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Fortes pluies : retour à la vigilance jaune

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Météo îles Sous-le-Vent :

Jusqu’à dimanche soir, le ciel est chargé avec des grains et des averses localement de forte intensité. Elles sont plus fréquentes vers la région de Mopelia.

Vent faible à modéré de Nord-Nord-Est. Rafales à 60 kilomètres/heure au passage d’un grain.

Mer peu agitée à agitée. Houle courte de Sud-Est d’1 mètre.

Météo Tahiti et Moorea :

Jusqu’à samedi soir, le ciel reste chargé avec des passages d’averses, localement fortes près du relief cette nuit. Dimanche, le temps reste très nuageux, mais avec des averses moins fréquentes. Températures extrêmes prévues : 22 et 29 degrés Celsius.

Vent faible à modéré de Nord-Nord-Est. Rafales à 60 kilomètres/heure au passage d’un grain.

Mer peu agitée à agitée. Houle courte de Sud-Est d’1 mètre.

Météo Tuamotu et Gambier :

Jusqu’à dimanche soir, des nuages bas prédominent sur la moitié Ouest des Tuamotu et occasionnent quelques averses. Par contre, sur la moitié Est des Tuamotu-Gambier, les nuages élevés sont prédominants.

Samedi, vent d’Est-Nord-Est modéré. Il est plutôt plein Est dimanche.

Mer agitée. Houle courte d’Est d’1 mètre 50 sur le Nord de l’archipel. Houle de Sud-Est d’1 mètre sur le Sud de l’archipel.

Plus d’infos sur meteo.pf

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Nouvel An : à l’assaut des ongleries

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À Tahiti comme dans le monde, personne n’échappe à la tendance des ongles bien faits. Alexandra Prot a ouvert son institut de beauté il y a dix ans maintenant, et pratique le métier qu’elle a démarré en métropole depuis quatorze ans. Avec son équipe, elle est l’une des premières à avoir trouvé le bon filon : ouvrir une onglerie. “C’est une coquetterie. Cela donne confiance en soi de pouvoir mettre ses mains en avant, de pouvoir montrer aux copines…” explique-t-elle. “C’est un moment de détente et un bien-être personnel, pour être belle jusqu’aux bouts des ongles” ajoute Mickaelle Corre, une cliente.

(Crédit photo : Tahiti Nui Télévision)

En ces fêtes de fin d’année, le carnet de réservation du salon affiche complet, mais aujourd’hui, les ongleries ne manquent pas au fenua. “Cela s’est beaucoup développé ces dernières années. Je forme également sur le territoire. Après, il y en a pour tout le monde, pour tous les goûts : certaines vont préférer faire à domicile, d’autres travailler dans des instituts de beauté ou des hôtels, d’autres encore vont préférer ouvrir leur propre salon etc.” déclare Alexandra.

“En ces fêtes de fin d’année, en une journée, on peut avoir une trentaine de coups de fils. On est malheureusement obligés de refuser quelques clients, mais on sait que sur le territoire, il y en a plein d’autres qui savent aussi très bien faire les ongles. Tout le monde réussira à être satisfait” précise la jeune femme.

En quelques années, la concurrence s’est très rapidement installée au fenua, alors il faut savoir se démarquer, et toujours être à la recherche de nouvelles tendances.

Lors de la pose du chrome. (Crédit photo : Tahiti Nui Télévision)

Et pour le Nouvel An, si les paillettes sont toujours autant plébiscitées par les clientes, une nouvelle technique fait beaucoup d’adeptes : “Ce sont les pigments chromés. On métallise des bases de vernis pour donner un effet ultra brillant, métallique. C’est comme la mode. On suit les tendances, les techniques. On se met au goût du jour, on fait venir le matériel, on le teste, on voit si ça marche bien. (…) Cela évolue en permanence, tous les ans on a du nouveau matériel qui nous permet de travailler plus vite” nous dit Alexandra.

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Le rahui de Atimaono sous surveillance

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La gendarmerie et la police municipale de Papara et Mataiea étaient ce vendredi sur le plan d’eau de la zone du rahui de Atimaono. Inaugurée le 7 décembre dernier, celle-ci s’étend de la passe Aifa à Mataiea, jusqu’à la passe Teava no Raa à Papara. Soit une superficie de 1042 hectares, désormais interdite à la pêche, durant une période de deux ans.

Cette première action de surveillance en mer avait pour objectif de sensibiliser et d’informer la population, “parce que nous avons fait le constat que nos pêcheurs des deux communes respectives respectent le rahui, parce qu’ils ont été associés au projet, explique Tamatoa Doom, maire adjoint de la commune de Teva i Uta. Maintenant l’idée est d’informer toute la Polynésie, des personnes qui sont de l’extérieur et qui viennent chez nous, pour qu’ils sachent que cette zone-là est une zone protégée.”

La commune associée espère refaire de cet espace une zone poissonneuse. Et pour cela, elle n’hésitera pas à sévir. “Une fois qu’on aura informé le maximum de personnes, si on revoit la même personne une deuxième fois, on va commencer à faire des procès verbaux qui vont être transmis à la gendarmerie, poursuit Tamatoa Doom. Ensuite c’est la gendarmerie qui transmettra au procureur, et le procureur appliquera les sanctions qui s’imposent. Ça peut aller d’une amende à 160 000 Fcfp à la saisie du matériel…”

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Municipales : le Tahoeraa Huiraatira prépare des listes d’alliance avec le Tavini

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Avant de parler de l’actualité politique, votre parti organise ce samedi un déjeuner dansant sur le Motu Ovini à Faa’a. Quel est l’objectif de ce rendez-vous ?
“C’est une réunion que nous organisons tous les ans. C’est un rassemblement de tous les cadres du Tahoeraa Huiraatira, mais c’est vrai qu’à la veille des élections, nous avons élargi les invitations à nos partenaires, nos alliés pour les prochaines élections.”

Il s’agit également de récolter des fonds pour les prochaines élections ?
“Oui, il s’agit tous les ans de récolter des fonds pour le fonctionnement du parti.”

Pourquoi avoir choisi la commune de Faa’a pour organiser cet événement ?
“Nous étions d’abord partis sur le site de Mama’o, mais malheureusement, TNAD, avec le gouvernement, a tout fait pour ne pas nous autoriser à le faire, puisque nous devions réaliser cela le mois dernier, fin novembre, et nous avons donc été obligés de reporter à fin décembre et à Faa’a plutôt qu’à Mamao.”

