of the Marshall Islands’ and his assurance that the relevant United Nations entities stand ready to respond to requests for assistance.
 
  1. Leaders supported bilateral, regional and multilateral action to assist the Republic of the Marshall Islands in its efforts to engage the United States towards a justified fair and just resolution to the U.S. Nuclear Testing Programme and agreed to submit letters to the US Government urging the US to take further action to meaningfully address the ongoing impacts resulting from the US Nuclear Testing Programme, and to the United Nations Secretary General regarding any requests for assistance submitted to relevant United Nations agencies by the Republic of the Marshall Islands, and any other measures which may assist to address the ongoing impacts of nuclear testing in the Pacific.
 
  1. Leaders recalled their decision from 2016 and reaffirmed that the Forum Secretariat  coordinate assistance by CROP Agencies to the Republic of the Marshall Islands in addressing ongoing impacts of nuclear testing, including, inter alia, human rights, environmental contamination, and health impacts. Leaders further tasked the Pacific Islands Forum Secretariat General to report to the 49th Pacific Islands Forum on actions taken in this regard.
 
  1. RAMSI
 
  1. In reflecting on the state of Pacific regionalism since the Forty-Seventh Pacific Islands Forum in 2016, Leaders acknowledged the conclusion of RAMSI and recognised it as a true testament to the benefits of regionalism and a shining example of regional cooperation and diplomacy, embodying more than a decade of partnership and cooperation amongst Forum members.
 
  1. Leaders congratulated the Government and the people of Solomon Islands for the success of RAMSI and acknowledged with appreciation the support of all Forum countries to RAMSI through the deployment of personnel, and to Australia and New Zealand for the significant investment of resources to RAMSI.
 
  1. In considering the recommendation by Forum Foreign Ministers to expand and strengthen collective action for regional security due to emerging security threats to the region, Leaders agreed to build on the Biketawa Declaration and other Forum security related declarations as a foundation for strategic future regional responses recognising the importance of an expanded concept of security inclusive of human security, humanitarian assistance, prioritising environmental security, and regional cooperation in building resilience to disasters and climate change. Leaders tasked the Forum Secretariat to initiate consultations on developing a comprehensive ‘Biketawa Plus’ declaration for Leaders consideration at their next meeting.
 
  1. In their dialogues with various stakeholders, Leaders acknowledged the need to strengthen cooperation and information sharing in maritime domain awareness. Leaders also recognised the importance of addressing cyber-security issues.
 
  1. Tensions in the North Pacific
 
  1. Leaders condemned repeated efforts by the Democratic People’s Republic of Korea (DPRK) to test nuclear weapons and ballistic missiles, and the threat posed to Guam, which constitutes a threat to the wider Pacific Islands region. Leaders also agreed on the importance of ensuring the full implementation of relevant UN Security Council Resolutions.
 
  1. Leaders committed to deregistering any DPRK trading or fishing vessels currently flagged on Pacific states’ shipping registers. New Zealand and Australia will assist other member states with intelligence gathering to identify illegally flagged DPRK vessels and offered to off-set the financial burden incurred.
 
  1. West Papua (Papua)
 
  1. Leaders recognised the constructive engagement by the Forum countries with Indonesia with respect to elections and human rights in West Papua and Papua and to continue a dialogue in an open and constructive manner.
 
FORUM MEMBERSHIP AND MEETINGS
 
  1. Inspired by The Blue Pacific and building on the panel format initiated by the Government of Samoa in this year, Leaders reaffirmed their commitment to reinvigorate their dialogue with all stakeholders in order to ensure more meaningful and robust engagement.
 
  1. Ministerial Meeting Charters
 
  1. Consistent with this, Leaders also considered meeting charters aimed at ensuring greater alignment and coherence to a prioritised regional agenda, in support of the delivery of the vision and objectives of the Framework for Pacific Regionalism.
 
  1. Leaders endorsed the meeting charters for the Forum Economic Ministers Meeting and the Forum Foreign Affairs Ministers Meeting respectively.
 
  1. Leaders endorsed fisheries and climate change to be standing agenda items for Forum Leaders given that they are both key regional priorities that require whole-of-government approach, foremost Leaders close oversight.
 
  1. Forum Membership
 
  1. Leaders noted that French Polynesia has deposited its instruments of ratification to formalise its membership status. New Caledonia is close to concluding its instruments of ratification. Leaders agreed that the authoritative text be in English only.
 
  1. Leaders further noted that future applications should be subject to agreed criteria and due process.
 
 
PACIFIC ISLANDS FORUM SECRETARIAT SUSTAINABLE FUNDING STRATEGY
 
  1. Leaders emphasised the need to demonstrate members’ equitable ownership of the Secretariat and ensure adequate and predictable funding of the Secretariat in order to safeguard its role as an independent body providing high quality policy advice to advance Pacific regionalism.
 
  1. Leaders agreed to delay implementation of the Sustainable Funding Strategy of the Secretariat, which updates the membership shares in the 2000 Agreement Establishing the Pacific Islands Forum Secretariat tasking further work to be carried out on the new sustainable funding arrangements to be implemented, to be tabled at the next meeting. Leaders noted the special position of Smaller Island States, especially their smallness and lack of capacity.
 
 
RENEWAL OF THE SECRETARY GENERAL’S TERM
 
  1. Leaders unanimously agreed to reappointing Meg Taylor, DBE, as Secretary General for a second, three-year term.
 
 

 
COUNTRY INITIATIVES
 
  1. Insurance Facility
 
  1. Leaders considered the concept of a Pacific Island Climate Change Insurance Facility (PICCIF) to cover the impacts of Climate Change and noted a taskforce would be established to further elaborate it. Leaders further supported the idea that the taskforce would report to the Forum Economic Ministers Meeting (FEMM) in 2018 and later to the Leaders meeting.  
 
  1. Leaders also received an update on the establishment of the PCRAFI initiative which is now operational.
 
  1. Pacific Connect
 
  1. Leaders noted the Pacific Connect initiative of Australia, which aims to forge stronger relationships between Pacific and Australian leaders across the public and private sectors.
 
  1. Visa Fee Free Entry (Papua New Guinea)
 
  1. Papua New Guinea advised that they are formalising visa fee free entry for all Pacific Island Forum members and encouraged members to consider offering similar arrangements to strengthen regional integration.
 
  1. Upper Air Space and Air Services
 
  1. Leaders acknowledged the importance of addressing equitable and accessible air services, including maximising benefits of greater ownership of upper airspace management by SIS. Leaders further recognised the urgency of addressing air services and upper airspace management and the importance of addressing these as separate issues.
 
