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Erasmus+ : comment ont été pris en charge les étudiants polynésiens bloqués à l’étranger

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Parmi les étudiants bloqués à l’étranger avec la crise, ceux de l’Université de la Polynésie en programme Erasmus+ ou en mobilité internationale dans une université partenaire. Au début de la crise, 24 étudiants polynésiens se trouvaient à l’étranger, dans 6 pays différents : l’Espagne, l’Irlande du Nord, le Japon, la Nouvelle-Zelande, les Etats-Unis et le Canada.

Certaines périodes de mobilité se sont terminées en mai. Les universités partenaires ont donc dû prolonger l’hébergement des Polynésiens.
« En quelques jours, toutes nos universités partenaires se sont vues dans l’obligation de prendre des mesures de confinement strict auprès de tous leurs étudiants et personnels. Nos étudiants ont cependant pu suivre les enseignements en ligne de leur Université d’accueil et passer leurs examens au même titre que les étudiants locaux », explique Virginia Godefroy responsable des relations internationales à l’UPF.
Les universités ont également fourni un accompagnement pédagogique et psychologique aux étudiants.

Ulster University en Irlande du Nord Crédit UPF

Bloqués et confinés loin du fenua, les Polynésiens se sont montrés « exemplaires », rapporte Virginia. L’UPF a reçu des messages d’universités partenaires, admiratives de la bonne humeur des étudiants polynésiens : « The Tahitian students have been really great through all of this, they have been keeping everyone’s sprits up and we are really glad they are still on campus to keep people smiling ! (« Les étudiants tahitiens ont été vraiment formidables durant cette période, ils ont gardé le moral de tout le monde et nous sommes vraiment heureux qu’ils soient toujours sur le campus pour garder les gens souriants !) » écrit la Ulster University en Irlande du Nord.

Garder le contact avec le fenua

Depuis le fenua, l’UPF s’est organisée pour accompagner les Polynésiens à distance et répondre à leurs questions. Durant le confinement, c’est via les réseaux sociaux que Virginia a pu garder le contact et rassurer régulièrement chacun des étudiants. Un numéro d’urgence a également été mis en place et transmis aux parents.

L’UPF a aussi organisé une commission d’aide sociale pour aider financièrement les jeunes bloqués à l’étranger. Des aides spécifiques d’urgence ont pu être octroyées pour prendre en charge les dépenses supplémentaires imprévues liées à la pandémie.

Un retour en Polynésie en juin… ou juillet

Aujourd’hui, la plupart des étudiants en échange ont terminé leur semestre d’études et ont été contraints de prolonger leur séjour dans le pays d’accueil au-delà de la date initialement prévue.

Leur retour à Tahiti est prévu courant juin et juillet 2020, explique l’Université. Certains étudiants devront se rendre d’abord en métropole pour pouvoir ensuite bénéficier des derniers vols de continuité territoriale. D’autres attendront certainement la réouverture des lignes internationales.

Erasmus Espagne Crédit UPF

Programme Erasmus+ et mobilité internationale : toujours autant de demandes

Erasmus permet aux étudiants d’effectuer une partie de leurs études dans une université partenaire à l’étranger. Une mobilité qui peut s’effectuer sur un semestre d’août à décembre ou de janvier à mai, ou même sur une année.

Et la crise n’a pas découragé les étudiants à s’inscrire pour les prochaines périodes. Nous avons « tout autant de demandes » nous dit Virginia. Les mobilités internationales entrantes et sortantes devraient pouvoir reprendre à compter de janvier 2021 « sous réserve d’une réouverture des frontières et de conditions d’accueil favorables » précise l’UPF.

Les étudiants étrangers sont eux aussi enthousiastes et intéressés par le fenua. Les Australiens et Néo-zélandais, mais aussi les Américains « se tournent de plus en plus » vers l’Université de la Polynésie pour y passer une partie de leur cursus.

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Vague de fraîcheur en Polynésie

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19C° dans certaines communes de l’archipel de la Société, jusqu’à 18°C aux Australes… Si vous êtes de ceux qui avez ressorti les chaussettes du placard, sachez que vous pourrez les garder encore quelques temps. Le fenua est officiellement entré dans la saison fraîche.