Vous avez exprimé le souhait de vous présenter à Papeete aux prochaines élections municipales. Votre inscription sur les listes électorales a pour l’instant été refusée. Quels sont les recours dont vous disposez encore ?
“D’abord il faut dire que ce sont les instances du Tahoeraa Huiraatira qui m’ont demandé de me présenter à Papeete, puisque ça fait plus de six mois aujourd’hui que nous faisons le tour de Papeete et que nous commençons à connaître vraiment Papeete.
Effectivement, j’ai l’intention de me présenter aux élections, mais pour cela il faut d’abord s’inscrire sur la liste électorale. Or le maire se base sur une loi ancienne. Cependant il doit savoir qu’une nouvelle loi a été appliquée à la Polynésie depuis le 1er janvier 2019, et les conditions d’inscription ont été assouplies. Le maire, lui, dispose que le jour où vous vous inscrivez sur la liste électorale, vous devez avoir accompli six mois de résidence à Papeete, la nouvelle loi dit autre chose. Elle dit qu’il faut que vous prouviez que vous habitez Papeete depuis quelques mois, la limite étant le 7 février, c’est-à-dire la date limite des inscriptions, et non pas le jour des inscriptions.
Nous avons fait un pourvoi devant une commission, la commission de contrôle communal, mais malheureusement là vous avez cinq conseillers municipaux, tous les cinq désignés par le maire. Evidemment, je ne vois pas ces conseillers municipaux dire le contraire de ce que le maire a décidé. Et puis ensuite nous pouvons demander au tribunal de trancher.”

Si vous ne parvenez pas à faire valider votre inscription, qui pourrait conduire la liste Tahoera’a sur Papeete ?
“Si mon inscription est toujours refusée, ça veut dire qu’il n’y a plus de loi en Polynésie française. Parce qu’après le 31 janvier, j’aurais quand même la possibilité de m’inscrire sur la liste électorale, puisque comme je le disais, la limite est le 7 février. Et à partir du 31 janvier, six mois de résidence à Papeete, je m’inscrirai sur la liste de Papeete. Donc dans tous les cas, le maire ne peut pas refuser, ce serait de la dictature que de me refuser mon inscription sur la liste électorale de Papeete.”

Où en est l’alliance avec le Tavini Huiraatira ? Est-ce que ça se confirme ?
“Oui, oui, oui, ça se confirme au niveau des fédérations dans chaque commune, jusqu’aux îles Sous-le-Vent. Hier au soir encore nous discutions avec les représentants Tavini de Taputapuatea et l’accord a été conclu pour cette liste d’alliance, le Amuitahiraa.”

Concernant la commune de Papeete, est-ce que vous avez pu rencontrer d’autres candidats potentiels. Tauhiti Nena ? Marcel Tuihani ?
“Tauhiti Nena veut se présenter seul, Marcel Tuihani également. Je les ai rencontrés, mais il n’y a pas que ces partis-là. Le Here Ai’a est également bien représenté à Papeete, et d’autres partis, des individualités, des personnages qui sont bien connus dans le domaine du sport, dans le domaine de la lutte contre le tabagisme, contre la drogue. Toutes ces personnes-là également seront présentes sur notre liste.”

Si les résultats du parti orange n’étaient pas satisfaisants à l’issue du scrutin, seriez-vous prêt à passer la main ?
“Eh bien ça, c’est une question que vous me posez à chaque fois. Ce n’est pas moi qui décide, c’est le Tahoeraa Huiraatira qui décide, parce que je compte bien organiser un congrès après ces élections. La question sera certainement posée et nous verrons à ce moment-là.”

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Georges Kautai, gardien de la vallée de Hohoi depuis 18 ans

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Lorsqu’on évoque le Matavaa avec Georges, il nous parle tout de suite du rôle qu’il a joué en tant que représentant de sa vallée de Hohoi : “J’étais en charge de tout ce qui se passait à Mauia”. Et il revient sur les dernières années de travaux qui ont permis de rendre de sa superbe au site archéologique. Georges nous précise qu’il aura fallu 3 ans pour remettre sur pied les structures de pierre du tohua et accueillir le Matavaa de 2007. La deuxième étape de restauration des cases, ou haè, s’est achevée fin 2019, juste à temps pour la 12e édition du festival.

“Ce qui fait que quand toutes les délégations ont été réunies à Mauia, on pouvait sentir le mana sur le site. Le tohua passait le message suivant aux groupes : Bienvenue, vous êtes chez vous.”

Le conseiller municipal nous précise d’emblée que les cases ont été construites à partir de bois locaux, mais que les toits sont en palmex (feuilles de palmier synthétiques en polyéthylène). “Cela résiste 30 ans, contre trois ans pour le pandanus, et le rendu visuel est très similaire au végétal.” Georges connaît parfaitement le site et nous explique que les cases représentent la légende de Oatea et Atanua, la fameuse légende de la création des îles Marquises. “On ne sait pas expliquer avec certitude la forme angulaire tout à fait particulière du site, même si on pense que la présence d’une rivière sur les lieux a certainement causé l’agrandissement du site originel, qui aurait subi des crues fréquentes.”

Le site de Mauia. (crédit photo : Vaea D.)

Pour Georges, maintenant que le site est totalement réhabilité, l’objectif est bien de le valoriser selon une perspective de développement durable. Le tohua Mauia peut accueillir des manifestations touristiques, sportives et paroissiales pour en faire un véritable lieu de vie, sans attendre pour autant le prochain Matavaa. Aujourd’hui, le site historique est d’ailleurs déjà un lieu de syncrétisme où des messes sont célébrées.

Comme beaucoup d’ènana de la Terre des Hommes, Georges mène plusieurs activités de front : il est également agriculteur, tailleur de pierres, et cultive de la vanille sur sa terre Ataua. Au sein de la délégation de Ua Pou, Georges présentait ses créations au village pendant les 4 jours de festival. Le reste du temps, il fait partie de la fédération des artisans de Ua Pou et participe régulièrement au Salon des Marquises de Tahiti. Sauf bien sûr ce mois de décembre, car “on ne peut pas être partout”.

Lorsqu’on demande à Georges quelles peuvent être les difficultés de son village de 92 habitants et 75 votants, il répond sans hésiter : “Le manque d’eau, la gestion de l’eau, et la poussière, notamment pendant les périodes de grande sécheresse comme en ce moment, ainsi que les animaux en divagation. Un autre enjeu important reste quand même l’école : 4 niveaux pour 7 élèves.”

(crédit photo : Vaea D.)

Un message aux jeunes de sa vallée ? “Ne restez pas bloqués sur vous-mêmes, il faut s’ouvrir, nous, les anciens, nous vous encourageons à porter ce flambeau de la culture marquisienne.” L’enjeu de la transmission lui paraît essentiel : sa fille de 24 ans participait cette année à son premier Matavaa. “C’est celle qui portait une plume noire le jour des koika à Hohoi”, dit-il fièrement.

Et s’il fallait s’adresser à son successeur ? “A oho te ìi, bon courage pour l’intérêt général, il faut préserver ce flambeau.” On sait que Georges conserve précieusement bon nombre de savoirs et de légendes à propos de sa vallée et des sites archéologiques qui s’y trouvent, mais cela ne se partage pas n’importe comment et avec n’importe qui.