  1. UN CC Displacement Resolution
           
  1. Leaders considered a proposal for a United Nations General Assembly Resolution to Give Protection to People Displaced by Climate Change.
 
 

 
OTHER BUSINESS
 
  1. Smaller Island States Leaders Outcomes
 
  1. Leaders noted the SIS Leaders' Summary of Decisions.
 
  1. Candidacies
 
  1. Leaders:
 
  1. Reaffirmed their support for the Cook Islands’ candidacy, as endorsed by Forum Leaders in 2016, for a position on the Executive Board of UNESCO for the term 2017 - 2020;
 
  1. Supported Fiji’s candidacy to the Human Rights Council for the term 2019 – 2021; and
 
  1. Reaffirmed their support for Australia’s candidacy, as endorsed by Forum Leaders in 2016, for the UN Human Rights Council for 2018 – 2020.
 
  1. Hurricane Irma in the Caribbean
 
  1. Leaders expressed strong solidarity with the Government and people of Antigua and Barbuda, and the Caribbean region following the destruction and loss of lives in the wake of Hurricane Irma.  The Forum Leaders noted that this was one of the strongest Category 5 storms to visit the Caribbean region and called on the international community to urgently consider the provision of necessary support and immediate relief supplies.
 
  1. Leaders recalled the impact of recent cyclones in the Pacific and in particular the significant destruction to infrastructure and economies of small states.  The Leaders reiterated the importance for the international community to recognize the ‘existential threat’ climate change poses to the Pacific, the Caribbean and throughout the Commonwealth  and the critical need to provide the necessary support as small states continue to adopt resilient and innovate approaches to pursue a development agenda and to meet the goals of the SDGs.  
 
VENUE FOR NEXT MEETING
 
57.       Leaders confirmed Nauru as the host for the 2018 Forum.
 

 

Mexique: un séisme historique, au moins 35 morts

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PACIFIQUE - Les secours se déployaient vendredi dans le sud du Mexique, frappé dans la nuit par le plus fort séisme dans ce pays en un siècle, une secousse d'une magnitude 8,2 qui a fait au moins 35 morts.
Mexique: un séisme historique, au moins 35 morts
 La recherche des survivants était la priorité alors qu'à Juchitan, dans l'Etat d'Oaxaca (sud), "des maisons se sont effondrées avec des personnes à l'intérieur", a indiqué le directeur de la protection civile mexicaine, Ricardo de la Cruz, sur la chaîne Milenio TV. Déjà 17 corps ont été retirés des décombres dans cette ville.
L'Etat d'Oaxaca a été le plus affecté par la secousse, avec 25 morts selon le ministre de l'Agriculture José Calzada.

Le tremblement de terre s'est produit jeudi soir à 23h49 locales (04h49 GMT), surprenant beaucoup d'habitants dans la nuit et faisant resurgir le traumatisme du séisme de septembre 1985, qui avait fait plus de 10 000 morts.
"Il s'agit du séisme le plus fort en un siècle", a déclaré le président mexicain Enrique Peña Nieto, depuis le centre national de prévention des désastres, alors que le pays s'apprête également à affronter dans la soirée l'ouragan Katia, classé en catégorie 2 sur une échelle de 5, qui devrait frapper l'Etat de Veracruz (est).
Il a ensuite précisé dans un tweet que "plus de 200 personnes (avaient été) blessées".

Dans l'Etat de Tabasco (sud-est), un enfant est mort dans l'effondrement d'une maison. Un nourrisson qui se trouvait sous assistance respiratoire est lui décédé à cause de la coupure d'électricité provoquée par le séisme.
Onelia Guerra, une habitante d'Oaxaca qui se trouvait à Mexico au moment du séisme, se disait "anxieuse" avant d'embarquer dans un vol pour retourner chez elle. 
"Mon père et mon fils de 14 ans sont seuls là-bas", a dit à l'AFP cette infirmière de 51 ans, dont la maison est située à Salina Cruz, près de Juchitan.
 

Mexique: un séisme historique, au moins 35 morts
L'alerte au tsunami qui avait été déclenchée, sur une large zone allant du centre du Mexique à l'Equateur, a été levée au cours de la nuit.
La secousse a été ressentie jusqu'au Guatemala, où quatre personnes ont été blessées.

Dans la capitale mexicaine, pourtant située à un millier de kilomètres de l'épicentre, le séisme a déclenché des mouvements de panique.
Des centaines de personnes sont sorties avec précipitation dans la rue, en pyjama, portant enfants ou animaux, après le déclenchement de l'alerte sismique.
"Pas encore un (séisme)! Dieu, s'il te plaît, non", a crié une femme en tombant à genoux pour prier.

L'épicentre était situé dans le Pacifique à environ 100 kilomètres au large de la localité de Tonala, sur la côte de l'Etat de Chiapas, selon le centre géologique américain USGS, qui a pour sa part estimé que le séisme était d'une magnitude de 8,1, à une profondeur de 69,7 kilomètres.
Le président Peña Nieto a indiqué que 50 millions de personnes, sur les 120 millions que compte le pays, avaient ressenti la secousse.

Mexique: un séisme historique, au moins 35 morts
Dans la rue, des gens en pyjama, se protégeant du froid avec des couvertures, se massaient sur les trottoirs, alors que les immeubles tremblaient et vacillaient. "J'ai entendu une détonation (...) Les feux de circulation s'agitaient de façon impressionnante", a raconté à l'AFP Mayaro Ortega, une psychologue de 31 ans vivant au nord de la capitale, qui a quitté en toute hâte son immeuble. "Je conduisais quand ça a commencé à trembler. Le véhicule a été secoué", a témoigné Cristian Rodriguez, un chauffeur Uber de 28 ans circulant dans la capitale.

Le ministre mexicain de l'Education Aurelio Nuno a annoncé la fermeture vendredi des écoles dans les Etats d'Oaxaca et du Chiapas. Le Mexique est situé sur un point de rencontre entre cinq plaques tectoniques et connaît une forte activité sismique.

En septembre 1985, un tremblement de terre de 8,1 avait dévasté une grande partie de la capitale et fait plus de 10 000 morts. L'épicentre était situé à environ 400 km, sur la côte Pacifique. Depuis cette tragédie, les autorités mexicaines ont renforcé la réglementation en matière de construction et développé un système d'alerte à l'aide de capteurs situés sur les côtes.

