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Insolite : de la grêle en Nouvelle-Calédonie

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De la grêle a été observée à Pouembout et Koné en Nouvelle-Calédonie ce week-end. La Grande Terre était en vigilance jaune fortes pluies / orages. « Ce phénomène se forme au sein des cumulonimbus avec les forts courants ascendants et descendants entre la base (chaude et humide) et le sommet froid du nuage, explique Météo France. La glace va se former dans une « colonne d’ascendance » autour de petites particules solides appelées « noyaux glaçogènes » (des impuretés). Les grêlons vont se développer à l’intérieur du nuage par dépôts successifs de glace sur ces noyaux glaçogènes, avant de tomber au sol sous forme d’averses de grêle. »

Ben la ça devait être impressionnant 😯😯😯De la grêle en Nouvelle Calédonie à quand la neige 1🥺🥺🥺

Posted by Pascale Marty on Saturday, May 30, 2020

Observer de la grêle sous les Tropiques, un fait plutôt rare. En Polynésie, la dernière observation de grêlons (de petite taille) remonte à 2013 sur la zone urbaine de Tahiti rappelle Météo France.

En Nouvelle-Calédonie?😱😱😱

Posted by Maru Luc on Saturday, May 30, 2020

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Taravao : les produits made in fenua de Hautia Prokop

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Hautia Prokop nous accueille dans son atelier de la Presqu’île. C’est ici qu’avec son mari elle produit et vend ses créations made in fenua : « On fait des chips, c’est le principal de notre activité. Mais on a fait aussi une gamme sèche donc on a les fruits secs et également les poudres. Dans les poudres on a des farines et des épices. »

Ananas, papaye, coco, uru ou encore corossol, la jeune entrepreneuse est toujours à la recherche de nouvelles saveurs polynésiennes. Son dernier produit intéresse particulièrement pour ses propriétés. Des épices fabriquées à base de racines de gingembre : « On a sorti un set d’épices. On a trois rhizomes : le curcuma, rea Tahiti, on a le gingembre chinois, rea tinito, et le gingembre mangue qui se rapproche beaucoup de la mangue verte, c’est le rea Vi. (…) C’est pour agrémenter notre cuisine, avoir plus de saveurs, d’éléments nutritifs aussi parce que les rhizomes sont très intéressants au niveau santé, antioxydants, anti-inflammatoires et en plus c’est du local. »

Crédit Tahiti Nui Télévision

Son principal outil de travail est un deshydrateur alimentaire. Dans cet appareil, sont séchés tous les produits locaux pré-découpés : « Pour la fabrication par exemple des épices, on prend la racine, on la découpe en lamelles de 2 mm, on étale de manière homogène dans le déshydrateur. Une fois que c’est fini, on ramasse tout et on met dans une autre machine pour avoir le broyage très fin, l’aspect de la farine, de la poudre », explique Hautia.

Au total, comptez 48 heures pour fabriquer une poudre de gingembre. D’autres nouveautés viendront bientôt s’ajouter à la gamme de produits de la jeune entrepreneuse.

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CAES : à Teahupoo, Mamie Odette, couturière, transmet son savoir

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Pendant le confinement, Odette Ahiri, couturière, a été sollicitée par la municipalité pour confectionner des masques de protection pour la population de Teahupoo. On lui a fourni le tissu, le fil et les élastiques. À elle seule, elle en a produit 3 000 en un mois… « Le premier tour qu’on a fait : tout Teahupoo. Et j’ai fait l’école aussi. Ils m’ont demandé, je l’ai fait. Ils ont demandé combien ils me devaient, j’ai dit non c’est pour nos enfants. »

Il y a deux semaines, elle a reçu une nouvelle commande de 3000 masques, mais en plus du matériel nécessaire elle à obtenu deux assistantes en contrat CAES. En deux semaines et à raison de 4 heures de travail par jour, elles en ont produit 700. « Après les masques, je vais leur apprendre la couture pour qu’elles puissent vivre de la couture parce qu’on peut vivre de la couture. Je parle pour moi. C’est pour ça que je leur apprend, tous les jours je parle. Il ne faut pas penser aller trouver du travail. Il faut aller là. »

Les conventions d’aide exceptionnelle de solidarité ont été créées pour aider les familles prioritaires qui avaient perdues leur emploi suite à la crise sanitaire. Sur Teahupoo, 20 dossiers ont déjà été validés. « Là on attend la deuxième vague pour les CAES. On pense que ça va s’ouvrir. Pour Teahupoo, nous avons 45 ou 50 dossiers. Pour l’instant il n’y a que 20 CAES », explique Fenuaiti Rochettte, membre de l’association Teahupoo Nui.

Ces stagiaires bénéficiant de convention d’aide exceptionnelle de solidarité travailleront durant 3 mois et percevront une indemnité de 50 000 Fcfp. Mamie Odette voudrait voir prolonger leur contrat afin de les aider à créer leur propre entreprise.