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Fausta, la doyenne des rhinos noirs, est morte en Tanzanie à 57 ans

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Fausta est décédée de causes naturelles le 27 décembre dans un sanctuaire, après avoir vécu la plus grande partie de sa vie en totale liberté, ont indiqué les responsables de l’aire de conservation du Ngorongoro, située dans le nord de la Tanzanie.

Les archives montrent que “Fausta a vécu plus longtemps que n’importe quel autre rhinocéros dans le monde, et qu’elle a survécu dans le Ngorongoro, en circulant librement, pendant plus de 54 ans”, avant d’être emmenée dans un sanctuaire en 2016, selon le communiqué.

“Fausta a été localisée la première fois sur la cratère du Ngorongoro en 1965 par un scientifique de l’Université de Dar Es Salaam, lorsqu’elle était âgée de trois à quatre ans. Sa santé a commencé à se dégrader en 2016, et nous avons été obligés de placer l’animal en captivité, après plusieurs attaques de hyènes ayant causé de graves blessures”, ont expliqué les responsables.

Sana, une femelle rhinocéros blanche, âgée de 55 ans, était considérée comme la doyenne des rhinocéros blancs lorsqu’elle est décédée en captivité dans le parc zoologique français La Planète sauvage en 2017.

Les spécialistes du Ngorongoro estiment l’espérance de vie des rhinocéros à entre 37 et 43 ans en milieu sauvage, jusqu’à 50 ans en captivité.

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Rétrospective 2019 : une année de sport

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Du basket pour démarrer cette rétrospective avec la victoire de JT chez les femmes face à Aorai. Une victoire que les filles de JT attendaient depuis 63 ans. Les jeunes tahitiennes n’ont pas soulevé la coupe depuis 1956, c’est désormais chose faite.

2019 a également été marqué par les Jeux du Pacifique aux Samoa. Après deux semaines de compétitions et un faux départ au va’a, Tahiti termine 4e au classement avec 119 médailles dont 35 en or, 39 en argent et 45 en bronze.

A peine revenus des Samoa, les rameurs de la sélection tahitienne de va’a reprenaient l’avion pour les championnats du monde de va’a marathon à Mooloolooba en Australie. Déjà leader en 2017, Tahiti récidive et rafle tout sur son passage avec un total de 12 médailles d’or, 4 en argent et 3 de bronze. Le pays hôte et Hawaii complètent le podium.

(crédit photo : archives Tahiti Nui Télévision)

En surf, Kauli Vaast a fait forte impression lors des trials de la Teahupoo Pro. Opposé au Hawaiien Tyler Newton en finale, le jeune surfeur de la Presqu’île a démontré tout son talent pour finalement s’imposer et obtenir sa wild card pour le « main event ». Il se fera sortir au round 32 par Jeremy Flores.

Sur le bitume, Axel Carnier remporte le Tour de Tahiti Nui 2019. Le cycliste martiniquais âgé de 22 ans a couru sous les couleurs du Papeete Cycling au côté de Manarii Laurent. Après une victoire lors de la 3e étape, Axel a su tenir ses rivaux à bonne distance pour s’imposer au classement général du 25e Tour de Tahiti Nui.

Le Mixed Martial Arts a également fait parler de lui cette année. Légaliser en métropole et au fenua, c’est le souhait de bon nombre de combattants. Si l’officialisation doit se faire en 2020 en métropole, en Polynésie, la démarche a déjà bien avancé. La Fédération polynésienne de lutte, JJB, MMA et sports associés s’est affiliée à la Fédération internationale de MMA amateur. Un premier pas pour la fédération locale qui compte ainsi obtenir la délégation de service public du gouvernement.

Autre événement marquant en va’a, Shell n’a laissé aucune chance à ses concurrents. Le team de David Tepava s’offre la victoire de la Molokai Ho’e et la Hawaiki Nui Va’a avec la manière. Victorieuse à la 1re étape, une 6e place lors de la 2nde,Shell confirme sur l’étape finale. L’équipe au coquillage de Fare Ute s’impose à Bora Bora avec 6 minutes et 38 secondes au général devant le Team OPT et Air Tahiti.

(crédit photo : archives Tahiti Nui Télévision)

Petit bémol de cette année : le beach soccer et les Tiki Toa lors de la Coupe du monde de la Fifa au Paraguay. Après une défaite face à l’Italie 12 à 4, une victoire face au Mexique 6 à 1, les Tiki Toa se devaient de s’imposer par 3 buts d’écart face à l’Uruguay. Au final Tahiti s’impose 6 à 4, mais ce ne sera suffisant. Ils sont donc éliminés de la Coupe du monde dès les phases de poules.

Et puis l’annonce de ce grand événement : la mâchoire de Havae accueillera l’épreuve de surf des Jeux olympiques de Paris 2024. En attendant, c’est à ceux du Japon en 2020 que notre Spartan Michel Bourez s’est qualifié afin de représenter la France.

Et pour terminer en beauté cette rétro : un titre mondial. Celui de Poenaiki Raioha en stand-up paddle surf. Après un titre mondial obtenu en 2014 chez les amateurs, Poenaiki, tout juste âgé de 18 ans, réitère son exploit cette année chez les professionnels à Gran Canaria au Maroc.

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Délinquance : un voyage en mer pour retrouver le droit chemin

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Accompagnés de deux éducateurs, ces six adolescents embarquent pour la première fois sur un catamaran. Rapidement, ils prennent leurs marques dans ce qui sera leur cadre de vie pour une dizaine de jours.

L’occasion également pour l’un d’entre eux, bachelier en maintenance nautique, de s’initier à la vie sur un bateau. “C’est la première fois, confie-t-il. C’est une belle expérience je pense. Ça pourrait être nous servir plus tard, découvrir de nouvelles choses.”

Plus qu’un voyage à travers les îles, ce programme se veut avant tout formateur. Au menu de ces 10 jours, une formation au métier de skipper. Mais surtout, ces jeunes devront apprendre la vie en communauté.

“Ils vont faire des quarts de nuit à deux, ils vont envoyer les voiles, ils vont voir comment on met l’ancre, détaille Bruce Andrieux, président de Poe Charter Tahiti. Ils vont devoir participer à la préparation de leur repas et du repas pour tout l’équipage, les tâches ménagères aussi, la vaisselle, etc. C’est la solidarité, c’est la communauté, c’est le travail en équipe pour arriver à un objectif commun.”

La protection judiciaire de la jeunesse propose depuis 2018 ces séjours de rupture et de remobilisation. L’objectif : que ces jeunes rompent avec les difficultés rencontrées au quotidien, comme la violence ou encore la consommation de stupéfiants.

“C’est de leur montrer que la Polynésie est belle, poursuit Bruce Andrieux, qu’il y a plein d’endroits qui sont accueillants, qu’on peut faire de belles choses ensemble sur un bateau, en équipe.”

