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Ray Tomlinson, inventeur de l'e-mail, est décédé

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ETATS-UNIS - Ray Tomlinson, l'informaticien américain qui a inventé l'e-mail, est décédé, a indiqué sur sa page Facebook et sur Twitter Vinton Cerf, co-inventeur du protocole TCP/IP et aujourd'hui vice-président chez Google.
Ray Tomlinson, inventeur de l'e-mail, est décédé
Né en 1941, diplômé du prestigieux MIT (Massachusetts Institute of Technology), Ray Tomlinson avait écrit le premier e-mail de l'histoire en 1971. Il avait conçu le programme permettant d'envoyer ces messages alors qu'il travaillait sur Arpanet, le réseau réservé aux chercheurs et aux militaires qui allait plus tard donner naissance à Internet.
C'est lui qui avait eu l'idée d'utiliser le caractère @ pour séparer l'identité de la personne du réseau auquel elle se rattache.
 
"Véritable pionnier de la technologie, Ray est l'homme qui a inventé l'e-mail au tout début des ordinateurs connectés", a déclaré son employeur, l'entreprise américaine de défense Raytheon, dans un communiqué. 
"Son travail a changé la façon dont le monde communique et pourtant, malgré toutes ses réussites, il est resté humble, gentil et généreux de son temps et de ses talents, il manquera à tous", a ajouté Raytheon.
"Merci, Ray Tomlinson, d'avoir inventé l'email et d'avoir rendu le @ célèbre #RIP", a écrit sur Twitter la messagerie Gmail.
 
Sur son blog, Ray Tomlinson avait raconté en détails l'histoire de la création du @, tentant d'empêcher la légende de prendre la place des faits. 
"Le premier e-mail a été envoyé entre deux machines qui se trouvaient l'une à côté de l'autre", connectées via Arpanet, expliquait-il.  
 "Le premier message était tout à fait oubliable et je l'ai de fait oublié", poursuivait-il. "Très probablement c'était quelque chose comme QWERTYUIOP (les premières lettres du clavier anglais) ou quelque chose comme çà...".
"Ne croyez pas tout ce que vous lisez sur le web. Rappelez-vous, il y a des humains derrière ces pages, et les humains font des fautes", prévenait-il. 
 
 
AFP


Un mort dans un accident de la route à Papenoo

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HITIAA O TE RA - Le conducteur de 22 ans a perdu le contrôle de son deux roues.
Un mort dans un accident de la route à Papenoo

Dimanche, un jeune homme de 22 ans a perdu le contrôle de sa moto-cross sur la route de la vallée de la Papenoo. L'engin et son conducteur ont fait une sortie de route et ont percuté des rochers en contrebas de la chaussée. 
Le jeune homme est décédé sur les lieux.
Une enquête a été ouverte. 

 


Les Marquises en vigilance jaune

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Les Marquises en vigilance jaune
Ce lundi, Météo France a placé les Marquises en vigilance jaune pour des orages. Une accalmie est attendue lundi soir selon Météo France. Les averses reprendront mardi matin et seront suivies d'éclaircies l'après-midi.
 

Tea Frogier n'est plus ministre

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GOUVERNEMENT - Le conseil d'Etat a décidé d'annuler la nomination de Tea Frogier en tant que Ministre du travail, des solidarités et de la condition féminine. Les décisions qu'elle a prise en tant que telle ne sont pas pour autant annulées.
Le conseil d'Etat a rendu sa décision ce lundi, à Paris. Elle annule la nomination de Tea Frogier en tant que ministre du travail, des solidarités et de la condition féminine du gouvernement de la Polynésie française. Elle avait été nommé à cette fonction en septembre 2014. 

En décembre 2014, Yves Conroy avait déposé une requête au tribunal administratif de Papeete demandant l'annulation de l'arrêté N° 676/PR du  16 septembre 2014, nommant le Vice-président et les ministres du gouvernement de la Polynésie française. Il demandait aussi la démission du président Edouard Fritch et que soit organisée l'élection d'un nouveau président de la Polynésie française. 

La loi organique de 2004, indique dans ses articles 74 et 109 que ne peut être nommé membre du gouvernement de la Polynésie française une personne qui exerce ou a exercé depuis moins de 6 mois les fonctions de directeur d'un service. A l'époque de sa nomination au gouvernement,  Tea Frogier était déléguée à la recherche. Le conseil d'Etat considère, qu'eu égard à la nature de ses fonctions, Tea Frogier "devait être regardée comme exerçant des fonctions au moins équivalentes à la fonction de directeur (...), qu'ainsi elle ne remplissait pas les conditions posées (...) pour être nommée membre du gouvernement de la Polynésie française".