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TraceTogether, Stop Covid, Firiora… le numérique dans la lutte contre le coronavirus

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Web Zone : TraceTogether, Stop Covid, Firiora… le numérique dans la lutte contre le coronavirus

TraceTogether, Stop Covid, Firiora… le numérique pour aider à lutter contre la propagation du covid-19. Entre polémique et réelle utilité, le point dans la Web Zone – TNTV avec Manon

Posted by TNTV Tahiti Nui Télévision on Monday, June 1, 2020

En métropole, le gouvernement lance son application Stop Covid ce mardi. La Commission nationale de l’informatique et des libertés a donné un avis favorable au déploiement de cet outil. Aucune obligation de télécharger Stop Covid, pas de géolocalisation des utilisateurs ni de recueil de vos données assure le gouvernement.

Pour faire simple, deux téléphones équipés de l’application Stop Covid pourront échanger un carnet d’adresse invisible et inaccessible pour les utilisateurs mais qui permettra de prévenir anonymement les gens que l’on a côtoyé si l’on contracte le covid-19. Cela grâce à une notification (push).

L’application vous proposera d’activer ou non la fonction de détection, ou encore de vous signaler si vous avez effectué un test et qu’il est positif.

Ce système est avant tout destiné aux habitants de grandes villes. L’application, qui fonctionne sur le principe de l’anonymat, sera téléchargeable sur IOS et Android.

TraceTogether, l’appli polémique de Singapour

La France n’est pas la première à lancer une application pour aider à lutter contre la propagation du coronavirus. En mars déjà, Singapour a mis en place Trace Together, une application qui fonctionne grâce au Bluetooth pour détecter les autres utilisateurs à proximité. L’application a fait polémique et de nombreux messages ont circulé sur la Toile.


Mais en réalité, Trace Together ne collecte que le numéro de téléphone de son utilisateur et pas sa liste de contacts. Et officiellement, les données de traçage des utilisateurs ne sont partagées que lorsque les personnes font l’objet d’une enquête sanitaire, si elles ont côtoyé un cas positif au covid-19. Ces données ne seraient conservées que 21 jours.

En Polynésie, une plateforme pour les professionnels de santé

Mais revenons en Polynésie. Ici, pas d’application en préparation mais une plateforme strictement réservée aux professionnels de santé et aux autorités sanitaires, Firiora. L’outil développé s’inspire du logiciel Damoc de la société Epiconcept, qui a fait ses preuves pour le suivi des cas de tuberculose, en métropole.
Seules les informations relatives au coronavirus y seront renseignées. Et les données seront détruites au bout de 3 mois. Le but est d’optimiser le suivi des patients. La plateforme pourrait également servir dans le cadre d’autres épidémie en Polynésie.

Le ministre de la Santé Jacques Raynal l’expliquait le 28 mars dernier lors d’un point presse : « 

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Marquises : le monoi « paku »

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Le paku est une huile qu’on applique sur le corps des danseurs lors du Festival qui fait la renommée de l’archipel. Ce monoi dégage une odeur agréable et particulière : « C’est un elixir, un mélange de lait de coco avec du gingembre marquisien, gingembre jaune (…). Ça servait aussi à séduire les Toa », explique Nelly, cheffe de groupe de Tahuata

(Crédit photo : Tahiti Nui Télévision)

À l’origine, le paku était utilisé lors des funérailles des grands chefs du Henua Enana. Une tradition rappelée lors de représentations de danse.

Mais au-delà des représentations sur les pae pae, le paku fait toujours partie du quotidien des Marquisiens. Encore aujourd’hui, les grand-parents préparent ce monoi de la Terre des hommes puis l’appliquent sur le corps de leurs petits enfants. Les matahiapo disent que cela donne en grandissant un parfum naturel et agréable à la peau…

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CAPF : ouverture des inscriptions pour la rentrée 2020/2021

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Les futurs élèves et parents d’élèves peuvent consulter les activités proposées par l’établissement sur le site internet www.conservatoire.pf, et télécharger la fiche officielle de pré inscription, pour la compléter et la remettre au secrétariat de l’établissement (secretariat@conservatoire.pf, tél. : 40 50 14 14).

La confirmation des inscriptions se déroulera lors des trois journées de rencontres parents/professeurs les mercredi 19, jeudi 20 et vendredi 21 août prochains. Durant ces journées, les élèves prennent connaissance des horaires des cours. Il est également procédé à la facturation (toute ou partie) des frais de scolarité, et à la remise des cartes d’étudiants.

Les cours démarreront le lundi 24 août pour les trois sections d’enseignement de l’établissement : les arts traditionnels, les arts classiques et les arts de la scène.

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Un terrain de foot de forêt primaire détruit toutes les six secondes, selon une étude

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La République démocratique du Congo et l’Indonésie arrivent en deuxième et troisième position pour la perte de ces forêts, détruites pour faire place à de l’élevage ou des plantations, selon le rapport annuel de Global Forest Watch, basé sur des données satellitaires.