Régulièrement accablé par les catastrophes naturelles, le pays s'est aussi organisé pour faire face aux ouragans qui peuvent frapper ses côtes. Après le passage de l'ouragan Franklin en août, qui a gorgé d'eau les sols dans l'Etat de Veracruz (est), l'arrivée de l'ouragan Katia fait craindre à présent des glissements de terrain meurtriers.
AFP

A Saint-Martin, les collines comme brûlées par l'ouragan Irma

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CATASTROPHE - Dès l'approche des côtes de Saint-Martin, l'ampleur de la dévastation semée sur l'île par l'ouragan Irma saute aux yeux : les collines habituellement couvertes d'une végétation tropicale luxuriante sont désormais brunes, comme brûlées.
A Saint-Martin, les collines comme brûlées par l'ouragan Irma
Plus d'arbres, plus de palmiers... l'ouragan resté trois jours en catégorie 5, - maximum sur l'échelle d'intensité des ouragans - avant d'être rétrogradé en catégorie 4 vendredi, les a complètement dénudés, quand ils n'ont pas été brisés.
Dans la ville de Marigot, chef-lieu de Saint-Martin, c'est le chaos : les toitures sont crevées, éventrées, des débris de tôle, de ferraille et de végétaux jonchent le sol, les routes sont encore légèrement inondées. 

Mais le déblaiement est en cours par endroit. La population dégage les obstacles, scie les arbres, fait des tas de branchages. Dans le ciel, des hélicoptères tournent, quelques sirènes retentissent de temps en temps.
Sur le quai du port, une troupe de touristes attend, l'air fatigué, un bateau qui voudra bien les emmener loin de l'île dévastée. Ce sont des Américains de New York et du New Jersey. "Nous étions à l'hôtel", explique Gary Epstein, un quadragénaire qui termine avec son épouse des vacances au goût amer. 

Autour de lui, tous veulent raconter : "L'eau est montée jusqu'au deuxième étage, on n'avait plus d'eau, plus d'électricité, plus d'information, juste du bruit, du bruit, un bruit assourdissant".

Dans le quartier commerçant de Galice Bay, des militaires patrouillent, armés. Ils sécurisent notamment un Super U, le seul supermarché qui n'a pas été pillé dans la ville. 

Alors que l'électricité est revenue vendredi dans certains quartiers, l'eau est toujours coupée partout. 
Et ceux qui ont des voitures en état de marche s'en servent pour recharger leur téléphone en gardant le moteur allumé pour alimenter la batterie, sur les trois ou quatre points de la ville connus pour être connectés au réseau téléphonique. 

 


A Saint-Martin, les collines comme brûlées par l'ouragan Irma
Hervé Meunier, le directeur du Super U est rassuré : "Depuis ce matin, on voit des bateaux qui arrivent, des secours, et cela nous soulage. Car vous savez, c'est long, trois jours sans rien". Autour de son magasin, il raconte avoir vu des rats venir fouiller dans les poubelles qui s'amoncellent.

Dans les rues, des groupes de gens discutent, prennent des nouvelles les uns des autres, évoquent ce qu'ils ont vécu, racontent les pilleurs qui passent avec des frigos, les agressions parfois. Certains minimisent avec ironie : "ça tire de temps en temps mais c'est tout". "Dans la partie hollandaise, hier il y avait un embouteillage", raconte Philippe, Martinois depuis 28 ans. "C'étaient des pilleurs qui viennent avec des camions se fournir en appareils en tout genre".

Selon lui, le nombre de morts annoncés -neuf selon le dernier bilan communiqué vendredi par le ministre de l'Intérieur Gérard Colomb- est "totalement utopique". "Pour moi, dit-il, ça va se monter à trois chiffres". Certains se posent la question de savoir s'il vont rester dans l'île, inquiets notamment pour la scolarisation des enfants, vu les dégâts subis par de nombreux bâtiments scolaires. Quant à José, le nouvel ouragan qui s'approche de l'île, les gens ne sont paradoxalement pas particulièrement paniqués par son arrivée programmée samedi. Beaucoup ignorent encore qu'il est passé en catégorie 4, ce qui pourrait expliquer cette insouciance relative. Une question est dans toutes les bouches : "Et après ça, on fait quoi ?"
AFP

A Saint-Martin, les collines comme brûlées par l'ouragan Irma

Exode massif en Floride et à Cuba pour fuir l'ouragan Irma

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MÉTÉO - Des centaines de milliers de personnes se sont jetées sur les routes pour fuir vers le nord de la Floride vendredi et tenter d'échapper au puissant ouragan Irma, qui a déjà semé la destruction et fait près d'une vingtaine de morts dans les Caraïbes.
Les deux autoroutes, qui longent les côtes du "Sunshine State", offraient le même spectacle : voitures et pick-ups chargés parfois d'un matelas ou d'un kayak, parfois de jerricanes d'essence, pare-choc contre pare-choc.  

L'ouragan, une gigantesque dépression plus grande que la Floride, doit arriver dans la nuit de samedi à dimanche avec ses vents de 240 km/h et devrait provoquer de brutales et massives montées des eaux.

A Cuba, où de fortes averses sont signalées, plus d'un million de personnes ont été contraintes vendredi de quitter préventivement leur domicile, dans l'est et le centre de l'île. 

Irma, rétrogradé d'un cran la nuit dernière à la catégorie 4 sur une échelle de 5 doit ensuite frapper les Bahamas avant la Floride, selon le Centre américain des ouragans (NHC).

L'ouragan n'a fait qu'une bouchée des îles françaises de Saint-Barthélemy et franco-néerlandaise de Saint-Martin, frappées mercredi par des vents de 295 km/h.

"Les maisons sont éventrées, l'aérodrome est hors d'usage, les poteaux électriques et téléphoniques sont par terre", a expliqué à l'AFP Olivier Toussaint, un habitant de Saint-Barthélemy, une île très prisée de la jet set.

Les efforts pour acheminer des secours et lutter contre les pillages sont compliqués par l'arrivée d'un nouveau cyclone, Jose, dès samedi.

"L'ouragan Irma a des proportions épiques, peut-être le plus gros que nous ayons jamais vu. Soyez en sécurité et dégagez de sa route, si possible.", a tweeté le président américain Donald Trump, appelant les civils situés sur la trajectoire de l'ouragan à évacuer en lieu sûr.

Le gouverneur de la Floride, Rick Scott, a appelé tous les habitants de l'Etat -- ils sont plus de 20 millions-- à "se préparer à évacuer bientôt".

Mais partout l'essence faisait défaut même si le gouverneur a promis de tout faire pour réapprovisionner des stations-service et permettre à plus de gens de fuir.

Les produits de première nécessité ont souvent déjà disparus des étagères des supermarchés.
Irma "reste une tempête remarquablement dangereuse et la fenêtre vous permettant d'atteindre le bon endroit pour attendre que la tempête passe ou évacuer (...) se referme rapidement", a de son côté affirmé le ministre américain de la Santé, Tom Price, lors d'une conférence de presse.