Le conseil d'Etat a donc annulé sa nomination en tant que ministre du travail, des solidarités et de la condition féminine du gouvernement de la Polynésie française. Une décision qui ne devrait pas réellement avoir de conséquences. Le Conseil d'Etat considère que " qu'une personnes investie de fonctions administratives, irrégulièrement nommée aux fonctions qu'elle occupe, doit être regardée comme légalement investie de ces fonctions tant que sa nomination n'a pas été annulée". Ses arrêtés sont cependant attaquables

Le délais de 6 mois étant largement dépassé, Tea Frogier pourrait à nouveau être nommée ministre du travail, des solidarités et de la condition féminine dès demain.

Les autres requête d'Yves Conroy ont été rejetées. 

 

Les produits et savoir-faire Polynésiens valorisés

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SALON DE L'AGRICULTURE - Après 2 années d'absence, une délégation polynésienne s'est rendue cette année au salon international de l'agriculture à Paris. Durant plus d'une semaine, 7 exposants du fenua ont fait découvrir leurs produits aux visiteurs de ce salon. Jean-Claude TANG, conseiller en charge de l'agriculture tire un bilan plutôt satisfaisant de cette opération.
Les produits et savoir-faire Polynésiens valorisés
Le Salon international de l’Agriculture s’est achevé dimanche soir à Paris. Cet évènement majeur, qui réunit chaque année 700 000 visiteurs au Palais des Expositions de la Porte de Versailles, a permis à la Polynésie française, de retour après deux ans d’absence, de valoriser durant huit jours auprès d’un large public, les produits agricoles du territoire, mais aussi de renforcer les liens avec les professionnels ultramarins du secteur.
 
« Le président Edouard Fritch, qui a également en charge l’agriculture, a souhaité que la Polynésie française soit de nouveau représentée sur cette plateforme considérable de promotion. Les produits et savoir-faire du territoire ont ainsi pu être valorisés durant plus d’une semaine auprès d’un public métropolitain mais aussi étranger. C’est très positif », s’est réjoui Jean-Claude Tang, conseiller en charge de l’agriculture à la présidence du Pays, qui précise avoir reçu la visite de Russes, d’Allemands, d’Italiens ou encore d’Espagnols, « tous repartis satisfaits ».
 
Adapter l’offre aux attentes du consommateur
 
« Le salon permet de tester de nouveaux produits sur les marchés métropolitain et européen et d’adapter l’offre aux attentes et aux goûts du consommateur », a-t-il souligné.
Cette année, de nombreuses nouveautés étaient proposées sur le stand « Tahiti et ses richesses », qui réunissait sept exposants sur 62,5 m². Elles ont été appréciées par les visiteurs.
 
« Le rhum de Taha’a a étonné et plu, à tel point que les membres du jury du concours général des rhums, qui l’ont goûté, nous ont demandé de l’inscrire au concours en 2017 », a notamment indiqué Jean-Claude Tang. La bière et la farine à base de uru ont également eu beaucoup de succès. Par ailleurs, les produits déjà exportés sur la métropole, comme le monoï, la bière Hinano ou encore le punch de Tahiti, ont conservé leur notoriété.
 
Privilégier l’exportation de produits transformés
 
En revanche, si des dégustations de fruits frais étaient proposées sur l’espace de la Polynésie française, à la grande satisfaction des visiteurs, Jean-Claude Tang a estimé leur commercialisation difficile à envisager sur les marchés nationaux et européens. « Nous privilégions l’exportation de produits transformés en raison de notre éloignement », a-t-il insisté.
Dans cette perspective, le Pays souhaite installer dans chaque archipel, des unités de transformation. Une unité est sur le point d’être réalisée à Raiatea, pour transformer le ufi, le taro ou encore le uru. Le gouvernement projette par ailleurs d’en installer aux Tuamotu, pour exploiter la bourre et la coque du coco, aux Marquises pour produire des dérivés à base de citron, de pamplemousse et de goyave, et aux Australes pour transformer les carottes et pommes de terre dites hors-calibre.
 
« Dans ce cadre, la société de collecte Kai Hotu Rau nous permettra de mettre en place un circuit de distribution vers Tahiti, où la transformation des produits, entamée dans les archipels, sera finalisée avant exportation », a précisé Jean-Claude Tang.
 