Environ 38.000 km2 ont été détruits l’an dernier, soit l’équivalent d’un terrain de football toutes les six secondes, ce qui fait de 2019 la troisième année la plus dévastatrice pour les forêts primaires en deux décennies.

« Nous sommes inquiets que le taux de perte soit aussi élevé, en dépit de tous les efforts faits par différents pays et entreprises pour réduire la déforestation », s’alarme Mikaela Weisse, qui coordonne le Global Forest Watch pour le think tank américain World Resources Institute (WRI).

La superficie total de forêts tropicales détruite par le feu et les bulldozers à travers le monde en 2019 a été en fait trois fois plus importante, mais les forêts primaires sont particulièrement précieuses. Elles abritent une très grande diversité des espèces présentes sur Terre et stockent d’énormes quantités de CO2, qui contribue au réchauffement climatique une fois libéré.

« Il faudra des décennies, voire des siècles à ces forêts pour retrouver leur état d’origine », en partant du principe que les terres qu’elles couvraient soient laissées tranquilles, indique Mikaela Weisse à l’AFP.

Les feux de forêt qui ont ravagé une partie du Brésil l’an dernier ont fait la une de l’actualité, mais ils ne sont pas la principale cause de déforestation, selon les données satellitaires.

Photo prise le 26 août 2019, après qu’un feu de forêt a ravagé une partie du Brésil. (crédit photo : Carl DE SOUZA / AFP)

– Terres indigènes –

De nombreux nouveaux « points chauds » de déforestation sont apparus. Dans l’Etat de Para, par exemple, ils correspondent à des accaparements illégaux de terre dans la réserve indigène des Trincheira/Bacaja.

Et ceci a eu lieu avant que le gouvernement propose une nouvelle législation assouplissant l’extraction minière, pétrolière ou gazière dans ces régions protégées, ainsi que l’agriculture intensive. Le président brésilien Jair Bolsonaro a donné son feu vert en février à ce projet de loi.

Pour Frances Seymour, du WRI, ceci est non seulement injuste pour les personnes vivant dans ces forêts primaires au Brésil, mais aussi un signe de mauvaise gestion.

« Nous savons que la déforestation est plus faible dans les territoires indigènes », explique-t-elle. « Un nombre croissant d’indices suggère que la reconnaissance légale des droits fonciers des autochtones fournit une meilleure protection de la forêt. »

L’épidémie de Covid-19 pourrait aggraver les choses, non seulement au Brésil, particulièrement touché, mais partout où cela peut affaiblir l’application déjà très faible des pouvoirs des nations vivant des forêts tropicales.

« Du monde entier, nous avons des échos sur une hausse des niveaux d’exploitation forestière, minière illégales et de braconnage », relève Frances Seymour.

La Bolivie a connu une perte de forêts sans précédent en 2019, 80% de plus que la précédente année record, à cause d’incendies dans les forêts primaires et avoisinantes, dus à l’élevage et à la culture du soja principalement.

L’Indonésie en revanche a connu une baisse de 5% de la surface totale de forêts détruites, 3.240 km2, pour la troisième année de suite, une surface près de trois fois moins importante qu’en 2016, année record.

« L’Indonésie a été un des rares points positifs dans les données concernant la déforestation tropicale au cours des dernières années », notait récemment Frances Seymour dans un blog.

Les écosystèmes tropicaux sont sensibles à l’exploitation et au changement climatique.

Les autres pays ayant connu les pertes les plus importantes de forêt primaire sont le Pérou, la Malaisie, la Colombie, le Laos, le Mexique et le Cambodge.

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Coronavirus : le point sur la pandémie dans le monde

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La France retrouve ses cafés

En France, les cafés, restaurants, collèges et lycées ont rouvert dans la majeure partie du pays, avec des règles sanitaires strictes. Mais seules les terrasses ont pu rouvrir en zone orange, la plus touchée par le virus : la région parisienne, la Guyane et Mayotte.

Tous les Français peuvent désormais se déplacer à plus de 100 km de chez eux. Les plages, musées, monuments ou théâtres peuvent également rouvrir, sauf en zone orange.

Plus de 377 000 morts

La pandémie a fait au moins 377 213 morts dans le monde depuis son apparition en décembre en Chine, selon un bilan établi par l’AFP à partir de sources officielles mardi à 19H00 GMT.

Les États-Unis sont le pays le plus touché avec 105 644 décès. Suivent le Royaume-Uni avec 39 369 morts, l’Italie (33 530), le Brésil (29 937) et la France (28 .940).

Au Mexique, le coronavirus a fait plus de 10 000 morts et la Russie a passé mardi le cap des 5 000 décès.

 Royaume-Uni : 48 000 morts attribuées au Covid-19

Plus de 48 000 personnes sont décédées au Royaume-Uni avec pour cause suspectée ou avérée le nouveau coronavirus, selon des chiffres du Bureau national du statistiques (ONS) établissant un bilan plus lourd que celui des autorités sanitaires.