Près de 14 000 militaires américains ont été déployés à Porto Rico, aux Iles Vierges américaines et en Floride pour participer aux missions de sauvetage et d'évacuation, a indiqué le Pentagone.

Exode massif en Floride et à Cuba pour fuir l'ouragan Irma
L'ambiance dans les rues de Miami Beach, une station balnéaire au style art déco d'ordinaire remplie de touristes, était lunaire avec de nombreux magasins fermés. 
Irma pourrait toucher cet endroit d'ordinaire haut lieu de l'hédonisme de plein fouet et provoquer des inondations dévastatrices. 
"J'espère que (l'ouragan) arrivera par le sud et y restera, sinon la tempête sera plus intense", dit David Wallack, 67 ans, le patron de la boîte de nuit Mango's.

L'ouragan Andrew, qui a laminé la majeure partie du sud de la Floride en 1992, "était un ouragan de catégorie 5 très, très petit, compact, comparé à ce à quoi nous assistons avec Irma", a rappelé le patron de l'Agence américaine de gestion des situations d'urgence (Fema), Brock Long.
Et d'ajouter : "la question n'est pas de savoir si la Floride va être affectée, mais avec quelle gravité".

Exode massif en Floride et à Cuba pour fuir l'ouragan Irma

Nescafé Star 2017 : découvrez les 8 sélectionnés pour la grande finale

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CONCOURS - L'aventure s'arrête là pour Erai et Sohan... Laura, Marevareva, Lia, Johanna, Emilie, Aniheitini, Haunui et Manaarii doivent maintenant se préparer à la grande finale.
Nescafé Star 2017 : découvrez les 8 sélectionnés pour la grande finale
Jeudi soir, les noms des 8 finalistes qui monteront sur la scène de To’ata ont enfin été dévoilés.
La dernière épreuve de sélection s'est déroulée durant l'émission Concert privé. Les candidats ont dû revisiter des chansons en version acoustique. Piano et guitare sèche ont rythmé cette soirée.
2 candidats ont choisi d’interpréter une chanson issue de la variété française comme Paname de Slimane ou encore la peine maximum de la comédie musicale les 10 commandements. Les autres candidats ont préféré reprendre des hits internationaux tels que Love yourself de Justin Bieber, hymn for the weekend de Coldplay ou encore Strong de London Grammar…

Les candidats étaient notés sur leur technique vocale, prestation scénique et interprétation. Ils devaient convaincre le jury composé d’artistes connus de la scène musicale locale : Reva Juventin ; Guy Laurens ; Guillaume Matarere.

L'aventure s'est arrêtée là pour Erai et Sohan . Déçus mais heureux d’avoir pu vivre cette belle aventure professionnelle et humaine, ils tiennent à remercier leurs coachs Taloo, Vanessa Roche et Bruno Demougeot qui les ont aidé à grandir musicalement.

Les 8 finalistes : Laura, Marevareva, Lia, Johanna, Emilie, Aniheitini, Haunui et Manaarii sont maintenant dans les starting blocks. La pression monte d’un cran. Il ne reste plus que quelques répétitions pour la dernière étape de cette édition : la finale place Toa’ta. 

 

Nescafé Star 2017 : découvrez les 8 sélectionnés pour la grande finale

Vous pouvez faire la différence !
 
Les votes SMS sont officiellement ouverts ce vendredi 8 septembre et ce jusqu’au samedi 23 septembre à 21 heures. Les finalistes comptent ainsi sur le soutien du public pour décrocher le titre de Nescafé Star 2017. Il est possible de soutenir ses candidats favoris en envoyant par SMS « NES + numéro du candidat » au 7500 (91 FHT le SMS).

Marevareva : NES1
Laura : NES2
Manaarii : NES3
Lia : NES4
Johanna : NES5
Haunui : NES6
Emilie : NES7
Aniheitini : NES8



 
Infos pratiques :
>  Concert GRATUIT : Place To’ata dès 18h30
> Tickets d’entrée gratuits à récupérer à partir de lundi 11 septembre dans les boutiques Tahiti Phone de Champion Mahina, Prince Hinoï, Fare Tony et Carrefour Punaauia.
> Plus d’informations sur notre page Facebook  Nescafé ou au 40 54 94 00.
 




 

Vidéo - Expositions : Quai Branly, Musée de Tahiti, "ça doit pouvoir fonctionner dans les deux sens"

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INVITE DU JOURNAL - A l'occasion de l'exposition "Un artiste voyageur en Micronésie", Stéphane Martin, directeur du Musée du Quai Branly, était l'invité de notre journal en frnaçais.
Vidéo - Expositions : Quai Branly, Musée de Tahiti,
Le Musée du Quai Branly détient quelques bijoux de Paul Jacoulet sur la Polynésie. Les Polynésiens peuvent-ils espérer un jour pouvoir les contempler au Fare Ia manaha ? 
"Comme l'a dit madame Inagaki, la fille adoptive de Paul Jacoulet, il a fait très peu de choses à Tahiti, quelques petits croquis. Mais je serais très heureux s'ils peuvent venir ici. Là on a une première exposition. On peut très bien en imaginer une seconde."

Quel accueil l'exposition de Paul Jacoulet a-t-elle reçu au Musée du Quai Branly ?
"Les gens ont été très surpris parce que c'est un artiste vraiment hors du temps. Il était très informé de ce qui se passait, de Picasso, de l'art contemporain et il faisait néanmoins quelque chose de très différent, très inspiré de l'estampe traditionnelle japonaise mais aussi de l'art déco, de la peinture française des années 20. Il s'est fabriqué un style propre. Et les sujets sont très originaux, en particulier la place qu'il a donné au peuple de Micronésie." 

Le Musée de Tahiti et des îles va bientôt s'agrandir, vous le savez. On sait que vous entretenez des liens forts avec notre musée. Qu'avez vous déjà prévu pour les Polynésiens ?
"Les collections aujourd'hui circulent beaucoup plus facilement qu'autrefois. On sera à la disposition du musée d'abord pour éventuellement faire des dépôts si c'est nécessaire et d'autre part pour participer à des projets d'exposition dans les deux sens. Il y a quelques années, il y a une exposition réalisée par Tara Hiquily, dont il était le commissaire, qui est venue à paris au musée du Quai Branly. Cette fois c'est une exposition du Quai Branly qui vient à la Pointe des pêcheurs. Je pense que ça doit pouvoir fonctionner dans les deux sens."