Renforcer les liens avec les professionnels ultramarins du secteur
 
Le conseiller en charge de l’agriculture auprès d’Edouard Fritch a par ailleurs souligné l’intérêt d’être présent au salon pour renforcer les liens entre les professionnels polynésiens du secteur et leurs homologues ultramarins.
 
« Nous avons officialisé la semaine dernière le protocole d’accord qui réunit les chambres d’agriculture de Polynésie française, de Nouvelle-Calédonie et de Wallis et Futuna, auxquelles se sont ajoutées celles du Vanuatu et de Fidji. Grâce à cet accord, nous parlons désormais d’une seule voix et avec d’avantage de poids à l’assemblée permanente des chambres d’agriculture, qui peut nous apporter un soutien technique et financier », s’est notamment félicité Jean-Claude Tang.
 
« De manière plus générale, le salon nous permet également d’échanger avec nos collègues ultramarins, avec qui nous partageons les mêmes problématiques, en termes notamment de transformation des produits agricoles. Ils ont des savoir-faire et proposent des produits que nous n’avons pas et inversement. Cela permet de nous enrichir mutuellement », a-t-il développé.

 
(Communiqué de la Présidence de la Polynésie française)

​Annulation de la nomination de Tea Frogier, un "non-événement" pour le gouvernement

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POLITIQUE - Dimanche soir à Paris, le Conseil d'Etat a annulé la nomination de Tea Frogier à la tête du ministère du travail. L'arrêt précise néanmoins qu'aucune des décisions prises sous son mandat ne devrait être annulée. C'est donc un "non-événement" pour le gouvernement, qui va la renommer.
Lors de sa prise de fonction le 16 septembre 2014, Tea Frogier était déléguée à la recherche, un poste proche de celui de directeur public. Or, le statut de 2004  exige un délai de six mois entre cette prise de fonction et une entrée au gouvernement. C'est sur ces motifs que les juges administratifs du Conseil d'Etat se sont basés pour rendre nulle la nomination au gouvernement Fritch de Tea Frogier. Mais officiellement, cette dernière reste en poste puisqu'elle n'a toujours pas été notifiée personnellement par le Conseil d'Etat de sa décision.
"Ca ne me perturbe aucunement (...) Je n'ai pas été surprise d'entendre enfin les conclusions du rapporteur public, aujourd'hui nous avons une clarification sur la qualité de chef de service" a déclaré Tea Frogier devant la présidence ce matin.
Pour la ministre du travail "le plus important" reste le maintien des décisions prises sous son mandat "30 000 actes en 14 mois ce n'est pas rien, et je suis très fière de mes équipes (...) je pense que ça a une valeur pour mes administrés"
 Elle se dit sereine, citant un précédent du Conseil d'Etat qui avait déjà laissé subsister les actes pris par un élu dont la nomination avait été entachée de nullité par la suite.
Même déchue de son poste par la décision du Conseil d'Etat, Tea Frogier peut toujours être immédiatement renommée au Ministère du Travail par un arrêté d'Edouard Fritch, puisque le délai de carence de six mois est désormais prescrit. "Je laisse le soin au président de décider (...) c'est quelqu'un que je respecte énormément et sa décision sera la mienne" a t-elle déclaré. "C'est juste un arrêté de nomination qui est supprimé" a-t-elle ajouté. 
Juliette Bourgeois, avec Sophie Guébel et Sam Teinaore

L'entreprise innovante, moteur du développement économique du pays

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ENTREPRISES - Le 10 mars se tient à l'hôtel Le Méridien à Punaauia, la 9ème édition des assises du MEDEF Polynésie. Thème choisi cette année : l'entreprise innovante.
 Autour de tables de ronde, des patrons et des cadres de sociétés polynésiennes, vont s'informer des dernières tendances du monde de l'entreprise, et notamment en matière de numérique avec l'open data : comprenez la mise à disposition de données numérique publiques pour les entreprises du privé. Au delà des innovations technologiques, il sera aussi question d'organisation interne et de la mise en valeur des ressources humaines des entreprises locales ou encore de leur gestion financière.

Les Gambier et Rapa en vigilance jaune

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Les Gambier et Rapa en vigilance jaune
Ce mardi, Météo France a placé les Gambier en vigilance jaune pour les orages et fortes pluies.
Rapa est également en vigilance jaune pour des vents forts . Selon les prévisions de Météo France, le ciel restera gris avec des passages d'averses et quelques grains mercredi à Rapa. Vent de Sud-Est modéré, temporairement assez fort mardi vers Rapa avec des pointes pouvant dépasser les 80 kilomètres/heure. 