« Pertes abyssales »

L’économie mondiale est confrontée à des « pertes abyssales » et la reprise va être freinée par le manque de fonds pour réparer les dégâts causés par la pandémie, a prévenu le président de la Banque mondiale, David Malpass, dont l’institution a déjà déboursé 160 milliards de dollars (17 billions de Fcfp) d’aide d’urgence à une centaine d’États.

Croissance affectée

La Russie a dévoilé mardi un plan de relance estimé à 65 milliards d’euros (7,8 billions de Fcfp) pour arriver à une croissance pérenne fin 2021.

En France, le gouvernement prévoit une récession profonde cette année, avec une chute du produit intérieur brut (PIB) historique de 11%.

Questions de confinement

La justice sud-africaine a ordonné au gouvernement de revoir certaines mesures décidées dans le cadre du confinement, estimant qu’elles violaient les libertés garanties par la Constitution.

Au Nicaragua, alors que les malades submergent les hôpitaux, les médecins ont appelé à un confinement volontaire face au « déni » des autorités.

Retour à la plage à Rio

Rio de Janeiro a appliqué mardi les premières mesures d’un plan de retour progressif à l’activité, alors que le Brésil est toujours dans une phase ascendante de la pandémie. Les cérémonies religieuses peuvent reprendre et les sports nautiques individuels sont à nouveau autorisés sur les plages. Mais pas question de rester sur le sable.

Sénégal : retour à l’école reporté

Les autorités sénégalaises ont reporté le retour à l’école de centaines de milliers d’élèves, quelques heures seulement avant l’échéance prévue mardi matin, invoquant la découverte de la contamination de dix enseignants en Casamance (sud).

Au Zimbabwe, les forces de sécurité ont interdit le centre de Harare, la capitale, à des milliers de personnes pour faire respecter les mesures de prévention contre la pandémie.

La Guinée équatoriale a exigé le départ de la représentante de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) qu’elle accuse de gonfler le bilan du coronavirus.

« Discriminations raciales endémiques » aux USA

La pandémie et les manifestations provoquées par la mort de George Floyd, un homme noir asphyxié par un policier blanc lors de son arrestation, mettent en évidence les « discriminations raciales endémiques » aux États-Unis, a déclaré la Haut-Commissaire de l’ONU aux droits de l’homme.

« Ce virus révèle des inégalités endémiques trop longtemps ignorées », a estimé Michelle Bachelet.

L’Indonésie renonce au pèlerinage

L’Indonésie, qui compte la plus grande population musulmane au monde, a décidé de renoncer cette année au pèlerinage de la Mecque à cause des risques liés au coronavirus.

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À Paea, Jean-Claude Hapairai fait cavalier seul

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À l’issue du premier tour des municipales à Paea, 87 voix séparent les listes verte et mauve, portées par les équipes de Jacquie Graffe et de Tony Geros. Otahira’a no te hau e te ruperupe no te oire no Paea, le groupe de l’actuelle majorité, arrivé en tête, en totalise 2 245, soit 42,4% des suffrages exprimés. De son côté, Na manu’ura e rua te hono i te tumu nui, menée par le président du groupe Tavini à l’Assemblée, rassemble 2158 électeurs, soit 40,8% des votants. Pour son baptême du feu, Te ora api no Paea, la liste de Jean-Claude Hapairai, ancien premier adjoint au maire, est parvenue à convaincre près d’un millier d’administrés : 16,81% des suffrages exprimés.

L’entre-deux tour n’aura pas été propice aux négociations entre les trois candidats, et le changement de leader chez les verts, suite à la disparition de Jacquie Graffe, ex-tête de liste, n’y changera rien : les rouges ne veulent pas être « la poule aux œufs d’or » de leurs adversaires, sans contre-partie solide. Il n’y aura pas d’alliance.

« Nous n’avons eu aucun contact avec les autres partis : chacun part de son côté », explique la tête de liste. « Certains colistiers adverses m’ont contacté mais ça s’est arrêté là. Je pensais que les deux autres leaders allaient m’approcher, car ce sont eux qui avaient besoin de mes voix, mais ils ne l’ont pas fait. Tant pis ! Comme j’étais dans l’équipe de tavana au départ, il aurait été normal que je penche pour sa liste, mais il n’y a aucune discussion, c’est pour cela que nous maintenons notre liste au deuxième tour. Si on avait réglé nos problèmes dès le départ, on n’en serait pas là, mais une fois les élections passées, on travaillera avec l’équipe en place pour le bien de la population ».

Le mot d’ordre des rouges : « À l’unisson pour servir ». Au cœur de leur programme : la famille. La liste de Jean-Claude Hapairai met en avant son souhait de fournir une eau potable à la population, et de rénover l’école maternelle de Papehue. Elle axe également sur une politique en faveur d’un accompagnement de la jeunesse.