Mais les températures de ces derniers jours sont dues à un phénomène en particulier : une « dépression qui a apporté de la pluie jeudi, qui s’évacue vers le sud. Et cette dépression aspire l’air chaud tropical vers le sud et nous fait remonter l’air froid polaire vers le nord, explique Sébastien Hugony, responsable Communication à Météo France Polynésie. Pour le week-end et le début de la semaine prochaine, on aura encore des températures fraîches sur les Australes, sur la Société et sur une partie des Tuamotu. On prévoit des températures minimales la nuit, de l’ordre de 19 à 20°C sur la Société et de 18 ou 19°C aux Australes. Ces températures associées à un vent soutenu, vont accentuer cette sensation de fraîcheur »

« Des températures de 19 ou 20 °C, on va les avoir puisque nous sommes entrés officiellement en saison fraîche donc il faudra s’habituer à avoir des vagues de fraîcheurs encore plusieurs mois. »
Ce phénomène n’est pas l’annonce d’une saison plus fraîche que les années précédentes : « Ce n’est pas sur un phénomène qu’on peut voir ça. On n’utilise plutôt des modèles statistiques et les dernières sorties de modèles nous proposent plutôt un scénario avec des températures supérieures à ce qu’on observe habituellement en saison fraîche. Ce qui ne va pas empêcher qu’on aura peut-être des coups de Maraamu qui vont nous apporter de la fraîcheur en juillet et en août. »

Que les frileux se rassurent : les températures devraient légèrement remonter d’ici mardi prochain selon Météo-France.

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Rurutu et Raiatea : les internes de Rimatara et des Raromatai de retour en classe

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À Raiatea, depuis la reprise des cours, à l’internat du lycée professionnel d’Uturoa, les pensionnaires n’ont pas tous réintégré leur dortoir. « Nous avons en tout 80 élèves absents. Il y a pas mal d’élèves de Huahine qui sont absents : 37 sur 51. Pour Maupiti, ils sont 2 absents. Bora, 59 sur 75, et Tahaa, 2 sur 42 » explique Moeana Malinowski, CPE au lycée professionnel.

Plusieurs raisons expliquent cette baisse comme la fin de l’année scolaire, mais aussi des ménages affectés par les conséquences de la crise. Avec l’arrêt du tourisme, certaines familles se retrouvent sans ressources car sans emploi. « Des familles ont dû mal à honorer leurs factures pour la demi-pension et nous sollicitent. Et nous, on fait appel au fonds social pour les aider » précise Julien Guilloux, proviseur du lycée.

Au lycée des îles Sous-le-Vent, 92% des pensionnaires ont réintégré l’internat, mais certains parents ont dû se réorganiser pour leurs enfants : deux familles ont décidé de quitter Bora Bora et de s’installer à Raiatea.

Selon la direction des solidarités, de la famille et de l’égalité, pour pallier cette situation, des aides sont prévues notamment pour les élèves non-boursiers.

Les cours ont été réaménagés pour que tous les élèves retrouvent une équité dans l’apprentissage scolaire. Et si l’économie du pays tarde à se redresser, il est fort possible que les inscriptions de la rentrée prochaine baissent d’avantage…

Retour des internes à Rurutu aussi

Malgré le mauvais temps, les vols ont repris sur l’île du Rurutu. Après plus de deux mois de confinement passés dans leur famille à assurer la continuité pédagogique, les 31 élèves internes de Rimatara sont de retour sur l’île pour reprendre leur scolarité au collège.

Certains élèves auraient préféré rester sur l’île pour poursuivre les cours à distance, mais le retour à l’école était obligatoire. Un retour souhaité par les professeurs, même si certains parents ont encore des inquiétudes liées au Covid-19, bien qu’aucun cas n’ai été détecté à Rurutu.

Les prochaines vacances scolaires sont prévues à la fin du mois de juin.

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La Route du Sud s’invite à nouveau dans l’hémicycle

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Ce jeudi se tenait la 3ème séance plénière de la session administrative, à l’assemblée de la Polynésie. Une séance marquée par le retour des élus des îles, restés dans leurs archipels durant la période de confinement. Gaston Tong Sang, le président de l’institution, a retrouvé le perchoir.

C’était également la rentrée pour Wilfred Tavaearii, le maire de Taiarapu Ouest, devenu représentant au sein du groupe rouge. Il succède à Jacquie Graffe, qui a siégé 30 ans à Tarahoi.

Une minute de silence a été observée en début de séance, en hommage au tavana de Paea décédé le 22 mai. Christelle Lehartel, suivante de liste, reste au gouvernement.

Principal dossier à l’ordre du jour de cette séance : le SAGE, le schéma d’aménagement général de la Polynésie française. Son examen a finalement été reporté. Une décision dénoncée par le président du groupe Tavini Huira’atira à l’Assemblée, Tony Geros. Le représentant est également candidat à Paea, et est arrivé 2ème au 1er tour. La route du Sud constitue son principal axe de campagne, et elle fait partie des aménagements envisagés par le Pays.