Qatar : un tigre en liberté dans les rues de Doha

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QATAR - Un tigre a été vu mardi à Doha marchant tranquillement entre des voitures dans un embouteillage sur l'une des voies express de la capitale du Qatar.
http://www.tntv.pf/video/
Des photos et une vidéo circulant sur les réseaux sociaux ont montré ce tigre, traînant une longue laisse, déambuler entre des voitures.
L'animal a ensuite été capturé, alors qu'il s'était réfugié sous un véhicule, selon une de ces vidéos qui ont fait le "buzz" dans ce riche Etat gazier du Golfe.
On ignore comment le tigre s'est échappé mais le ministère de l'Intérieur a annoncé sur Twitter l'ouverture d'une enquête.
 
De nombreux Qatariotes possèdent des animaux sauvages qu'ils maintiennent en captivité.
L'année dernière, les autorités avaient appelé les propriétaires d'un jeune guépard à se faire connaître après que l'animal eut été retrouvé au nord de Doha.
AFP

Journée de la femme : Enoharii parle de sa grand-mère

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PORTRAIT - Toute cette semaine, Tahiti Nui Télévision fête la femme. Votre chaîne diffusera 11 portraits réalisés par des hommes. Fils, mari, petit-fils... ils nous parlent de celles qui illuminent leur vie. Retrouvez ici le témoignage de Enoharii, 7 ans, qui nous parle de sa grand-mère :

26e édition de la Journée de la femme : le programme

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SMILE FOR VAHINE - Le thème de cette nouvelle édition de la Journée de la femme organisée par la délégation à la Famille et à la condition Féminine, est "Smile for Vahine", avec pour objectif la reconnaissance des femmes dans la société moderne.
26e édition de la Journée de la femme : le programme
Le programme des manifestations de la 26e édition de la Journée de la femme a été présenté lundi à la présidence de la Polynésie française. Pour cette nouvelle édition de la Journée de la femme, la délégation à la Famille et à la condition Féminine (DFCF) a voulu mettre en évidence plusieurs thématiques relatives à la Déclaration et au Programme d’action de Beijing signée lors de la quatrième conférence mondiale pour les femmes, en 1995, qui établit un programme d’action défendant les droits des femmes ainsi que l’égalité des sexes.
 
Le thème de cette année est "Smile for Vahine", avec pour objectif la reconnaissance des femmes dans la société moderne. Pendant plusieurs jours, diverses actions seront menées afin que la femme polynésienne soit reconnueet célébrée dans ses accomplissements ainsi que dans ses projets, et ce dans les domaines économique, social, culturel et politique.
 
L’ouverture officielle de la journée de la femme se tient se mardi à la mairie de Pirae, événement pendant lequel les associations et les communes de Tahiti feront une présentation des actions menées en 2016. Un appel à projets et manifestations pour 2017 sera également lancé.
 
Le mercredi 9, la direction de la Jeunesse et des Sports, organisera une manifestation axée sur la prévention, au parc Bougainville, où plusieurs stands et animations seront proposés aux participants. Le même jour, le Sefi en partenariat avec la DFCF mettra en place une matinée dédiée aux formations à l’apprentissage sous la forme de "speed workingday", dans ses locaux. Chaque candidat, sélectionné au préalable, disposera d’un temps limité pour se présenter à un employeur et mettre en avant ses capacités afin de décrocher un contrat d’apprentissage.
 
Enfin, lors de la course "La Tahitienne", organisée le samedi 12 mars, la DFCF mettra en place un stand d’information et de sensibilisation sur la santé des femmes, dans les jardins de la mairie à cette occasion. Par ailleurs, 100 tee-shirts comportant le visuel du thème de cette année seront distribués pour l’occasion.En outre, la DFCF a notamment prévu plusieurs actions de communications relatives à la journée de la femme, en diffusant des portraits de femmes à la télévision et en radio, avec aussi l’implication de plusieurs femmes dans différentes émissions locales et certains magazines.

(Communiqué de presse)

PROGRAMME


MARDI 8 MARS
Mairie de Pirae
Ouverture officielle de la journée 

MERCREDI 9 MARS
Au Parc Bougainville.
Action de prévention menée par "La Direction de la jeunesse et des sports"
"Street Art" et "Street Quizz" + Animation diverses

JEUDI 10 MARS
Service de l’emploi, de la formation et de l’insertion
professionnelle 
Matinée dédiée aux formations à l’apprentissage de "gestionnaires des unités commerciales". Sous la forme de "speed
working day" chaque candidat disposera d’un temps limité pour se présenter à l’employeur et
mettre en avant ses capacités afin de décrocher un contrat d’apprentissage.