La clôture du dépôt des listes pour le second tour des élections communales a lieu ce mardi.

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Orages et fortes pluies : vigilance jaune sur une grande partie de la Polynésie

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Météo Tahiti et Moorea

Malgré quelques belles éclaircies, le ciel reste encombré et porteur d’averses ou de grains pouvant prendre un caractère orageux. Une nette amélioration est attendue mercredi soir. Jeudi, temps bien ensoleillé en général, mais localement nuageux sur les versants sud. Températures extrêmes prévues : 22 et 29 degrés Celsius.
Vent variable faible mercredi, s’établissant l’après-midi à l’Ouest modéré puis au Sud-Ouest en soirée.
Mer peu agitée devenant agitée. Houle longue de Sud-Sud-Ouest 1 mètre 50 à 2 mètres.

Météo Tuamotu et Gambier

Le ciel se charge progressivement sur l’ensemble des îles et un temps perturbé se généralise. Ainsi, mercredi et jeudi, un ciel couvert et un temps gris prédomine avec localement des épisodes pluvieux et des averses orageuses. Toutefois, vers Napuka, Puka-Puka, Tatakoto et Reao, ainsi qu’aux Gambier, on attend quelques éclaircies pour la journée de mercredi. Jeudi une amélioration est attendue par l’Ouest, elle concerne le matin Mataiva et Makatea, puis l’après-midi, Tikehau, Rangiroa et Anaa.
Vent de Nord-Est modéré s’orientant mercredi au Nord puis au Nord-Ouest sur la moitié Ouest des Tuamotu. Jeudi, le vent se renforce, il est modéré du Nord au Nord-Ouest des Tuamotu et modéré à assez fort ailleurs. Pointes 60/70 kilomètres/heure mercredi puis 70 à 80 kilomètres/jeudi.
Mer agitée devenant forte sur la moitié sud jeudi. Houle longue de secteur Sud, 2 mètres voire 2 mètres 50 jeudi sur la moitié Nord et jusqu’à 3m/3mètres50 mercredi du sud-Est Tuamotu aux Gambier.

Météo Australes

Mercredi, ciel voilé à Rapa et couvert au Nord avec des passages d’averses ou de grains. Jeudi, le soleil revient de Rimatara à Rurutu, tandis que les averses s’étendent au Sud jusqu’à Rapa. Début d’amélioration attendu en fin de journée vers Tubuai et Raivavae.
Vent de Sud-Est assez fort devenant fort à Rapa jeudi. Les rafales atteignent les 80 kilomètres/heure au Nord et pourront avoisiner 90 voire 100 kilomètres/heure à Rapa, principalement jeudi.
Mer forte avec des creux pouvant dépasser les 4 mètres. La houle longue, de Sud-Sud-Ouest, atteint mercredi 2 mètres 50 au nord et 3 mètres à Rapa. Elle commence à s’amortir jeudi.

Plus d’infos sur meteo.pf

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Une rentrée scolaire entre excitation et appréhension

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Beaucoup ne se sont pas vus depuis plus de deux mois… C’était donc l’heure des retrouvailles, ce mardi, pour les élèves du fenua. Au lycée du Diadème, à Pirae, la rentrée s’est faite entre excitation et appréhension.

Comme pour Pereti, qui vient de Moorea. « Je suis plutôt positive, indique-t-elle. J’espère juste rattraper mon retard parce que je n’ai pas pu suivre les cours par télétravail. » Malgré son sourire, cette élève en classe de première, appréhende tout de même son année de terminale. « L’année prochaine ça va être compliqué de passer autant d’épreuves en une seule année parce qu’il y aura plus de choses à apprendre, des choses à rattraper… »

Le confinement a été un moment stressant pour nombre d’élèves. Ces quatre prochaines semaines seront donc consacrées à une remise à niveau des cours donnés pendant le confinement.

« Il a fallu voir où chacun en était. Il y avait des petits décalages selon certains élèves, mais on arrive petit à petit à remettre tout le monde sur la même ligne, explique Daniel Tomasini, professeur d’histoire-géographie. Donc là on reprend la suite de l’année scolaire. Quatre semaines c’est très court, mais on va faire au mieux. Le mot d’ordre c’est de faire au mieux, de sorte à ce qu’on reconnecte les élèves avec le programme, avec l’école et avec l’enseignement. C’est un challenge, mais en même temps, comme c’est la première fois que ça se produit, c’est une expérience. Il y a l’indulgence qui est de mise et on va répondre aux questions des élèves parce qu’ils sont quand même inquiets. Ils se posent des questions sur l’année prochaine et on essaie de répondre de la manière la plus rassurante possible. »

Certains étaient très heureux de se retrouver. (crédit photo : Tahiti Nui Télévision)

Pour cette rentrée, les mesures d’hygiène sont toujours de rigueur, rappelle le proviseur Philippe Beuchot. Les mesures barrières, elles, ont été allégées.