On a parfois du mal à se rendre compte du travail réalisé pour l'entretien des oeuvres et pour leur déplacement. Comment cela fonctionne ?
"Ça dépend de la nature des oeuvres. Dans le cas des dessins de Paul Jacoulet, ils ne peuvent pas voyager encadrés. parce que, si jamais la vitre se brise, on pourrait les abîmer. Donc ça voyage dans des petites valises spécialisées qui montent avec les passagers, non pas dans la soute mais dans le coffre au dessus des passagers avec un ou deux conservateurs qui les surveillent de très près. Ensuite arrivés sur place, il faut les acclimater à l'humidité ambiante, il faut refaire le travail d'encadrement. C'est un travail assez long, assez compliqué mais qu'on maîtrise aujourd'hui bien et qui donne aux musées l'occasion d'échanger des savoir-faire, des expériences."

On les entrevoit très rarement vos tatouages sur les avant-bras. C'est une passion que vous entretenez également ?
"J'ai commencé tout petit alors évidemment, comme maintenant je suis vieux ça ne cesse d'augmenter. J'aime le tatouage."

Il y a de la place pour la Polynésie ?
"Oui il y a de la place pour la Polynésie. J'ai un très joli morceau de Polynésie sur les jambes. mais je ne vais pas mettre mes jambes sur la table, ce serait mal élevé (rires)." 

 


Fenua Foot : la saison reprend ce dimanche!

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100% FENUA - Passionnés du ballon rond, votre magazine Fenua Foot revient ce dimanche à 10h35 sur TNTV. Au programme : la Finale de la Coupe des Champions entre l'AS Dragon et l'AS Téfana !
Fenua Foot : la saison reprend ce dimanche!
Pour ce magazine de rentrée, Fenua Foot sera consacré à la Finale de la Coupe des Champions entre l'AS Dragon et l'AS Téfana! Buts, moments forts du match, interviews, vous saurez tout sur la rencontre.

Un formation FIFA a eu lieu du 19 au 23 août au centre technique de la fédération tahitienne de football. Le magazine vous propose d'en savoir plus. Découvrez les images.

Le magazine se termine avec un reportage sur l'opération Maeva : une journée portes ouvertes au club de JT. 

Magazine présenté par Mathieu Fontaine

Fenua Foot reprend ce dimanche à 10h35 sur TNTV

Retrouvez Fenua Foot sur TNTV Replay après diffusion à la télé



Saisie d'1,2 kilo d'ice: les trafiquants présumés écroués

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JUSTICE - Après 96 heures de garde à vue, les quatre personnes suspectées d'avoir importé au moins 1,2 kilo d'ice au fenua ont été mises en examen ce vendredi, puis placées en détention provisoire.
Saisie d'1,2 kilo d'ice: les trafiquants présumés écroués
Cette femme et ces trois hommes ont été inculpés des chefs de trafic international de stupéfiants et d'association de malfaiteurs. 
 
Le dossier a débuté lundi avec l'interpellation d'un homme à l'aéroport qui transportait la drogue dans sa valise. Son voyage depuis Los Angeles faisait vraisemblablement l'objet d'une surveillance des enquêteurs. 

Cet individu, pas particulièrement connu de la justice aurait joué le rôle de mule. Une jeune femme qui se trouvait sur le même vol que lui, et qui serait impliquée, a aussi été arrêtée. Puis, plus tard, les deux autres hommes qui auraient participé à ce trafic supposé. 
 
L'enquête est loin d'être bouclée selon nos informations et d'autres interpellations pourraient avoir lieu dans les prochains jours. 

Si les perquisitions n'ont pas permis de découvrir des quantités de drogue supplémentaires, les enquêteurs ont mis la main sur une arme à feu.

Ils cherchent en outre, à déterminer si les supposés trafiquants n'ont pas introduit davantage d'ice ces derniers mois au fenua.

 
J-B C

Saisie d'1,2 kilo d'ice: les trafiquants présumés écroués

Saisie d'1,2 kilo d'ice: les trafiquants présumés écroués

Saisie d'1,2 kilo d'ice: les trafiquants présumés écroués

Le JT Vert : zoom sur la COP23

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100% FENUA - Dimanche 10 septembre à 17h30, retrouvez l'équipe du JT Vert pour le premier magazine de la rentrée.
Le JT Vert : zoom sur la COP23
Pour bien commencer cette nouvelle saison, l'équipe du JT Vert abordera la thématique du changement climatique.
Beaucoup de personnes en doutent encore, pourtant 97% des scientifiques mondiaux sont d'accord pour affirmer que le changement climatique est réel et qu'il est causé par l'intervention de l'Homme.

Solène et Jerry vous parleront de la COP23 qui se déroulera du 6 au 17 novembre 2017 à Bonn en Allemagne. Cette année la présidence de la Conférence est assurée par les Îles Fidji, une première pour un petit état insulaire.
Cela permettra à nouveau au pays et territoires du Pacifique de faire entendre leur voix dans le concert des nations.
Et pour les fans de la série Game of Thrones, ne ratez pas le début de l'émission.

Présenté par Solène Meniaud et Jerry Biret
Bigouane Production
 

Le JT Vert : la nouvelle saison 
Dimanche 10 septembre à 17h30

Le Jt Vert sur TNTV Replay



De 0 à 100 km/h : les nouveautés du Salon de l'Auto

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100% FENUA - Dimanche 10 septembre à 17h40, retrouvez Fred Henry pour un nouveau magazine auto/moto du fenua.
De 0 à 100 km/h : les nouveautés du Salon de l'Auto
Ce dimanche, nous restons sur Tahiti pour tester la magnifique Porsche PANAMERA hybride. Fred Henry est parti sur les routes de l'île, au volant de la belle. Quelles surprises nous réservent la marque allemande?

Nous parlerons également du Salon de l'Auto avec un reportage sur les nouveautés de cette année. 

Le magazine se terminera avec le buzz net de la semaine.
 
Magazine présenté par Fred Henry
Phaze Production

De 0 à 100 km/h
Dimanche 10 septembre à 17h40

A retrouver sur TNTV Replay après diffusion à la télé


Person of Interest : Finch et Reese jouent les diplomates

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Dimanche 10 septembre à 19h45, la série revient avec deux nouveaux épisodes de la saison 3.
Person of Interest : Finch et Reese jouent les diplomates
Série

Episode n°18 Diplomatie
Finch et Reese doivent plonger dans les eaux troubles de la politique internationale quand on leur donne le numéro d'un ancien entrepreneur du gouvernement qui guette un diplomate de l'ONU.Pendant ce temps,  Root est sur la trace de Greer.