VENDREDI 11 MARS
Sur TNTV
Midi Live spécial santé des femmes

SAMEDI 12 MARS
Pirae
Course "La Tahitienne"
Départ de la course est prévu à 17h. La DFCF mettra en place un stand
d’information et de sensibilisation sur la santé des femmes dans les jardins de la mairie
dès 13h, en partenariat avec la Santé. Une équipe de femmes de l’administration
participera également à la course afin de soutenir l’initiative dans le cadre de la Journée
internationale de la femme.






 

Affaire Radio Maohi : le procureur a requis 3 millions d'amende à l'encontre d'Edouard Fritch

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Affaire Radio Maohi : le procureur a requis 3 millions d'amende à l'encontre d'Edouard Fritch
Le président Edouard Fritch et l’ancien employé de Radio Maohi, Gustave Heitaa ont été renvoyés en correctionnelle. Ils étaient ce mardi devant le tribunal. 
Le procureur a requis une peine  3 millions d'amende à l'encontre d'Edouard Fritch jugé pour prise illégale d'intérêt et 1.6 million d'amende à l'encontre de Gustave Heitaa jugé pour recel de prise illégale d'intérêt. 

Le président du Conseil des Jeux du Pacifique en visite à Tahiti

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CANDIDATURE - Vidya Lakhan, président du Conseil des Jeux du Pacifique, est en visite à Tahiti. Il rendra un rapport sur la candidature de la Polynésie à l'accueil des prochains Jeux du Pacifique en 2023. C'est en mai qu'on saura si Tahiti sera bien hôte de l'événement.
Le président du Conseil des Jeux du Pacifique en visite à Tahiti
La Polynésie est candidate pour l'accueil des prochains Jeux du Pacifique, en 2023. Vidya Lakhan, président du Conseil des Jeux du Pacifique, est actuellement en visite au fenua. Il a rencontré ce mardi Tauhiti Nena, président du comité olympique de Polynésie française, et visitera quelques infrastructures. "Je remercie le président Vidya Lakhan et son directeur administratif de s'être déplacés pour qu'ensemble on essaie de régler les derniers points au niveau de la charte pour que notre candidature soit réellement officielle et qu'ils puissent apporter un soutien, car ils vont faire un rapport qui sera lu avant l'élection", confie Tauhiti Nena.

Vidya Lakhan va également rencontrer la ministre des Sports, le président de l'Assemblée et les présidents de groupes, le haut-commissaire ainsi que le président du Pays. Un soutien du gouvernement est en effet important pour l'organisation de l'événement. 
Début février, le secrétaire d’État aux Sports, Thierry Braillard a confirmé que  l’Etat soutiendrait le Pays  si la candidature de Tahiti était retenue.

Le Conseil des Jeux du Pacifique a déjà visité la Polynésie il y a 4 ans. "À ce moment, nous nous sommes dit que Tahiti avait une bonne candidature", déclare Vidya Lakhan. La visite de cette année permettra au Conseil des Jeux du Pacifique de constater l'évolution des infrastructures. "Les critères les plus importants dans la candidature sont le soutien du gouvernement de l'Etat dans l'organisation, dans l'installation des installations, si les infrastructures sont bien en place, le logement, la nourriture pour les athlètes", précise le président du Conseil des Jeux du Pacifique.

Après leur visite Vidya Lakhan et son directeur administratif rendront un rapport qui sera donné à tous les membres du Conseil. Une assemblée générale se tiendra au Vanuatu en mai durant laquelle les Pays présenteront leurs candidatures. Un vote sera ensuite réalisé. Pour Tauhiti Nena, si Tahiti devenait hôte des Jeux, "ce serait vraiment une aubaine, ça nous permettrait de rénover nos installations sportives, d'en créer de nouvelles". 
 
Rédaction Web (Interviews : Sophie Guébel)


 

Tauhiti Nena, président du comité olympique de Polynésie française

Vidya Lakhan, président du Conseil des Jeux du Pacifique

Affaire Radio Maohi : Délibéré le 24 mai

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Affaire Radio Maohi : Délibéré le 24 mai
Le président Edouard Fritch et l’ancien employé de Radio Maohi, Gustave Heitaa ont été renvoyés en correctionnelle. Ils étaient ce mardi devant le tribunal.  
Le procureur a requis une peine  3 millions d'amende à l'encontre d'Edouard Fritch jugé pour prise illégale d'intérêt et 1.6 million d'amende à l'encontre de Gustave Heitaa jugé pour recel de prise illégale d'intérêt. Le délibéré sera rendu le 4 mai. 