« Le protocole sanitaire ne s’applique plus en tant que tel mais on continue à demander aux élèves de respecter des règles d’hygiène : lavage des mains fréquent dans la journée, garder les distances autant que faire se peut, explique-t-il. Même si c’est compliqué parce qu’ils se retrouvent aujourd’hui, donc ils ont envie de partager un certain nombre de choses. Donc on conserve ça, et pour le reste on continuera à nettoyer de manière approfondi les salles pour maintenir une sécurité dans l’établissement. »

Statistiques de présence d’élèves dans les écoles, collèges et lycées publics pour le mardi 2 juin :

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Un arbre planté pour chaque enfant né : l’ambition d’une association du fenua

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C’est une pépinière qui demande à pousser de plus en plus. L’association « Un enfant un arbre un corail » veut offrir des arbres aux parents pour qu’ils aient la possibilité de le planter avec le placenta de leur nouveau-né afin « de reconnecter les enfants de demain à la nature » explique Jonathan Mc Kittrick, président de l’association.

En contact avec le service maternité du CHPF, « les parents intéressés remplissent une fiche d’informations : nom, prénom, numéro de téléphone, arbre souhaité… et le samedi ou le dimanche selon le rendez-vous fixé, on livre à l’hôpital directement à l’arrêt minute. Les parents viennent, ils récupèrent l’arbre, on fait une petite photo avec bébé. Et cela restera dans le temps comme l’arbre » précise Jonathan.

Avec en moyenne 3 800 naissances au fenua chaque année, le projet est ambitieux. L’arbre ne sera jamais coupé. Une trentaine de famille adhèrent au projet et ont déjà reçu leur arbre. Tout un symbole pour leur enfant. Au-delà de perpétuer la tradition du « pū fenua » pour ceux qui n’ont pas de terrain, l’objectif est de replanter des arbres fruitiers pour que les familles puissent y cueillir des fruits dans quelques années. 15 variétés (avocatiers, cacaoyers, citronniers, cocotiers, raisins de mer etc.) poussent doucement mais sûrement sur le lopin de terre de l’association, où travaille bénévolement depuis un an toute une petite équipe.

L’association imagine des terres et des vergers à l’image des jardins partagés. Un terrain où, par exemple, les jeunes couples pourraient voir grandir l’arbre de leur choix : « Tout le monde viendrait s’occuper, planter en communauté… (…) Même si l’arbre est sur le terrain de l’association, il appartiendra toujours à l’enfant. Les familles peuvent venir récolter les fruits ».

« Plus tard, j’essaierai de faire légiférer cet endroit pour qu’on ne puisse pas abattre nos arbres et pour qu’ils puissent devenir grands, comme ceux qu’on voient au bord de la route et que nos anciens ont planté pour nous, comme les gros manguiers etc. » ajoute le président de l’association.

Sur le terrain indemne de nuisibles, les plants restent sains. L’association et les bénévoles veillent à ce que les pousses soient en bonne santé. À l’avenir, il faudra passer par un traitement phytosanitaire dans la perspective d’une augmentation de la production.

« Quand nous, on sera partis, les arbres, eux, seront toujours là. Vos enfants, petits-enfants… se souviendront de vous grâce à votre arbre et c’est ça qui est magique dans la tradition polynésienne » conclut Jonathan Mc Kittrick.

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Les échéances de certains impôts pour 2020 reportées de deux mois

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Malgré les impacts significatifs sur la trésorerie du Pays et en plein période de reprise économique, le Gouvernement a décidé de préserver la trésorerie des entreprises polynésiennes, en cohérence avec le Plan de Sauvegarde de l’Économie engagé en mars dernier.

Les impôts concernés par ce report sont les suivants :

  • L’impôt sur les sociétés (IS), la contribution supplémentaire à l’impôt sur les sociétés (CSIS) et l’impôt minimum forfaitaire (IMF) ;
  • L’impôt forfaitaire du régime fiscal des très petites entreprises (TPE).
  • Pour les impôts ci-dessus, la date habituelle de mise en recouvrement du 31 mai 2020 est reportée au 31 juillet 2020.
  • L’impôt sur les transactions (IT), l’impôt sur les transactions des perliculteurs et la contribution de solidarité territoriale sur les professions et activités non salariées (CST-NS) ;
  • La contribution de solidarité territoriale sur les professions agricoles et assimilées (CST-A).
  • Pour les impôts ci-dessus, la date habituelle de mise en recouvrement du 30 juin 2020 est reportée au 31 août 2020.

Ainsi, l’ensemble des entreprises de Polynésie française, quels que soient leurs tailles et leurs secteurs d’activité, bénéficieront de ce report de deux mois.

Les entreprises dans l’impossibilité de s’acquitter de leurs impôts à l’issue de ce délai pourront, en cas de besoin, se rapprocher de la Paierie de la Polynésie française afin d’établir un échéancier de paiement adapté à leur situation.