Après Te Ara Nui, initié par Gaston Flosse et finalement abandonné, le projet Route du Sud qui doit relier Punaauia à Taravao a été présenté en 2016. Depuis, les manifestations contre le projet se sont enchaînées.

Ce jeudi en séance, Antony Géros a souhaité revenir sur l’arrêté paru le 12 mai dernier, prévoyant des relevés topographiques pour ce projet.

« J’ai prévenu dans mes réunions qu’il fallait faire attention parce que lors du débat sur le SAGE, le sujet de la Route du sud va revenir dans les débats. Il est important qu’à chaque fois que ce sujet est débattu à l’assemblée, il est important de venir manifester notre mécontentement et notre opposition au dossier », a-t-il déclaré alors qu’une vingtaine d’habitants de Paea, membres de l’association Mata Atea, opposée à cette route, étaient présents dans le public. Gilles Parzy, son président, a quitté la salle en interpellant le président du Pays sur cette question.

« Cette Route du Sud ne se construira pas selon ce tracé tant que je serai Vivant ! »

Edouard Fritch, président du Pays

Malgré le report de l’étude du SAGE, Edouard Fritch a tenté de clarifier la position de son gouvernement sur ce dossier de Route du Sud : « C’est au centre des débats sur la commune de Paea, et en vue des élections municipales, j’ai simplement rappelé à l’assemblée, pour éviter des malentendus ou des débats qui n’ont pas lieu d’être aujourd’hui, la majorité a préféré reporter les dossiers. J’ai donc dû, ce matin, encore une fois, préciser que je ne suis pas favorable du tout à ce projet tel qu’il est aujourd’hui, compte tenu du tracé actuel. Cette route du Sud ne se construira pas sur ce tracé tant que je resterai vivant, a lancé le président du Pays. Qu’est-ce qui gêne les populations ? Les problèmes d’expropriation. Il faut de la place pour construire des routes. Vous savez combien peuvent coûter des Viaducs de plusieurs kilomètres. Nous ne pouvons pas nous permettre de faire cela. Il nous faut faire des études de topographie mais cette route ne se fera pas avant 2023, date à laquelle je dois partir, puisque je dois partir à l’issue de mon deuxième mandat. Je veux calmer la population de Paea sur ce sujet et leur dire qu’il y a danger sur cette route, il y a un vrai problème pour nos enfants de Papeari, Papara, Mataeia, qui viennent en ville à l’école. C’est un vrai problème. Il faut trouver d’autres solutions. Nous allons nous en occuper, et chercher des solutions qui préserveraient ces habitats et éviteraient de mettre les familles à la rue. »

« Nous avons eu une commission, nous en avons discuté, et ce matin, on nous appelle en conférence des présidents, et on nous annonce tout d’un coup que le dossier est retiré de l’ordre du jour ! Je me suis demandé ce qu’il se passait, a déclaré Antony Géros. J’ai proposé que l’on ne s’attache qu’à la partie concernant Tahiti. Moi j’ai retenu juste une chose : la déclaration du président selon laquelle tout dépend du maire sortant au deuxième tour. Si le maire sortant désire s’opposer au projet, il ne le fera pas, mais si ce n’est pas le cas ben… il faut une route désenclavée dans le cadre de la route du Sud. La deuxième chose qu’il a rajouté, c’est que la Route du Sud, ça va s’arrêter à Papara finalement. Alors là, c’est une vis sans fin… Route cherche suite… »

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Bébé évasané et décédé en Nouvelle-Zélande : le cri du cœur de sa mère pour qu’ils rentrent au fenua

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Le 7 mai dernier, l’avion militaire A400M a effectué une évacuation sanitaire à destination d’Auckland : celle d’un bébé de trois mois qui avait besoin de soins chirurgicaux urgents. Arii’ura avait alors été évasané avec sa mère.

Malheureusement, le bébé n’a pas survécu à l’opération et est décédé, comme TNTV vous l’annonçait le 27 mai. Depuis, sa mère, Isaura Teehu, attend désespérement de pouvoir rentrer au fenua avec son fils, pour l’enterrer. Mais à ce jour, elle ne sait toujours pas quand elle pourra revenir, avec le départ de l’A400M de Polynésie et l’absence de vols commerciaux. Et surtout, elle craint que la quatorzaine qui lui sera imposée à son arrivée ne repousse encore la date des funérailles ou pire encore, qu’elle ne puisse pas y assister. « Quand ils vont revenir ici, il y a la quatorzaine, et il faudra encore attendre ici. S’ils ne reviennent qu’en juillet, et qu’après il y a la quatorzaine, ça fera quasiment deux mois que bébé sera mort. Je ne sais pas comment il va faire pour tenir le coup » nous a confié Purea Manuel, une amie proche de la maman.