Radio Maohi : Edouard Fritch "assume" et se défendra

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JUSTICE - Ce mardi, le procureur a requis une peine d'avertissement contre Édouard Fritch dans l'affaire Radio Maohi. Pas d'inéligibilité, mais 3 millions de Fcfp d'amende requis.
Radio Maohi : Edouard Fritch
Le président Edouard Fritch et l’ancien employé de Radio Maohi, Gustave Heitaa étaient ce mardi devant la justice. Edouard Fritch est soupçonné d’avoir pris part, en tant que maire de Pirae et président délégué du Tahoeraa Huiraatira, au vote octroyant une subvention d’environ 15 millions de Fcfp à Radio Maohi, média historiquement proche du parti orange. 
Employé à l’assemblée de Polynésie, Gustave Heitaa avait été recruté comme journaliste.

Le procureur a requis une peine  3 millions de Fcfp d'amende à l'encontre d'Edouard Fritch jugé pour prise illégale d'intérêt. Une "peine d'avertissement", et pas d'inéligibilité requise. "Bien sûr que ça soulage, a réagi le président du Pays. Mais enfin la peine de 3 millions c'est quand même une peine". 

"On se pose toujours la question : pourquoi cet acharnement sur Radio Maohi alors qu'en face on retrouve les mêmes acteurs, les mêmes outils et les mêmes procédés. Les communes ont beaucoup investi dans les radios. Nous ne sommes pas les seuls. Il fut un moment où nous étions 6 ou 7 communes à le faire. C'est un outil intéressant, mais c'est un outil aussi qui coûte beaucoup d'argent aux collectivités. C'est la raison pour laquelle on en voit peu aujourd'hui si ce n'est celles qui continuent à vivoter pour des raisons politiques ou autres", a déclaré Edouard Fritch aux médias. 

Edouard Fritch dit assumer pleinement ses actes."Je ne veux pas parles des absents, je ne veux pas rejeter sur les autres ce qui m'est reproché aujourd'hui. J'assume parce qu'effectivement il y a un problème d'interprétation que je n'ai pas vu. J'assume ce qui m'est reproché. Je me défendrai."

Concernant Gustave Heitaa jugé pour recel de prise illégale d'intérêt , le procureur a requis 1.6 million d'amende.
Le délibéré sera rendu le 4 mai. 

 
Rédaction Web (Interview : Sam Teinaore)

Edouard Fritch


Heimata Tang : "la femme polynésienne a fait du chemin, je pense qu'elle n'a pas fini"

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JOURNÉE DE LA FEMME - Lundi à la veille de la journée de la femme, Tahiti Nui Télévision a reçu Heimata Tang, chef de service de la délégation à la famille et à la condition féminine.
La femme polynésienne a-t-elle fait beaucoup de chemin par rapport à la génération précédente ? 
"Je pense que la femme polynésienne aujourd'hui occupe de plus en plus de place dans tous les domaines que ce soit au niveau économique, au niveau social, au niveau politique. Oui, elle a fait du chemin et je pense qu'elle n'a pas fini de parcourir cette route."

On parle souvent de parité. Mais la parité est-elle partout en Polynésie ? Vous parlez notamment du milieu politique. Par rapport à d'autres pays, comment on se situe ? On a deux femmes seulement au gouvernement par exemple.
"Après on n’est pas les pires élèves. C'est-à-dire qu'il y en a qui n'en ont aucune. Aujourd'hui à l'assemblée, on a quand même la parité à 50-50. On a même beaucoup plus de femmes représentantes à l'assemblée aujourd'hui. Dans certains autres pays du Pacifique on a encore moins de femmes, parfois 1 ou 2 représentantes féminines dans certaines assemblées de la région Pacifique."

Et dans le monde de la grande entreprise ?
"Dans le monde de la grande entreprise, je dirais qu'il y a de plus en plus de femmes qui essaient de se lancer. On l'a vu au dernier forum de l'emploi où on a finalement beaucoup de femmes entrepreneur."

Quels sont les grands chantiers qui restent à accomplir ?
"Au niveau du droit, il y a l'égalité des droits. Dans leur application, c'est plus un changement des mentalités. Par exemple, au niveau des partages des tâches, de l'éducation à la maison. Je pense que c'est plus à ce niveau-là qu'il y a du travail à faire pour qu'il y ait une parité plus complète dans les domaines où la loi ne s'impose pas. On ne va pas créer une loi pour obliger les maris à faire le ménage à 50% avec les femmes."