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Les médecins de Taravao demandent 82 millions de Fcfp au Pays

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Le conflit remonte à 2015. À l’époque, la direction de la Santé avait porté plainte contre plusieurs médecins de l’hôpital pour fausses déclarations sur leurs heures de garde. Fausses déclarations qu’ils avaient été incités à faire sur la base d’un arrêté litigieux, rétorquent les médecins. Le texte sera finalement supprimé en 2016. Pour autant, ces derniers n’ont jamais recouvré la rémunération des astreintes effectuées entre 2012 et 2015. Soit un total de 82 millions de Fcfp.

Le rapporteur a conclu aujourd’hui en leur faveur. Il a en effet préconisé que le Pays devra leur verser la totalité de la somme.

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Report du 51ème forum des îles du Pacifique


Second tour des municipales : dernier jour pour le dépôt des candidatures

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Vingt-six communes sont appelées aux urnes le 28 juin prochain. La période d’inscription des listes pour le second tour avait été interrompue par l’apparition de la Covid-19. Rouverte vendredi dernier, les candidats avait jusqu’à ce mardi pour faire les démarches.

« Les candidatures dans les communes qui ont moins de 1.000 habitants sont automatiquement reportées pour le second tour, donc il n’y a pas de démarche particulière à faire par les candidats, explique Maddgi Vaccaro. Par contre pour toutes les communes de plus de 1.000 qui sont au scrutin de liste, ils doivent effectivement déposer la liste avec les documents nécessaires. »

Un temps qui a permis aux listes de négocier.

Pour la commune de Papara, Bruno Sandras a annoncé ce mardi matin qu’il allait s’allier avec Heia Teina et Gaston Tunoa, avec le soutien de Médéric Tehaamatai.

A Moorea, Christiane Kelley s’allie avec Guy Gallimard et le Tavini Huiraatira.

A Paea, la liste de Jean-Claude Hapairai ne souhaite pas s’allier à celle conduite par Tepuarauri Teriitahi pour contrer la liste conduite par Antony Géros.

Tandis qu’à Mahina, Eric Teaotea a décidé de se retirer. « Je suis signataire du collectif. Nous avons demandé le report des élections au-delà du mois de juin, cela n’a pas été accepté, indique-t-il. C’est une des grandes raisons pour lesquelles nous nous retirons du second tour des élections. Deuxièmement, avec le contexte actuel, tout ce qui a été distribué dans la commune, les plats de ma’a et les contrats de CAES qui ont été distribués, j’estime que ce n’est pas équitable. Concernant les électeurs, nous avons demandé la liberté de vote. »

Nous devrions connaitre la composition des listes en course pour le second tour dès ce mercredi. Restera aux électeurs à faire leur choix en se rendant aux urnes le dimanche 28 juin.

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Nucléaire : l’effet rétroactif de l’amendement Tetuanui rétabli

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Une suppression qui aura été de courte durée. En effet, comme TNTV vous l’expliquait samedi dernier, le Sénat avait voté durant la nuit la suppression de l’article du gouvernement central qui étendait à toutes les demandes d’indemnisation des victimes des essais nucléaires en Polynésie française en cours, l’application de l’ « amendement Tetuanui », avec un effet rétroactif.

Mais ce mardi 2 juin, les députés et sénateurs se sont réunis au sein d’une commission mixte paritaire (CMP) et ont réintroduit la disposition dans le texte de loi sur l’application de la loi Morin, qui prévoit que pour être indemnisé par le Civen, le malade doit avoir été présent en Polynésie pendant les essais, « à moins qu’il ne soit établi que la dose annuelle de rayonnements ionisants dus aux essais nucléaires reçue par l’intéressé a été inférieure à 1 millisievert (mSv) », dose qui ne peut pas déclencher de maladie selon le code de la Santé publique.

Le texte sera examiné à nouveau par l’Assemblée nationale à partir de demain, et il devrait être adoptée définitivement d’ici une semaine.

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PRISM recrute sa 5e promotion d’entrepreneurs

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Cet appel à projets s’adresse aux entrepreneurs qui ont une idée d’entreprise innovante et qui souhaitent se faire accompagner dans son développement. L’objectif est de dénicher les projets prometteurs du fenua : valorisant ses ressources et son patrimoine, ayant un impact positif sur la société et l’environnement.

Les candidats sélectionnés intègreront la Promo#5 de PRISM en septembre 2020 et bénéficieront d’un accompagnement d’un an. Les six premiers mois seront les plus intensifs pour les nouveaux incubés avec des formations, des rencontres régulières avec leur mentor-entrepreneur. Les six derniers mois consisteront en un accompagnement allégé.

Les candidatures sont à déposer en ligne obligatoirement entre le 1er et le 30 juin 2020 avant minuit.

Les candidats présélectionnés sur dossier seront contactés afin de défendre leur projet. Ils devront par la suite passer un entretien final, entre le 15 juillet et le 15 août, face à un jury constitué de membres de l’équipe PRISM et d’entrepreneurs.