Le retour au quai de Papeete était très attendu. Les visages sont marqués et fatigués. C’est le moment de dresser un bilan de ce séjour en mer.

“On revient fatigués, avec une super expérience de vie qu’on a vécu en groupe, confie Julien Crusson, l’un des deux accompagnateurs de la Protection judiciaire de la jeunesse. On a pu voir un peu leur capacité à travailler de façon autonome, à respecter les règles, à respecter l’organisation à bord, mais aussi leur capacité à prendre des initiatives : toutes les bases d’une bonne insertion professionnelle.”

“On a fait le tour des Tuamotu, on a été à Tetiaroa, après à Makatea, et le dernier qu’on a fait c’est Tikehau”, raconte l’une des adolescentes.

“Au départ quand on est partis, on ne se connaissait pas, maintenant on se connaît bien, c’est comme si je vivais avec une famille, ça m’a fait sortir le meilleur de moi-même”, confie à son tour un autre jeune.

Ce voyage aura été l’occasion pour ces deux filles et quatre garçons de tisser des liens forts. Cette expérience pourrait être un nouveau départ pour ces jeunes.

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Nukutavake privé d’électricité

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Du côté des Tuamotu, la centaine d’habitants de Nukutavake n’a plus d’électricité depuis le 24 décembre. Le groupe électrogène de la commune est tombé en panne, selon une habitante de l’atoll. Seules deux familles de la place disposent d’un groupe électrogène, les autres foyers n’ont aucune solution pour obtenir de l’électricité.

A l’approche du réveillon de la Saint-Sylvestre, la population s’inquiète pour ses denrées alimentaires. “Notre ma’a est en train de pourrir depuis le réveillon de Noël, depuis 5 jours, s’insurge Poerava, une habitante. Pour l’instant on n’a pas trop de solution, on est encore en train de chercher comment faire.”

“C’est une urgence, on a besoin de l’électricité ici à Nukutavake, martèle Poerava. Surtout pour les enfants, pour le ventilateur parce qu’il fait trop chaud ici, pour les personnes âgées aussi au niveau des médicaments.”

C’est donc un appel à l’aide qui est lancé aux instances du Pays et de l’Etat.

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Le bal du Tahoeraa réunit plus de 2000 personnes

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L’heure était à la fête, ce samedi, pour le Tahoeraa Huiraatira, qui organisait un déjeuner dansant au Motu Ovini de Faa’a. Un événement co-animé par l’ancienne Miss Tahiti Hinarere Taputu et Hono Amo, qui a rassemblé plus de 2000 convives.

Parmi celles-ci, on retrouvait de nombreux sympathisants orange, comme Justine, venue soutenir sa belle-sœur, “un des piliers du parti” dit-elle, et qui a particulièrement apprécié le discours d’ouverture de Gaston Flosse. “Il est bien ce monsieur, confie-t-elle. Je l’ai connu tout petit et aujourd’hui il a toujours la même conviction, c’est aider les autres.”

Mais le orange n’était pas la seule couleur présente, des touches de bleu ciel étaient également de la fête. Comme Ralph, militant Tavini Huiraatira, qui lance d’emblée : “Je viens pour manger le ma’a du Tahoera’a, parce que j’ai été invité par les copains !” Avant de placer son petit commentaire politique : “Le vieux a raison de courir à Papeete (pour les prochaines élections municipales, NDLR), parce que Buillard a peur du vieux.”

Gaston Flosse lors de son discours d’ouverture. (crédit photo : Tahiti Nui Télévision)

“Le président avait parlé du Amuitahira’a, indique de son côté Jean Temauri, président de la fédération Tahoera’a de Faa’a. Je pense que c’est par rapport à ça qu’il y a des Tavini qui sont venus au tama’ara’a. Et ils ont montré qu’ils sont d’accord sur le fait de mettre en place ce rassemblement Amuitahiraa.”

Pour Bruno Sandras, cadre du parti et président de la fédération Tahoeraa de Papara, “cette idée d’union, ce qui n’a jamais été fait jusqu’à présent, aujourd’hui apporte la preuve que c’était une très très bonne idée. Les responsables du Tavini sont là, ils ont répondu présents à l’invitation de Gaston Flosse. On met de côté nos drapeaux respectifs et, passées les fêtes, on va vite être plongés dans la campagne des élections municipales. Et là, ça va être un moment important.”

Au-delà de la fête, ce bal du Tahoeraa était également l’occasion pour le parti de galvaniser ses troupes. “Avant une échéance importante comme les élections municipales, le président du parti a besoin de sentir la foi, la conviction qui réside toujours parmi les militants, confie Bruno Sandras. Et des moments comme celui-ci, c’est aussi un moment pour lui de sonder, de sentir si le Tahoeraa se présente dans de bonnes dispositions aux élections municipales. Et déjà j’ai envie de dire que, bien évidemment, quand on voit ce qui se passe, il n’y a pas de souci : le Tahoeraa sera bien présent dans toutes les communes avec les autres partis, sous l’enseigne Amuitahira’a.”

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Surf : Michel Bourez aimerait finir sa carrière par les JO de 2024

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Michel, tu reviens tout juste de Hawaii où tu as participé à la Triple Crown. Tu as terminé à la troisième place de l’épreuve remportée par Kelly Slater. C’est une petite déception pour toi ?
“C’est une grosse déception parce que j’étais parti pour la gagner et j’étais à un tour près de la remporter. Mais voilà, c’est comme ça, c’est la compétition, donc j’ai l’habitude.”

Qu’est-ce qui t’a manqué ?
“Une vague ! (rires) J’étais en quarts de finale, il me fallait un 2.6 pour passer en finale et la vague n’est jamais venue. Du coup je n’ai pas pu montrer ce que je valais et c’est comme ça, ça arrive.”

Il y a tout de même une bonne nouvelle par rapport à tes performances à Hawaii. Elles t’ont permis de décrocher ton ticket d’entrée pour les Jeux olympiques de 2020. Comment as-tu réagi en apprenant la nouvelle ?
“J’étais content, parce que c’était quand même un des objectifs que je m’étais fixés au début de l’année. Le fait de pouvoir y participer, c’est quand même historique, parce que ce sera la première fois que le surf sera aux Jeux olympiques. Et surtout pour nous, pour Tahiti, ça va quand même être quelque chose de voir qu’il y a un autre jeune qui est rentré dans les Jeux olympiques après Anne-Caroline Graffe. Je suis quand même assez fier de moi de pouvoir y participer.”

Les entraînements vont être un peu plus denses que d’habitude du coup ?
“Non, même programme, je ne vais rien changer. Mais là j’essaie de perdre un peu de poids parce que j’ai envie de vraiment être en forme l’année prochaine. A part ça, je ne changerai rien, mes planches marchent bien, physiquement je suis bien, je suis prêt. Mentalement c’est pareil. Donc ça va.”