Alexandra David privilégie la prévention auprès des jeunes. C'est aussi votre politique ?
"Oui je pense que c'est une politique qui est menée par l'ensemble du gouvernement aujourd'hui où on se rend bien compte que pour éviter d'avoir à agir sur l'urgence, il faut faire beaucoup de prévention."

Alors comment est-ce qu'on s'y prend ?
"La prévention c'est difficile dans le sens où on n'a pas des résultats immédiats. Ce n'est pas en faisant une action là maintenant qu'on a tout de suite des bénéfices le lendemain. En prévention, on part sur 5, 10 ans. On essaie de changer des comportements, des mentalités, des habitudes qui ont été prises depuis de nombreuses années. Là, ça prendra autant de temps si ce n'est plus pour les changer."

Les visuels de communication sur vos événements sont roses. Ils rappellent que la femme doit être reconnaissante de ses droits, qu'elle doit se sentir reconnue par les hommes. Est-ce vraiment une manière de marquer l'émancipation de la femme ?
"Les années précédentes, on a voulu cibler une problématique en particulier (...) Et on s'est rendu compte en préparant cette journée que finalement les femmes n'ont pas besoin d'avoir une problématique en particulier pour se sentir fédérées (...) et qu'autour de nous on avait de nombreuses femmes pas forcément connues ou reconnues dans le milieu public et qui accomplissaient des choses extraordinaires d'un point de vue familial. TNTV a été partenaire avec nous sur des portraits qui ont été réalisés et qui sont diffusés toute cette semaine, où on a des pères, des frères, des enfants, petit-enfants, qui parlent de ces femmes qu'on ne connaît pas. Et on a délibérément voulu que les portraits soient anonymes justement pour que chaque femme puisse se reconnaître."


 

Les Iles Marshall évoquent l'horreur nucléaire devant la Cour internationale de Justice

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PACIFIQUE - Les Iles Marshall ont fait un récit saisissant lundi des horreurs des tests nucléaires, alors que ce petit Etat du pacifique tente de convaincre la Cour internationale de Justice qu'elle a compétence pour examiner ses plaintes contre l'Inde, le Pakistan et le Royaume-Uni.
Les Iles Marshall évoquent l'horreur nucléaire devant la Cour internationale de Justice
Cet archipel situé au coeur de l'Océan pacifique a été le théâtre de nombreux essais nucléaires dans les années 1940 et 1950 et reproche à ces trois nations de ne pas avoir abandonné "la course" à l'armement nucléaire.
Pendant ces tests, "plusieurs îles ont été détruites ou rendues inhabitables pour des milliers d'années", a déclaré le représentant du pays devant la Cour internationale de Justice (CIJ), Tony deBrum.
 
Il avait 9 ans quand, en mars 1954, les Etats-Unis procèdent au test Castle Bravo, considéré comme 1 000 fois plus puissant que la bombe atomique lâchée sur Hiroshima en 1945.
"Le ciel entier était rouge", se souvient M. deBrum, qui pêchait alors avec son grand-père, à 200 kilomètres de l'explosion : "beaucoup sont morts, ont souffert de malformations congénitales ou de cancers suite à la contamination".
 
Les Iles Marshall demandent que Londres, New Delhi et Islamabad prennent "toutes les mesures nécessaires" pour s'acquitter de ce qu'elles estiment être leurs obligations au regard du traité sur la non-prolifération des armes nucléaires.
 
Le traité de 1968 - ratifié par Londres, mais pas par Islamabad ou New Delhi - oblige les Etats à "poursuivre de bonne foi des négociations sur des mesures relatives au désarmement nucléaire". Les Iles Marshall estiment néanmoins que l'Inde et le Pakistan ont les mêmes obligations, du fait du droit international coutumier découlant du traité.
 
Les Iles Marshall avaient déposé en 2014 une plainte contre neuf pays: la Chine, la Corée du Nord, la France, l'Inde, Israël, le Pakistan, la Russie, le Royaume-Uni et les Etats-Unis. 
Israël n'a jamais officiellement affirmé détenir l'arme atomique, mais les observateurs estiment qu'il est le seul pays du Moyen-Orient à en disposer. 
 
Alors que la Corée du Nord a brandi vendredi la menace nucléaire en réaction à l'alourdissement de sanctions internationales la visant, la Cour n'entendra que trois affaires: le Royaume-Uni, le Pakistan et l'Inde avaient par le passé accepté la "compétence obligatoire" de la CIJ. 
 
Les autres plaintes ne peuvent être examinées que si les pays visés donnent leur feu vert.
 