Isaura Teehu a publié sur Facebook un message poignant où elle exprime son désarroi :

S'il vous plaît, mon Fils et Moi veulent rentrer chez nous afin de pouvoir faire notre deuil.

Posted by Maman Teehu Isaura on Wednesday, June 3, 2020


« Elle n’arrive pas à faire son deuil, son moral est au plus bas. On avait imaginé le pire, c’est qu’on nous ramène deux corps sans vie, car psychologiquement parlant, elle n’est pas bien la maman. Cela a déjà été dur pour elle à Tahiti, on l’envoie avec un bébé vivant en Nouvelle-Zélande, et elle revient avec un bébé sans vie. (…) On se sent impuissants parce qu’on n’est pas à côté d’elle et que bébé commence à noircir. C’est insupportable de voir une amie, une maman, et une Polynésienne car c’est une citoyenne de Polynésie française, comme ça. (…) Il faut les ramener ici. Je ne veux pas qu’il soit incinéré parce que ce n’est pas dans notre pu à nous. Je veux qu’on le ramène, qu’on l’enterre, tout est prêt ici à Tahiti » ajoute, très émue, Purea Manuel.

Le petit Arii’ura à sa naissance. (Photo publiée avec l’autorisation de la famille)

La famille a tenté de contacter les autorités, en vain : « On n’a pas de réponse, même des politiques. Et quand on essaie de joindre les personnes haut placées, qui sont censées travailler pour le peuple, nous aider, on n’a pas de réponse. (…) Quand on appelle, ce sont les secrétaires qui nous répondent et qui ne sont pas aptes à répondre à nos questions ».

Selon nos informations, les autorités du Pays et de l’État cherchent une solution pour rapatrier cette jeune mère et le corps du bébé ainsi que d’autres Polynésiens restés en Nouvelle-Zélande. Mais aucune date n’est encore fixée pour confirmer un transport aérien.

Teehu Isaura au téléphone avec son amie Purea Manuel. (Crédit photo : Tahiti Nui Télévision)

Un chaîne de solidarité via la page Facebook « Notre warrior Arii’ura » a été lancée pour aider à préparer les obsèques. « Je pense que bébé mérite ça, parce qu’on nous fait attendre et on veut que tout soit prêt à Tahiti avant leur arrivée » précise la proche de la maman.

L’église protestante mettra à disposition le fare Amuira à Papeeno pour que la famille se recueille.

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Une Polynésienne remporte plus de 6 millions Fcfp au Loto

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Parmi les 4 gagnants ont trouvé la combinaison du 2ème rang de gain, soit les 5 bons numéros, une jeune Polynésienne. Le montant du gain est de : 6 366 575 Fcfp pour une mise de 275 Fcfp.

La combinaison gagnante est : 12 – 13 – 16 – 26 – 44 ; numéro chance : 6.

Vendeuse de métier et âgée d’une vingtaine d’années, la gagnante avait validé sa grille à la Station Total Hamuta à Pirae pour le tirage du mercredi 3 juin. Elle joue de temps en temps au LOTO® et autres jeux de tirage pour tenter sa chance. Bien lui en a pris de valider son bulletin in extrémis en ce mercredi matin, car la chance était au rendez-vous…

Très heureuse de ce cadeau du hasard, elle a confié avoir été agréablement surprise de remporter cette somme d’argent et qu’elle souhaitait utiliser son gain pour s’acheter une nouvelle voiture.

Le Jackpot LOTO® n’ayant pas été remporté le mercredi 3 juin, le tirage LOTO® du samedi 6 juin proposera un Jackpot de 2 milliards Fcfp.

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Seulement 3 jeunes en section « surf espoir » pour la prochaine rentrée

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Pour la première partie du concours d’entrée, les candidats doivent démontrer leur maîtrise sur le spot de Taharuu devant l’œil avisés des deux experts : Hira Teriinatoofa et Olivier Napias. Des conditions difficiles ce jeudi avec un plan d’eau agité, de grosses vagues et beaucoup de courant. Mais heureusement, ces paramètres seront pris en compte durant la notation. « Il faut qu’ils maîtrisent un peu toutes les manœuvres de base, qu’ils soient à l’aise dans l’eau, qu’ils surfent correctement les deux côtés de la vague… L’objectif c’est, pendant 3 ans, les faire progresser et de les emmener à un niveau de compétition » précise Olivier Napias, coach dans la section « surf espoir ».