Les critères de sélection pour intégrer la Promo#5 :

  • Être à 100% sur son projet et ainsi être disponible pour suivre le programme d’accompagnement (celui-ci n’est pas compatible avec une activité salariée à temps plein),
  • La maturité du projet : cette offre d’accompagnement s’adresse aux porteurs de projet qui créent leur concept ou ceux qui sont sur le point de tester la première version de leur produit/service (en phase de prototype ou de premières ventes),
  • Avoir conscience de la faisabilité et de la viabilité économique du projet,
  • L’aspect innovant du produit ou du service,
  • La motivation, la crédibilité des porteurs de projet et le réalisme du projet présenté.

Candidater à l’appel à projets #5 : https://www.prism.pf/appel-a-projets-2020/

Découvrir l’incubateur de projets PRISM : https://www.prism.pf

PRISM accompagne chaque année des promotions d’entrepreneurs constituées de 7 à 10 projets maximum.

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Ramassage géant de déchets à Moorea le lundi 8 juin

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Les associations, les élèves, les collectifs et les habitants de Moorea se mobilisent dans le cadre de la Journée Mondiale des Océans du 8 juin. Un ramassage géant de déchets est organisé sur l’île le lundi 8 juin à 8 heures avec de nombreux points de départ. L’objectif est de réaliser un nettoyage massif de la route de ceinture afin d’alerter sur l’urgence de l’arrêt de la pollution qui met en danger les océans et les êtres vivants qui l’habitent.

Les Bourdons de Moorea, Moorea Biodiversité, Te mana o te moana, Océania, Coral Gardeners, le Lycée agricole d’Opunohu, Moorea.life et Mana Océan Moorea se mobilisent afin de lancer un signal d’alerte pour un changement des comportements. Chaque structure prendra en charge un point de départ autour de l’île et invite la population à se joindre au mouvement.

Une rencontre à 10h30 à la plage de Tahiamanu, après les ramassages, aura également lieu.

Les lieux de départ à 8 heures :

– école de Teavaro (Les Bourdons de Moorea)
– quai de Pao Pao (Moorea Biodiversité)
– aéroport de Temae (Oceania)
– quai de Haapiti (Les Bourdons de Moorea)
– pont de Papetoai (Te mana o te moana)
– gymnase de Papetoai (Oceania / Lycée agricole de Opunohu)
– Lagoonarium de Afareaitu (Moorea.life)
– Bureau de Pao Pao PK 7,5 (Coral Gardeners)
– Plage de Tahiamanu (Mana Océan Moorea)

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Covid-19 : en Nouvelle-Calédonie, polémique sur le prêt de l’Etat

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« Les conditions dans lesquelles ce prêt est accordé sont des conditions scélérates. C’est ahurissant que le président du gouvernement (local) ait pu signer ça », a taclé Philippe Gomes, député UDI (Calédonie ensemble, centre droit).

Aux côtés du député Philippe Dunoyer (UDI) et d’autres responsables de son parti, il a affirmé n’avoir eu communication que la semaine dernière, d’une annexe de ce contrat de prêt de 28,5 milliards de Fcfp octroyé par l’Agence France de Développement (AFD) et garanti par l’Etat.

« Le président du gouvernement (Thierry Santa, LR, Ndlr) s’est livré à un véritable abandon de souveraineté sur les compétences de la Nouvelle-Calédonie, notamment en matière fiscale, de santé et de protection sociale », a asséné l’élu du Caillou, déplorant l’absence de débat au Congrès (assemblée législative).

Selon les dirigeants de Calédonie ensemble, ces engagements reviennent à créer « 17,5 milliards de Fcfp d’impôts nouveaux » d’ici 2021, qui vont « tuer l’économie du pays et aggraver la fracture sociale ». Ils ont en outre dénoncé le taux « usuraire » de 1,48% (sur 25 ans) « alors que le taux moyen des collectivités locales françaises était en 2018 de 1,10% ».

Selon l’annexe, communiquée à la presse par CE, la Nouvelle-Calédonie, lourdement endettée, « s’engage à l’amélioration de ses ratios financiers, à poursuivre l’assainissement des comptes et des finances publiques et à redimensionner ses investissements à des niveaux réalistes et réalisables ». S’ensuit une série de mesures comme la maitrise de la masse salariale, la diminution des subventions, la hausse de la Taxe générale à la consommation, la création d’une taxe sur les plus-values immobilières des résidences secondaires ou encore la suppression de niches fiscales.

Un comité stratégique sera créé pour veiller au respect de cette feuille de route.

« Heureusement que nous avons eu l’Etat et l’AFD à nos côtés pour maintenir le salaire de milliers de Calédoniens », a répliqué sur la radio RRB Christopher Gygés, porte parole du gouvernement collégial, accusant son rival loyaliste de pratiquer « la politique de la terre brûlée ».

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