EQUITATION - Le horse-ball est aujourd’hui pratiqué par une cinquantaine de cavaliers en Polynésie. Cette année l’équipe féminine de Tahiti a même remporté les championnats de France. Un succès qui a donné envie aux plus jeunes de pratiquer ce sport eux aussi. D'ailleurs, La fédération polynésienne d’équitation a décidé d’ouvrir un cours de poney-ball, pour les enfants à partir de six ans.

Ces jeunes cavaliers et leurs poneys sont en route pour leur cours de horseball. Certains n’ont que six ans, et pourtant ils pratiquent déjà la discipline avec une aisance déconcertante. Ce sport de vitesse et de contact, habituellement réservé aux adultes, s’est ouvert aux enfants il y a quelques semaines à peine.
"Cela les aide dans leur vie de cavalier, surtout quand ils sont petits, car cela leur permet de travailler leur équilibre." explique Antonin Mianné, cadre technique de la fédération polynésienne d'Equitation.
>>> Lire aussi - La Polynésie, championne de France de horse-ball
Emma Merel , 14 ans, est double championne de France. Elle et ses coéquipières accompagnent les plus jeunes dans leurs entrainements. Son meilleur conseil, la persévérance. "C'est beaucoup de travail, je fais deux heures à cheval toutes les semaines, plus des entraînements à pieds et c'est comme cela que l'on progresse. En pratiquant. Et au final, cela en vaut la peine."
Pour continuer à développer la discipline, la fédération envisage de mettre en place des tournois, à l’échelle du pacifique.
"Cela les aide dans leur vie de cavalier, surtout quand ils sont petits, car cela leur permet de travailler leur équilibre." explique Antonin Mianné, cadre technique de la fédération polynésienne d'Equitation.
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Emma Merel , 14 ans, est double championne de France. Elle et ses coéquipières accompagnent les plus jeunes dans leurs entrainements. Son meilleur conseil, la persévérance. "C'est beaucoup de travail, je fais deux heures à cheval toutes les semaines, plus des entraînements à pieds et c'est comme cela que l'on progresse. En pratiquant. Et au final, cela en vaut la peine."
Pour continuer à développer la discipline, la fédération envisage de mettre en place des tournois, à l’échelle du pacifique.
Rédaction Web avec Tamara Sentis