Concourir sur le circuit mondial et participer aux Jeux olympiques, ce sont deux choses différentes. Qu’est-ce qui fait la différence entre ces deux compétitions ?
“Le tour mondial, tu as les meilleurs mondiaux. Au niveau professionnel, il n’y a pas mieux. Et les Jeux olympique, c’est un peu un mixte, il y aura des amateurs et des professionnels. Donc pour nous, ceux qui sont sur le WCT, on va dire que ça va être la routine et on va sûrement surfer entre nous. Les autres équipes, les autres jeunes qui ont réussi à se qualifier, on ne va pas forcément y faire attention. On se connaît tellement qu’on sait qui il faudra battre. Donc c’est un peu une autre compétition en plus de ce qu’on fait déjà.”

On va rester sur les Jeux olympiques, mais ceux de 2024 cette fois-ci. La vague de Teahupoo devrait accueillir l’épreuve de surf. Est-ce un bon choix selon toi ?
“Personnellement, je pense que c’est le meilleur choix. Lorsqu’ils sont venus à Tahiti faire leurs recherches, je pense qu’ils ont vu ce qui se passait chez nous. Ils ont vu la vague de Teahupoo, le mana qu’il y avait autour, surtout le fait de voir ces grandes montagnes. C’est magique là-bas, c’est magnifique, donc pour eux, le fait de venir voir sur place et surtout d’avoir des grosses conditions, ils ont été marqués. La différence qu’on a avec la France pendant cette période, c’est que chez nous c’est l’hiver, on va dire, et qu’en France c’est l’été au mois de juillet. Et on sait qu’au mois de juillet il n’y a pas de vagues en France, donc ils risquent d’avoir un sacré flop s’ils font à Hossegor ou à Biarritz. C’est pour ça qu’ils nous ont choisis.”

Tu le disais tantôt, pour les Jeux olympiques il peut y avoir des amateurs comme des professionnels. Est-ce que ça veut dire qu’il y a un peu plus de chances pour les athlètes polynésiens de participer à ces Jeux olympiques de 2024 ?
“En fait, si un athlète polynésien veut se qualifier, je pense qu’il faudra qu’il soit sur le tour, là où je suis. Donc il y a beaucoup de choses à faire. Il faudra faire le WQS, ensuite arriver là où je suis, et ensuite faire partie des dix premiers qualifiés sur le tour. Donc il y a beaucoup de choses à faire. C’est pas impossible. Il leur faut trois ans à peu près. Kauli Vaast est bien parti pour y arriver. Donc oui, il y a moyen pour d’autres jeunes d’entrer.”

Et tu penses pouvoir être en mesure de participer aux Jeux de 2024 ?
“Ce qu’il me reste à faire, c’est de rester sur le tour. Je m’étais dit peut-être encore deux-trois ans sur le tour ça m’irait, mais maintenant que les JO seront à Tahiti en 2024, ça va être la fin de ma carrière je pense si j’y arrive.”

Justement, on sait que dans le monde du surf, on part un peu plus tôt à la retraite. Est-ce que tu as déjà des perspectives pour ta reconversion ?
“Oui et non. Jusqu’à présent non, j’essaie d’investir un peu à gauche à droite, histoire de ne pas trop perdre mon temps, histoire d’être bien avant que je finisse, mais sinon non. J’ai beaucoup d’idées, peut-être investir un peu dans l’immobilier, je ne vais pas trop en dire non plus. Peut-être aussi du coaching plus tard, mais on verra ce qui va se passer.”

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A Raiatea, les cadeaux sont distribués même après Noël

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Des jouets et des habits par dizaines, voici la belle moisson de ce salon de coiffure de Uturoa. Leurs clients ont joué le jeu tout le mois de décembre pour cette action caritative dénommée le calendrier de l’avent.

“L’objectif est vraiment de faire un calendrier de l’avent de Noël où toutes les personnes peuvent mettre au pied du sapin du salon des cadeaux qu’ils ne veulent plus ou des vêtements qui pourront avoir une deuxième vie auprès de quelqu’un”, explique Auriane Jestin, la propriétaire du salon de coiffure.

C’est à l’association Te Avei’a Ora no Hava’i qu’est revenue la répartition du butin. Aidée de la cellule sociale de la commune de Uturoa, elle a trié et conditionné les articles avant de les distribuer.

Ce sont au final 32 enfants de quartiers prioritaires de Uturoa qui ont bénéficié de ces présents. Un petit geste qui fait toujours plaisir.

A Uturoa, les actions en faveur des plus démunis ont été nombreuses depuis le début du mois de décembre.

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Pour le Nouvel An, Sydney ouvrira le feu malgré des protestations

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La municipalité de Sydney va dépenser 6,5 millions de dollars australiens (plus de 486 millions de Fcfp) pour l’édition 2020 de son célèbre feu d’artifice. Un montant qui, selon la pétition de Change.org, serait mieux dépensé s’il revenait aux pompiers volontaires et aux agriculteurs souffrant d’une sécheresse exceptionnelle.

Le spectaculaire feu d’artifice qui embrase chaque année la baie de Sydney “pourrait traumatiser certaines personnes”, écrit la pétition, “car il y a suffisamment de fumée dans l’air”.

Au moins trois millions d’hectares, l’équivalent de la superficie de la Belgique, ont été détruits depuis septembre par des incendies en Australie, qui ont causé la mort de 8 personnes. 

Sydney, la plus grande ville du pays avec ses 5,2 millions d’habitants, est asphyxiée par la fumée toxique des incendies qui brûlent au nord, au sud et à l’ouest de la ville, depuis des semaines. Certains ne sont qu’à environ 130 kilomètres de la métropole.

“L’année 2019 a été une année catastrophique en Australie pour les inondations et les incendies”, insiste la pétition. “Tous les Etats devraient dire NON aux INCENDIES.”

Bien que la municipalité “apprécie les préoccupations” des personnes opposées à la tenue du spectacle pyrotechnique, son annulation présenterait “peu d’intérêt pratique pour les communautés touchées”, a déclaré pour sa part un porte-parole de la Ville.

“Nous avons commencé les préparatifs et la planification des célébrations du Nouvel An il y a 15 mois. Cela signifie que la plus grande partie du budget, principalement utilisée pour la sécurité de la foule et les mesures de nettoyage, a d’ores et déjà été dépensée”, a souligné ce dernier dans un communiqué. 

“L’annulation de l’événement nuirait gravement à l’économie de Sydney. Cela gâcherait aussi les plans de dizaines de milliers de personnes de tout le pays et de l’étranger qui ont réservé des vols, des hôtels et des restaurants pour le réveillon.” 

Le conseil municipal de Sydney a indiqué que la ville a donné 620.000 dollars australiens (46,3 millions de Fcfp) pour la lutte contre les feux de brousse et la sécheresse. Il fera également la promotion d’un fonds de la Croix-Rouge pour l’aide aux sinistrés lors de la diffusion télévisée du feu d’artifice, regardé par un milliard de personnes à travers le monde.