Episode n°19 Une soirée inoubliable
John Reese et Samantha Shaw se font passer pour des anciens élèves à une réunion de l'école afin de garder les yeux sur la dernière personne d'intérêt, Matthew Reed.C'est un procureur aux poursuites criminelles difficile, qui est hanté par un sombre secret de son passé.Pendant ce temps, Harold Finch et Fusco se rendent à Washington, DC, pour enquêter sur les motivations derrière la dernière attaque de Vigilance.
 


Série américaine créée par Jonathan Nolan et produite par J. J. Abrams
Avec Jim Caviezel, Michael Emerson, Taraji P. Henson, Kevin Chapman

Person of Interest, deux nouveaux épisodes
Dimanche 10 septembre à 19h45


Vidéo - 40 ans du CFPA : un nouveau bâtiment pour la formation à Pirae

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EMPLOI - L’inauguration d’un tout nouveau bâtiment destiné à la formation cuisine est venue clôturer ce vendredi matin les 40 ans des CFPA de Polynésie.
Vidéo - 40 ans du CFPA : un nouveau bâtiment pour la formation à Pirae
Avec 800 mètres carrés d’espace, les élèves du CFPA de Pirae bénéficieront dès le mois d’octobre d’une formation en hygiène et service. "Nous allons créer un bâtiment pédagogique, une cuisine toute neuve avec une formation serveur et, à l'étage, une nouvelle direction. (...) ce n'est pas une nouvelle formation. Elle existait déjà dans des locaux plus vétustes. (...) La formation va démarrer le 23 octobre avec des gens issus du Sefi qui ont été en préqualification et qui viennent en qualification chez nous dans le cadre du projet de remise à niveau, préqualification, qualification. On fait des parcours pour ceux qui ont démarré très bas", explique le directeur général du CFPA, Jean-Michel Blanchemanche. La formation se fera en contrat CAE et durera 9 mois. 

Le CFPA permet  aux demandeurs d'emploi de 18 à 50 ans, d'être formés et de percevoir des indemnités mensuelles. 
Créé en 1967, le CFPA compte aujourd'hui plusieurs centres de formation, respectivement à Pirae, Punaauia, Faaroa à Raiatea et  à Taravao. "Il n'y a pas aujourd'hui de voie secondaire. On a tendance à prôner la voie de l'élitisme qui est celle de la formation spécialisée et la voie professionnelle est la voie technologique qui est un peu dénigrée. (...) Nous avons besoin aujourd'hui de professionnels et d'excellents professionnels", souligne Tea Frogier, ministre en charge de la Formation professionnelle. 
 
Depuis 2013, le CFPA est autorisé à préparer toute personne au titre professionnel par la voie de la Validation des Acquis de l’Expérience (VAE) ou de la formation professionnelle, et propose près de 40 formations sanctionnées par des titres professionnels de niveaux V, IV et III, dans les secteurs du bâtiment, de l’industrie, du primaire et du tertiaire (services).
Ces titres sont reconnus au niveau national. 

Accueillant en moyenne 800 stagiaires par an, avec un taux de réussite de 90%, le CFPA a formé depuis 2003 près de 28 378 personnes.

"Depuis 3 ans, la politique qui a été développée c'est de mettre en cohérence l'ensemble des actions publiques en matière de formation professionnelle. Ça veut dire  définir les besoins du marché du travail pour pouvoir proposer les formations correspondantes pour pouvoir disposer de l'adulte formé, diplômé et répondre aux besoins du marché du travail", explique la ministre. 
Rédaction web 
 

Tea Frogier, ministre en charge de la Formation professionnelle

Amour Secret passe à 12h35

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Changement d'horaire pour votre télénovela. A partir du 11 septembre, Amour secret sera diffusé du lundi au jeudi à 12h35.
Amour Secret passe à 12h35
Nouveautés pour cette rentrée ! Dès le 11 septembre, Amour secret vous donne rendez-vous du lundi au jeudi à 12h35.

Pour les téléspectateurs qui ne pourront pas voir les épisodes à leur pause déjeuner, ils seront disponibles sur le replay jusqu'à 7 jours après diffusion.

Les résumés des épisodes du lundi 11 au jeudi 14 septembre

Episode n° 233
Alejandra arrive et met fin à tout celà en mettant Maria Lucia et Sandra dehors et en convoquant Léo dans son bureau. Elle menace de le faire muter dans le sud du pays dans une succursale des labos jusqu’à ce qu’il grandisse. Léonardo est furieux de voir ses enfants punis et enfermés dans leur chambre et de découvrir que Rébéca en est l’auteur. Il l’appelle cette dernière et lui demande de rentrer chez eux immédiatement pour en discuter. A ce moment-là, Rébéca se trouve avec son amant le docteur Edgar qui lui donne des médicaments à effet placebo pour son traitement.

Episode n° 234
A son retour à la maison, elle s’excuse auprès de Léonardo en lui disant qu’elle ne se sent pas bien. Virginia cherche du réconfort et va voir Irène.Cette dernière l’encourage à accompagner Carlos Ernesto dans son voyage. Il reste à Felipe de se renseigner sur les documents à fournir pour sa permission mais l’obstacle majeur est que ce voyage doit être permis par le directeur de affaires internationales de la boite et que cette personne se trouve être Rodrigo.

Episode n° 235
Cette dernière lui apporte son soutien. Felipe embrasse Irène. Cette dernière est choquée et appelle Maribel pour qu’elle l’héberge chez elle. Maribel la décourage et lui dit que personne ne croira que l’enfant qu’elle porte est de Félipe si elle quitte sa maison.Anzola encourage Léonardo à revoir Irène pour lui avouer son amour et régler leur problème. 

Episode n° 236
Mais Léonardo a d’autre problème à régler et entre autre l’avenir professionnelle de Léo qui est entre les mains d’Alejanda.
Augustina n’a aucune confiance en Rébéca et lui prend ses médicaments pour les analyser. Tony ne peut pas s’empêcher d’avouer à Carlos la vérité sur les raisons qui ont poussé Virginia à déposer sa démission. Plus tard Carlos va voir Virginia et lui propose de l’accompagner en Europe pour se soigner.

Amour secret
Du lundi au jeudi à 12h35
Sur le replay, jusqu'à 7 jours après diffusion


Papeete : sentiment d'insécurité et méfiance à l'égard des jeunes

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SÉCURITÉ - Papeete est-elle une ville où il fait bon vivre ? Si l’on en croit les matahiapo, la capitale a changé de visage ces dernières année. De plus en plus de personnes âgées ne s’y sentent pas en sécurité, ils se méfient des jeunes et ils sont parfois victimes d’agression plus ou moins graves.
Papeete : sentiment d'insécurité et méfiance à l'égard des jeunes
C'est un témoignage qui a fait le tour de la toile. Mercredi, alors qu’elle accompagnait un jeune handicapé pour une sortie éducative, Manu a été prise à partie par un adolescent. "Il y a une bande de jeunes qui nous est arrivée dessus. Un jeune très fier devant des filles, m'est délibérément rentré dedans. Je lui ai dit "tu ne pas faire attention !" Il s'est retourné et m'a insulté. C'est un de ses camarades qui est intervenu et lui a dit de ne pas parler comme ça. Moi ma réaction, puisque Tamatea était à côté, ça a été de lui dire "viens vite on s'en va. N'écoute pas, ne les regarde pas" (...) C'était délibéré. C'est clair."