Entre 1946 et 1958, 67 armes nucléaires de différentes puissances ont explosé sur le territoire des Iles Marshall, donc "l'effet dévastateur se fait encore sentir" selon Majuro.
 
AFP

Ouistiti, le chat de Tahiti qui adore les aspirateurs...

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ANIMAUX - Pour nettoyer Ouistiti, ses maîtres n'ont qu'à lui passer un coup d'aspirateur... Non, ce chat de Punaauia n'est pas maltraité. Au contraire, il adore ça ! Regardez :
Quand la plupart des chats fuient devant un aspirateur, Ouistiti lui, apprécie de se faire aspirer les poils. 

Les habitants de Teavaro ne veulent pas du quai de Vaiare

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MOOREA - Ce mardi, la réunion d'information sur le projet d'extension de la Marina de Vaiare a été plutôt houleuse. Les habitants de Teavaro ne veulent pas en entendre parler près de chez eux. Ils aimeraient qu'il se fasse ailleurs.
Les habitants de Teavaro ne veulent pas du quai de Vaiare
Une centaine d'habitants de Moorea se sont déplacés ce mardi après-midi pour une réunion d'information sur le projet d'extension de la Marina de Vaiare.  Une rencontre houleuse puisque beaucoup n'acceptent pas le projet, notamment les habitants de la commune de Teavaro et du quartier Vaiare. "Déjà la marina existe là. Je pense que c'est assez pour nous, la population de Teavaro. Le projet qu'ils nous ont exposé, c'est super. Mais pourquoi ne pas le faire ailleurs : à Papetoai, à Haapiti ou à Pao Pao ? Pourquoi Vaiare ?", s'interroge Ben Poroiae, habitant de Teavaro. 

Du côté du GIE Tourisme, on accepte le désaccord de la population. "Je comprends les habitants de Moorea et je les soutiens. Le Tourisme de Moorea, en tout cas ce que je préside, on est pour tout développement touristique, mais en harmonie avec la population. Les visiteurs ne veulent pas quelque chose qui n'est pas en harmonie avec la population", déclare Hiro Kelley, directeur du GIE Tourisme à Moorea.

La réunion de ce mardi n'a visiblement pas apaisé les tensions au sein de la population. Mercredi matin, le conseil municipal doit se réunir pour voter ou non le projet. Un projet à 600 millions de Fcfp. L'extension du quai de Vaiare doit comprendre une zone de carénage, un accès sur la grande digue, un restaurant ou encore une zone pour les pêcheurs. 
 
Rédaction Web avec Sophie Guébel

Ben Poroiae, habitant de Teavaro

Hiro Kelley, directeur du GIE Tourisme à Moorea

Logements sociaux : construction lancée à Papeete, un futur lotissement à Puka Puka

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CONSTRUCTION - La première pierre de la résidence Fariipiti a été posée ce mercredi. Le ministre du Logement Tearii Alpha annonce d'autres projets dont un lotissement social qui devrait sortir de terre cette année à Puka Puka.
Logements sociaux : construction lancée à Papeete, un futur lotissement à Puka Puka
25 nouveaux logements sociaux sortiront bientôt de terre à Papeete, dans la zone de Fariipiti. L'immeuble, sur le cours de l'Union Sacré permettra l'accession à la propriété sur 20 ans. "Tout le monde n'est pas propriétaire d'un bout de terrain à Papeete. Il y a beaucoup de familles qui vivent dans des quartiers insalubres et inconfortables pour les familles. Ce type de construction en pleine ville, on ne pourra pas y échapper dans le temps", a déclaré le ministre du Logement Tearii Alpha, au micro de Tahiti Nui Télévision. 

La première pierre, posée ce mercredi matin, ouvre un chantier qui va s'étendre sur 17 mois. Le coût : 437 millions de Fcfp, financés pour moitié par l'État dans le cadre du contrat de projets. Mais des centaines d'autres demandes sont attentes dans les zones urbaines, et pas seulement. "N'oublions pas les archipels. L'OPH va construire des fare partout dans les archipels. Et il y a un futur lotissement à Puka Puka qui est attendu depuis pratiquement 15 ans aujourd'hui, que nous allons réaliser cette année, grâce au Contrat de projets. Et d'autres terrains seront viabilisés dans les îles pour pouvoir sédentariser les familles dans les îles avec cette volonté de développer le potentiel des îles. Mais il faut habiter décemment", a expliqué Tearii Alpha. 
Rédaction Web 

Tearii Alpha, le ministre du Logement

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