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Au fenua, de nouvelles activités se créent autour du Airbnb

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Bertrand n’est pas un agent immobilier mais un “faresitter”, autrement dit un concierge. Pâtissier de profession, il occupe une partie de son temps libre en accueillant touristes ou résidents ayant loué un logement de courte durée.

Car avec l’explosion du Airbnb, et son marché de 4 milliards de francs selon les chiffres de nos confères de Tahiti Infos, de nouvelles activités se sont créées.

La plateforme EasyLoc, qui emploie Bertrand comme patenté, a ainsi été fondée il y a peu par trois amis. Elle permet aux propriétaires de biens loués en courte durée de bénéficier des services d’un “faresitter”. C’est lui qui s’occupera de tout.

Bertrand, faresitter, pendant l’accueil d’un client. (crédit photo : Tahiti Nui Télévision)

“Le travail de concierge va consister à faire tout ce qui est communication en amont de l’arrivée du voyageur : se renseigner sur leur horaire d’arrivée, leur vol, savoir s’ils ont besoin d’un transfert, s’ils ont besoin d’informations à propos du logement, à propos des taxis ou des sociétés qui louent des véhicules, détaille Bertrand, faresitter patenté. Ensuite on va s’occuper de tout l’accueil des clients, leur présenter le logement. On va aussi s’occuper du client pendant son séjour, si jamais il a besoin de quoi que ce soit. A son départ on va venir pour lui dire au revoir, récupérer les clés du logement, ensuite on va avoir tout le nettoyage du logement à faire.”

Pour l’un des fondateurs de la plateforme, qui se rémunère en prenant un pourcentage sur le montant de la location, les Airbnb présentent de multiples avantages pour les propriétaires de biens.

“Concernant le logement, l’expérience nous a montré qu’il se dégrade beaucoup moins qu’une location longue durée, parce qu’à force de faire des check-in, des check-out, nos faresitters nettoient ou avertissent le propriétaire dès qu’il y a des dégradations, explique Thomas Slowinski, cofondateur d’EasyLoc. Ensuite ils augmentent leur revenu locatif et aussi ils peuvent récupérer leur logement ou en faire profiter leur famille quand ils veulent et bloquer justement le calendrier.”

Et le jeune entrepreneur considère que ces logements ne font pas concurrence à l’hôtellerie et aux pensions de familles, bien au contraire…

“On est une soupape quand l’hôtellerie ne peut pas faire face à la demande des voyageurs, poursuit Thomas Slowinski. Par exemple, s’il y a une grève ou quoi que ce soit, on a les tours opérateurs qui nous appellent directement pour reloger leurs touristes. Et sans les Airbnb je ne sais pas actuellement, en l’état, comment les loger.”

Actuellement, plusieurs centaines de locations courte durée sont proposées au fenua.

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Vallée de Papehue : le monarque de Tahiti n’y laisse plus ses plumes

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C’est l’un des derniers refuges du monarque de Tahiti. Et pourtant, la vallée de Papehue regorge d’espèces menaçantes. Le rat noir, le chat, le merle ou encore le bulbul à ventre rouge pèsent lourd sur la survie de l’oiseau rare. Financée par le programme européen Best, l’association Manu ne ménage pas ses efforts pour sauver les derniers individus au monde.  

“Actuellement on est à 35 couples au monde, explique Thomas Ghestemme, le président de la SOP Manu. Ça reste très faible, mais on était à 50 fois moins il y a 15 ans, donc ça avance bien. Cette vallée était une des quatre vallées découvertes en 1998, quand l’espèce était pensée éteinte, et il a été retrouvé notamment dans cette vallée avec deux ou trois couples à l’époque.”

Une enveloppe européenne de 48 millions de francs a permis notamment de poser 20 caméras automatiques à flash invisible. Les éventuels prédateurs à quatre pattes n’y échappent pas. En parallèle, les bénévoles s’attaquent aux espèces envahissantes, comme le tulipier du Gabon.   

“Aujourd’hui on intervient sur une zone où on a déjà coupé pas mal de tulipiers du Gabon il y a un peu plus d’un an, confie Jean-François Butaud, consultant en foresterie et botanique, et bénévole de la SOP Manu. Là on entretient la zone, on recoupe les tulipiers et on va densifier en plants de mara, de apape, qui sont des arbres indigènes en Polynésie. Derrière nous, il y a des arbres qui font maintenant deux mètres de haut et qu’on a planté il y a un an et demi. Donc c’est une croissance correcte pour une espèce locale. Le tulipier du Gabon par contre, si on lui laisse le temps, en un an et demi il va faire trois ou quatre mètres.”

L’arbre invasif ne menace pas que le monarque de Tahiti. Dans leur chute, les troncs entraînent des pierres qui forment des barrages. Conséquence : les rivières sortent de leur lit, comme on a pu le voir en 2017.

“Le tulipier du Gabon est celui qui, à mon sens, a posé le plus de problèmes quand il y a eu les grosses pluies il y a deux ans, estime Jean-François Butaud. Il y a eu des pluies importantes, mais pas si exceptionnelles que ça en Polynésie et ces pluies ont causé de gros dégâts parce que les plantes envahissantes et essentiellement le tulipier s’est arraché et est tombé dans la rivière, a formé des embâcles, donc des barrages, qui ont grossi et qui ont éventuellement cédé et inondé, ou qui ont obligé la rivière à trouver un autre chemin.”

La vallée de Papehue avait d’ailleurs été durement touchée. Preuve que les espèces envahissantes pèsent aussi sur la sécurité humaine.

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Pesticides : Ua Huka et Hiva Oa premières communes d’outre-mer à légiférer

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Ces derniers mois, plusieurs maires de métropole ont pris des arrêtés anti-pesticides dans leurs communes respectives. Comme le relatent La Dépêche et Polynésie 1ère, deux tavana des Marquises envisageaient de légiférer, eux aussi… Ils ont franchi le pas à la suite du Congrès des maires, fin novembre.

Qu’est-ce qui a déclenché cette initiative?

Suite à des échanges avec des collègues maires lors du Congrès de Paris [le 102 ème Congrès des maires qui s’est tenu du 18 au 21 novembre], on a évoqué les pesticides… Je me suis dit que c’était quelque chose à peut-être mettre en place aux Marquises” explique Etienne Tehaamoana, le maire de Hiva Oa. “Au retour, j’ai voulu prendre un arrêté interdisant l’utilisation des pesticides chez nous, mais uniquement sur le domaine public communal. Dans un premier temps. On est un peu les précurseurs en Outremer. Il est important pour nous d’en parler, et j’ai voulu ouvrir le débat, en Polynésie, sur le danger pour la santé publique de l’utilisation des produits chimiques dans l’agriculture et l’alimentation“.