Manu n’a pas été blessé et l’affaire s’est arrêté là, mais elle vient renforcer encore davantage un sentiment d’insécurité et de méfiance à l’égard des jeunes. Ils sont nombreux, de l’ancienne génération, à se sentir vulnérable dans les rues de Papeete. "Il y a beaucoup de violence. Ils essaient de demander de l'argent. Si on ne donne pas, ils deviennent violents. Il y a des personnes âgées qui vont retirer de l'argent et se font agresser", assure une dame. Mais elle-même n'a jamais été agressée ni même témoin d'une agression. 

Ce sentiment d’insécurité est-il justifié ou est-il dû au fossé intergénérationnel ? Selon les chiffres du Haut-commissariat, le nombre d’atteintes volontaires à l’intégrité physique est en forte baisse depuis 5 ans, mais elles impliquent de plus en plus les mineurs.
On comptait 2656 cas en Polynésie en 2015 et 2593 en 2016. 
Rédaction web avec Tamara Sentis


Vidéo - 21 groupes s'affrontent au Heiva i Paris

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ORI TAHITI - Le Heiva I Paris se déroule en ce moment dans la prestigieuse salle de Bobino de la ville Lumière. Cette année encore, les grands moyens sont déployés pour accueillir 21 troupes qui s’affrontent lors des deux compétitions majeures : 12 en Mehura et 7 en Otea.
Vidéo - 21 groupes s'affrontent au Heiva i Paris
Elles viennent d’arriver à Paris et pourtant elles se sentent déjà à Tahiti. La troupe Mahaora est venue spécialement de Suisse pour l’événement et ne s’est pas ramenée les mains vides … "On a toutes nos coiffes qu'on a faites main pendant plusieurs heures, plusieurs nuits." 
Pour la deuxième année, elles monteront sur scène pour tout donner. Elles s’y voient déjà.
"On a envie de gagner forcément et de pouvoir ensuite représenter la troupe à Tahiti. On a hâte. C'est la concrétisation de plusieurs mois de répétition, d'apprentissage. On est très très motivées." 
 
Mais il faudra plus que de la motivation pour affronter les 12 troupes en lice. Parmi elles, une troupe parisienne se présente pour la première fois.
À quelques kilomètres de là, les danseuses de Hoturau Nui font leur ultime répétition avant le grand show… Des remises au point nécessaires pour Manon, pour qui le Heiva sera une grande première. "Je suis hyper stressée. C'est la première fois que je participe à un concours. C'est le fait d'avoir plein de gens autour de soi et d'être notés."
 
Mais la jeune femme peut compter sur le soutien du reste de la troupe, car beaucoup ont déjà participé à la compétition et l’ont même remporté. C’est le cas de Melina qui a gagné le trophée ultime de la grande finale à Tahiti. Alors cette année, l’enjeu est un peu différent. "L'année dernière, on a gagné en groupe avec O Tahiti Nui. Cette année l'objectif, c'est essayer de détrôner O Tahiti, mais surtout de passer un bon moment." 
 
La première soirée s'est déroulée jeudi soir (vendredi matin heure de Polynésie). Plus de 500 spectateurs étaient présents. La finale se déroulera samedi soir en métropole.  
Rédaction web. Reportage : ​Solène Boissaye


Drame à Raroia : 15 ans de prison ferme pour le tane violent

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ASSISES - Le verdict a été rendu pour le deuxième procès de la cour d'assises. L'homme accusé d'avoir causé la mort de sa compagne sans intention de la donner a écopé d'une peine plus importante que celle requises par l'avocat général.
Drame à Raroia : 15 ans de prison ferme pour le tane violent
Le 19 octobre 2014 à Raroia, le corps sans vie d’une jeune femme de 21 ans a été retrouvé dans le puits situé sur le terrain familial. Peu avant, la jeune femme s’était violemment disputée avec son conjoint qui était ivre.   

Dans un premier temps, celui-ci affirme que la jeune femme a mis fin à ses jours. Ce dont doute immédiatement la famille de la victime. "Il a dit qu'elle avait sauté. Mais nous n'y croyons pas. On ne peut pas sauter dans le puits. Ce n'est pas possible." 

Car le puits en question est d’un diamètre très étroit. La famille de la jeune femme, suspecte donc son compagnon d’être responsable de sa mort, un homme violent selon elle. "Elle portait toujours des pantalons, des manches longues. Pour cacher des bleus peut-être ? Il l'interdisait de venir nous voir. Il fallait qu'elle reste à la maison. Comme une prisonnière" 

Dans un deuxième temps, l’accusé explique aux enquêteurs avoir peut-être bousculé sa compagne, ce qui l’aurait fait chuter dans le puits. Une thèse que soutient son avocate, Me Karina Chouini. "L'enquête a démontré qu'il y avait eu une dispute dans le couple et que la concubine voulant se sauver des coups de son concubin est tombée dans le puits de façon accidentelle, alors qu'il essayait de la ceinturer, elle a glissé puis elle est tombée. C'est un tragique accident, et c'est mon intime conviction." 

Jeudi à la barre, les témoins se sont succédé. La mère de l’accusé l’a dépeint comme un gentil garçon, travailleur et respectueux. D’autres, comme le policier municipal de l’atoll, ont donné une image moins glorieuse du trentenaire. Invité à donner son sentiment sur l’affaire, l’agent a déclaré : "Si je prends en compte le comportement qu’il avait avant, je dirai peut-être que c’est lui qui l’a poussée". 

L'avocat général avait requis 13 ans de réclusion. L'accusé écope finalement d'une peine de 15 ans ferme. 
Rédaction web 

Etats-Unis : une piscine pleine de requins découverte au sous-sol d'une maison

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NEW YORK - 10 requins ont été retrouvés dont 3 morts dans un bassin hors sol placé dans le sous-sol d'une habitation à quelques kilomètres de New York.
Etats-Unis : une piscine pleine de requins découverte au sous-sol d'une maison
A New York aux Etats-Unis, la police a fait une découverte à la fois insolite et macabre. En effectuant la fouille d'une maison, les agents ont découvert un grand bassin construit au sous-sol, rapporte le Huffington Post. Une piscine remplie de requins : sept requins requiem de sable, un requin marteau mort et deux requins léopard morts. 