“C’est la poursuite d’une démarche initiée depuis 20 ans”, ajoute Nestor Ohu, maire de Ua Huka. “Le classement de Vaikivi en réserve naturelle d’abord… puis on a crée un sanctuaire pour les oiseaux : le Pihiti et le Patiotio. On s’est efforcés de préserver les bassins d’eau qui alimentent les trois vallées. Et depuis 2018, on a crée une zone protégée réglementée, dans l’espace maritime. L’interdiction de pesticides va dans le sens de notre politique de protection depuis 20 ans”.

“Je me positionne en lanceur d’alerte pour ouvrir le débat”

Etienne Tehaamoana

Les pesticides sont utilisés de manière massive, dans vos îles respectives?

A Hiva oa, on en vend à la quincaillerie, mais se pose la question des dosages. Est-ce que les agriculteurs sont suffisamment encadrés ? Chacun essaie de traiter à sa façon et c’est là où c’est dangereux. Il est peut-être important que l’on en parle, que l’on alerte, que l’on sensibilise… que l’on multiplie les formations aussi. Je me positionne en lanceur d’alerte sur cette problématique essentielle pour notre santé“, indique Etienne Tehaamoana. ” C’est comme partout : le problème, c’est la méconnaissance du produit, et donc, la mauvaise utilisation”, poursuit son homologue de Ua Huka.

“Pour l’instant, je lance l’arrêté. Il est prévu de l’étendre pour les particuliers et professionnels plus tard. On va d’abord se concerter et chercher des solutions de remplacement issues de l’agriculture biologique. On va laisser passer les fêtes et on va provoquer des réunions entre tous les services de l’Etat, du Pays, et les professionnels pour en parler et pour trouver des solutions plus respectueuses de la nature, et moins nocives pour les humains”, poursuit le maire de Hiva Oa.

L’île de Ua Huka

“C’est un appel pour la mise en place de traitements raisonnés issus de l’agriculture biologique. L’arrêté est déjà pris. J’attends qu’il soit bien validé. J’espère interpeller tout le monde sur cette question, ouvrir le débat. Ca ne concerne que le domaine public communal de Hiva Oa. Mon collègue de Ua Huka se positionne aussi. Il souhaite mettre en place, comme à l’époque, un jardin communal. Pour l’instant, je laisse ça aux professionnels de l’agriculture. Mais la commune pourrait s’inscrire dans un cadre plus large avec la mise en place d’un jardin pédagogique dans les écoles, pour apprendre à nos enfants comment produire de la nourriture saine et locale“, imagine Etienne Tehaamoana. “Dès le mois prochain, la commune créera un jardin pour fournir des légumes frais aux cantines et à la population. Les deux objectifs sont ornemental et nutritionnel”, précise, de son côté, Nestor Ohu.

Etienne Tehaamonaa, maire de Hiva Oa – Crédit Photo TNTV

Les professionnels et particuliers sont-ils sensibles à la démarche?

“Côté privés, il y a quelques réactions, mais pour l’instant, on ne leur propose pas vraiment d’alternatives”, déplore le premier magistrat de Hiva Oa. “On doit plancher sur la question des traitements raisonnés issus de l’agriculture biologique. On n’interdit rien aux privés pour l’instant. On lance une dynamique. Nous, on n’utilise plus de désherbant chimique. Mon collègue Thomas Moutame utilise des désherbants naturels à Taputapuatea. Il faudrait qu’on généralise. Ces produits vont dans les sols, dans l’eau… il faut qu’on se pose des questions sur la pollution. Je pense qu’il est nécessaire que l’on en parle en communauté de communes. Il faut trouver des solutions ensemble”.

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Bruno et Christopher, chasseurs d’avions par passion

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Au soleil comme sous la pluie, le soir ou au lever du jour, ils sont toujours fidèles au poste pour assouvir leur passion : la prise de vue aéronautique.

Bruno Levionnois et Christopher Liau se sont rencontrés voilà plusieurs années aux abords du tarmac de Faa’a. L’un comme l’autre braquait son téléobjectif sur les avions. De là est née leur amitié. Et même si depuis tout ce temps ils capturent les images des mêmes appareils, ils ne s’en lassent pas.

Ces deux informaticiens de profession ont créé une page Facebook, PYF Spotters, pour partager leurs nombreuses photos et vidéos. Une page aujourd’hui suivie par près de 5000 fans, dont de nombreux hors de Polynésie. Car les “spotters”, comme ils s’appellent, composent une vaste communauté de passionnés à travers le monde.

“A chaque fois qu’il y a un avion qui décolle quelque part, il y a toujours quelqu’un pour le filmer ou le prendre en photo, assure Bruno. J’ai des spotters d’Argentine qui sont venus passer des vacances ici, qui m’ont contacté pour qu’on se voit et qu’on ailler spotter ensemble. J’ai des contacts au Japon. C’est rigolo parce que notre avion décolle d’ici, arrive au Japon, et des fois on arrive à faire des vidéos où on a le décollage de Tahiti. Je trouve ça assez magique quand même.”

Christopher Liau. (crédit photo : Tahiti Nui Télévision)

Et leur petite notoriété leur ouvre de nouvelles portes dans le milieu, comme à “Paris-Charles-De-Gaulle, où on nous a invités à aller spotter si on passait par là”, confie Christopher.

“On a des contacts avec les compagnies aériennes, avec les pilotes eux-mêmes qui nous contactent directement pour nous demander de filmer leur arrivée, leur décollage”, complète Bruno.

A force de prendre les avions en photo sous toutes les coutures, Christopher a décidé de passer de l’autre côté du cockpit. Il a entamé un cursus pour obtenir le brevet de pilote privé. Bruno, lui, n’entend pas quitter le plancher des vaches. Et pour cause.

“C’est un peu la honte, mais il faut avouer que je suis malade en avion, donc mieux vaut pas que je sois pilote pour les passagers”, conclut-il dans un éclat de rire.

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Les prénoms de l’année 2019

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L’année 2019 qui s’achève bientôt aura vu naître plus de 3000 bébés. Et pour les nommer, les parents ont en grande majorité choisi des prénoms polynésiens et hawaiiens.

Comme Anavai et Hanaiti chez les petites filles ; ou Manahere et Keali’i chez les petits garçons, qui ont été plus nombreux cette année.

Mais c’est tout de même un prénom aux origines hébraïques qui aura été le plus souvent donné aux garçons. En effet, 11 Ethan ont été accueillis en 2019.

Les prénoms américains n’ont plus trop la côte, même si on retrouve encore, du côté des déclarations à Pirae : quatre Kelly, deux Beverly, deux Bryan, deux Dylan ou encore deux Jason.

Mais la grosse tendance notée, c’est que “les parents font des compositions de prénoms, donc ce ne sont pas des prénoms connus, comme par exemple Kenatea ou Ainakea”, explique Mareva Aumeran, responsable du service d’état civil de la commune de Papeete. La même tendance a été observée à Pirae, où un peu plus de 1500 bébés ont reçu un prénom porté par aucun autre bébé né cette année.

Petit classement des prénoms déclarés à Pirae en 2019

Première position (donné 7 fois chacun) : Hanaiti et Manahere
Deuxième position (donné 6 fois chacun) : Ethan, Keali’i, Manatea
Troisième position (donné 5 fois chacun) : Hakaiki, Kalei, Keahinui, Mihivai, Noah, Ohana et Tauhere
Quatrième position (donné 4 fois chacun) : Ariihau, Ariihere, Ariinui, Ariioehau, Haumana, Heiana, Herearii, Hinatea, Keahi, Keanavai, Keanu, Kelly, Lokelanie, Manahau, Manuarii, Manutea, Perle et Teavai.

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Deux ouvrages pour mieux comprendre les psaumes

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C’est un grand travail, qu’a entrepris il y a quatre ans le pasteur protestant Julien Mahaa : livrer un éclairage de chacun des 150 psaumes qui composent la Bible.

Un travail mené à son terme il y a peu avec l’aide de quelques membres de l’Eglise protestante maohi, et concrétisé en début de mois avec la parution de deux ouvrages de plus de 300 pages chacun.

Ces livres entièrement écrits en tahitien s’adressent à tous ceux qui veulent aller plus loin dans leur foi.

“C’est un beau cadeau de Noël pour l’Eglise protestante maohi, commente Ariitu Mou Kam Tse, moniteur de l’école du dimanche. Puisque à travers leurs recherches, leurs études, ils ont essayé d’expliquer les psaumes en recherchant leur vraie signification à la source, dans le peuple juif. Et cela nous permet aujourd’hui de nous découvrir nous-même dans notre foi et dans notre relation avec la nature, d’où l’arbre qui illustre la couverture du livre, et qui rappelle le symbole d’un cadeau de leur part à nous, le peuple maohi aujourd’hui.”

“Ça va être une bonne aide pour la famille chrétienne, confie à son tour Ioana Mahai, également monitrice de l’école du dimanche. Quand il y a un deuil, le psaume peut aider la personne qui va se lever devant tout le monde et qui va faire la prédication. Même pendant les cultes, ou quand il va dans un foyer encourager ceux qui sont malades.”

L’auteur prévoit d’écouler un millier d’exemplaires, et il semblerait qu’il soit bien parti pour. Des 300 premiers ouvrages sortis de l’imprimerie début décembre, seule une vingtaine est encore disponible. 200 autres exemplaires sont en cours d’impression.

Les deux tomes sont vendus ensemble au prix de 5 000 Fcfp, à la librairie de l’Eglise protestante maohi, à Paofai.

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Australie : les incendies approchent Melbourne, un pompier décédé

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Les autorités de Melbourne, deuxième plus grande ville australienne, ont incité les habitants à s’éloigner du feu qui a déjà brûlé 40 hectares de prairies. 

A Bundoora, ville située à 16 km au nord du centre de Melbourne et qui abrite deux importants campus universitaires, la propagation du feu en direction des habitations a été provisoirement stoppée mais n’est toujours pas maîtrisée, a indiqué Victoria Emergency, un service d’urgence de cet Etat du sud-est.

Des médias australiens ont diffusé des images montrant des bombardiers d’eau volant au-dessus de banlieues et des familles arrosant leur maison à l’aide de tuyaux dans l’espoir d’arrêter le feu. 

Un pompier volontaire est décédé et deux autres ont été brûlés en intervenant dans l’Etat de Nouvelle-Galles du Sud, selon les pompiers. Il s’agit du troisième pompier volontaire tué depuis septembre.

Au total onze personnes sont mortes depuis le début en septembre des incendies qui ont détruit plus d’un millier de maisons et plus de trois millions d’hectares, soit une superficie plus grande que la Belgique.

Des températures atteignant 47 degrés

Une vague de chaleur balayait lundi l’immense île-continent, alimentant ces feux particulièrement précoces et ravageurs cette année. Les conditions météorologiques se sont aggravées vendredi avec une hausse des températures et des vents violents à travers tout le territoire. 

Dans l’Etat d’Australie Occidentale, les températures ont atteint 47 degrés. Elles ont dépassé 40 degrés dans toutes les régions, notamment sur l’île de Tasmanie (sud) au climat habituellement tempéré.  

Plus d’une dizaine de feux font rage dans les zones rurales de la région touristique d’East Gippsland, dans l’Etat de Victoria où les autorités ont indiqué qu’“un bon nombre” des 30.000 touristes visitant cette région ont répondu aux appels à évacuer.

Certains de ces incendies étaient d’une telle intensité que des centaines de pompiers ont été éloignés du front s’étirant sur un millier de kilomètres.

Il était “dangereux” pour eux de rester dans ces zones forestières, a déclaré le responsable de la lutte contre les incendies du Gippsland, Ben Rankin, qualifiant la situation de “très intense”.

Les autorités ont prévenu que ces feux pourraient entraîner la coupure de la dernière route principale encore ouverte dans cette région.

Feu d’artifice annulé à Canberra

Le commissaire en charge de la gestion des urgences dans l’Etat de Victoria, Andrew Crisp, a averti habitants et vacanciers restés dans la région qu’ils risquaient d’être pris au piège car il était “trop tard pour partir” et ses services ne pourraient leur venir en aide.

L’Etat voisin d’Australie-Méridionale, plus à l’ouest, connaît également des conditions météorologiques “catastrophiques”. Selon un responsable des pompiers de cet Etat, Brenton Eden, la foudre a déjà déclenché plusieurs feux notamment sur l’île Kangourou.

Les conditions météorologiques devraient encore se détériorer au cours des deux prochains jours en Nouvelle-Galles du Sud, l’Etat le plus touché avec une centaine de feux toujours actifs lundi matin dont plus de 40 non maîtrisés.

L’Australie est habituée aux feux de forêts lors de l’été austral mais cette année, ils ont été particulièrement précoces et violents.

Des chercheurs expliquent leur gravité par une conjonction de facteurs, notamment des précipitations très faibles, des températures record et des vents forts. Beaucoup estiment que le réchauffement climatique contribue à favoriser ces conditions.

Le Premier ministre conservateur Scott Morrison a admis tardivement un lien entre ces incendies et le changement climatique mais s’est refusé à revenir sur sa politique favorable à l’industrie minière du charbon.

Sydney et d’autres grande villes australiennes ont été pendant des semaines enveloppées d’un épais nuage de fumée toxique liée aux incendies. 

La capitale Canberra a annulé les feux d’artifice du Nouvel An en raison d’une interdiction totale de tout feu sur l’ensemble du Territoire de la capitale australienne.

Une pétition rassemblant 270.000 signatures demandait l’annulation du célèbre feu d’artifice du Nouvel An de Sydney mais les autorités l’ont maintenu.

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