La découverte a eu lieu le 23 août dernier dans la maison suspectée d'abritée des animaux sauvages. Elle a été rendue publique récemment. Les squales ont été récupérés "facilement" avant d’être mesurés et marqués. Ils ont ensuite été transportés à l’Aquarium de Long Island, a annoncé le Département de la conservation de l’environnement   de l’État de New York. Au vu de leur taille, les requins "ont probablement entre 1 et 3 ans", a déclaré au Huffington Darlene Puntillo, porte-parole de l'aquarium.  Les requins requiem de sable n'ont pas été blessés mais ils ne sont pas en bonne santé.

Les requins ont été vendus dans le cadre d’un marché illégal d’animaux exotiques. Ce n’est ainsi pas la première fois que des animaux finissent à l’aquarium de Long Island après avoir été vendus illégalement aux Etats-Unis. Il y a 15 ans, le centre avait accueilli des manchots africains saisis à l’aéroport de New York.


Une délégation polynésienne au congrès IMPAC 4 sur les aires marines protégées

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ENVIRONNEMENT - Une délégation polynésienne menée par le ministre de la Culture, de l’environnement, de l’artisanat et de l’énergie, Heremoana Maamaatuaiahutapu, participe actuellement au congrès international IMPAC 4 sur les aires marines protégées, qui se déroule au Chili du 5 au 8 septembre 2017.
Une délégation polynésienne au congrès IMPAC 4 sur les aires marines protégées
L’objectif de ce congrès est l’échange d’information et le partage d’expérience sur les outils de gestion développés dans différents pays en matière de protection des espèces et des écosystèmes marins.
 
C’est l’occasion pour la délégation polynésienne de promouvoir les efforts de gestion menés par le Pays depuis plus de 64 ans maintenant dans la protection de sites terrestres et marins exceptionnels. Au total, 50 sites polynésiens bénéficient aujourd’hui d’une protection juridique et Scilly et Bellinghausen fut le premier site marin classé en 1971. La première aire marine protégée de grande taille est la réserve de biosphère de la commune de Fakarava, classée depuis 2006, sur une superficie actuelle de 19 000 km2. Enfin, la zone économique exclusive de la Polynésie française est un sanctuaire marin de baleines, requins et tortues depuis 2002.
 
La Polynésie française a également pu partager son expérience sur les aires marines éducatives, concept né dans six écoles de l’archipel des Marquises. Il s’agit de zone côtière disposant d’un système de gestion participatif piloté par les enfants d’une école. L’outil est actuellement étendu à sept écoles de Tahiti et le concept devrait être élargi prochainement aux espaces terrestres éducatifs. Dix enfants de l’école de Hakahetau (Ua Pou) participent au congrès accompagnés de leurs enseignants afin de partager leur expérience de gestionnaire.
 
Invité par son homologue chilien, le ministre en charge de l’environnement se rendra le 9 septembre à Vina del Mar afin de participer à un segment de haut niveau. Les discussions porteront sur la gestion efficace des aires marines protégées dans un contexte de changement global et les suites à donner à l’accord de Paris sur le changement climatique.
 
(Communiqué de presse)

Un camino hacia el destino : résumés des épisodes 85 à 89

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Du lundi 11 au vendredi 15 septembre à 16h30
Un camino hacia el destino : résumés des épisodes 85 à 89
Episode n° 85
Pedro dit à Fernanda que sa mère a changé. Carlos est heureux du retour de sa mère à la maison mais il choqué qu’elle ait permis que Luis revienne. Le jeune homme aperçoit Fernanda à l’hôpital avec Javier avec le petit Pedro. Marissa veut que son fils officialise sa relation avec Isabela. La jeune femme a été si gentille avec eux et de plus Fernanda a quitté son fils au pire moment. Luis n’apprécie pas que Carlos soit revenu et puisse reprendre sa place à la direction de l’entreprise. Carlos poère le petit Pedro amis Fernanda ne lui avoue pas que c’est son fils. Carlos est désespéré de voir Fernanda mariée avec Javier.

Episode n° 86
Fernanda dit à son père qu’elle ne se mariera pas sans amour. Elle se rappelle les moments vécus avec carlos. Ce dernier est convaincu qu’elle est mariée à Javier. Elle est sure qu’il serait heureux d’apprendre sa paternité. Carlos avoue à Pedro que même si Fernanda est l’épouse d’un autre, il ne s’arrêtera jamais de l’aimer. Carlos demande à Lupe et à Clarita d’aider sa mère à recouvrir la santé. Marissa prévient Luis que Lupe sera son assistante personnelle. 

Episode n° 87
Carlos s’excuse auprès de Fernanda et de Javier. M. Fernando veut voir Carlos. Camila dit à Mariana que Fernanda a un enfant et le père doit être Carlos. Fernanda avoue à Javier qu’elle ne révélera jamais à Carlos qu’il a un fils car il l’a trompée. Mariana menace Camila : si jamais elle dit la vérité, Fernanda l’enverra en prison. Luis essaie de convaincre sa femme de ne pas metter Carlos à la direction de la banque. Il se met en colère quand il apprend que Pedro rend visite à sa femme. Diego a enfermé Lucero. Solorzano refuse de tuer Carlos car les soupçons se porteront sur lui. Javier demande à Fernanda de l’épouser. 

Episode n° 88
Fernanda apprend à Maribel à faire des bouquets de fleurs. Marissa arrive et demande à voir Fernanda. Elle rencontre Pedrito et s’aperçoit qu’il ressemble de façon troublante à Carlos. Blanco se rend à l’hôpital pour voir M. Fernando. Fernanda dit à Maribel qu’elle ne veut plus jamais revoir Carlos car il l’a trompée. Carlos découvre que M. Fernando est dans une maison de retraite. Isabela se rend dans la boutique de Fernanda et se met à l’insulter. Carlos découvre que Fernanda a été en prison. Il s’empresse de rejoindre Fernanda à la boutique. 

Episode n° 89
Luis dit à Ordonnez qu’avec Marissa ils ont décidé de partager la présidence avec Carlos. Ordonez lui conseille de quitter la banque car il aura des problèmes avec Carlos. En effet, ce dernier refuse que Luis le forme. Carlos se dispute avec sa mère. Marissa prévient son époux que si cela ne s’arrange avec Carlos, elle reprendra la direction de la banque. Mère Rosaura présente le professeur Diego aux élèves.
 

Un camino hacia el destino
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