Aujourd’hui, seuls deux candidats étaient présents, le troisième vivant à Huahine. Étant connu dans le milieu des compétitions, il a été directement sélectionné. Cette année, l’effectif est moins fourni : 3 surfeurs contre 14 l’an dernier. Une situation due à la crise sanitaire et au chamboulement de l’année scolaire, et qui remet donc en question la survie de ces sections financées par la Fédération tahitienne de surf (FTS). « Entre le Covid et la fermeture des frontières, on ne sait pas s’il y aura la Teahupoo Pro cette année, on nous a demandé d’attendre jusqu’au mois prochain. Si la Teahupoo Pro ne se fait pas, on ne pourra plus subventionner ces formations. Déjà, on a dû mettre notre secrétaire de bureau en cessation de contrat parce que financièrement, on ne peut plus assurer. Ce serait vraiment dommage car au départ, cette formation a été mise en place pour éviter le décrochage scolaire et pour permettre à nos surfeurs d’aller au haut niveau, et pourquoi pas de se présenter au bac avec l’option surf » explique Ingrid Leboucher, représentante de la FTS.

Après le test physique, direction le lycée de Papara pour l’entretien oral. Les candidats sont évalués sur leur motivation et leur parcours scolaire. « On ne peut pas dissocier le parcours sportif du parcours scolaire. S’il y a une défaillance de l’un, le candidat ne peut pas poursuivre » déclare Thierry Cornillaud, proviseur du lycée Tuianu Legayic.

Il existe deux sections de surf au fenua. La deuxième est située au lycée de Mahina. Mais l’avenir de ces structures est encore incertain. Il ne reste plus qu’à espérer que les Jeux Olympiques de 2024 qui se dérouleront à Teahupoo feront pencher la balance…

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Pharmacies et médecins de garde du 6 au 8 juin

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Médecins de garde :

Pharmacies de garde :

– Papeete
Pharmacie Fariipiti
Samedi de 7 heures 30 à 18 heures
Dimanche de 8 heures à midi et de 14 heures 30 à 18 heures
Tél. : 40.42.68.98

– Faa’a
Pharmacie Tautiare
Samedi de 8 heures à 19 heures
Dimanche de 9 heures à midi
Tél. : 40.80.04.25

– Punaauia
Pharmacie Moana Nui
Samedi et dimanche de 8 heures à 20 heures
Tél. : 40.43.16.98

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Houle, vent… Rapa en vigilance orange depuis deux jours

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Petite dépression

Posted by Haiva Narii on Thursday, June 4, 2020

Une dépression notamment à l’origine de la vague de fraîcheur que connaît en ce moment la Polynésie, se déplace vers le sud, expliquait jeudi Météo France.

Le temps devrait s’améliorer ce vendredi avec un ciel passagèrement nuageux et quelques averses résiduelles.

La mer reste cependant encore très forte avec des creux de 5 mètres, annonce Météo France. Elle devrait s’amortir en fin de journée autour de 3 mètres 50/4 mètres puis 2 mètres/2 mètres 50 samedi.

A rapa dépression 🌀🌧 Lors de la ronde avec mon coeur Le gros dégât au grand quai, le lampadaire tombé 😱 Cela prouve que le vent est très violent 🌬🌀

Publiée par Maire Anania sur Jeudi 4 juin 2020

À Tahiti et Moorea ce vendredi, après quelques passages nuageux parfois porteurs d’une averse, les éclaircies devraient revenir dans l’après-midi. Samedi, Météo France prévoit une journée ensoleillée avec quelques nuages sur les versants Sud et le relief. Températures extrêmes prévues : 19 et 28 degrés Celsius.
Vent de Sud-Ouest faible à modéré vendredi, devenant faible samedi.
Mer agitée à localement forte. Houle de Sud-Sud-Est de 2 mètres 50 à 3 mètres vendredi puis 2 mètres 50 samedi.

Une partie des Tuamotu est toujours en vigilance jaune.

Meteo.pf

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Météo-France lance un nouveau site dédié aux phénomènes dangereux

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Le site vigilance.meteofrance.fr présente une carte des vigilances en cours et de leurs niveaux (vert, jaune, orange ou rouge) dans l’Hexagone, ainsi que des prévisions pour les jours suivants, jusqu’à J+7.

Des cartes spécifiques sont dédiées aux vigilances à La Réunion, à Mayotte, en Nouvelle-Calédonie, en Polynésie française, à Saint-Pierre-et-Miquelon, dans les Antilles-Guyane et en Europe.

Le site offre aussi des conseils en cas de vigilance orange et rouge et détaille les différents dangers météorologiques (avalanche, canicule, grand froid, crues, neige verglas, orages, pluies inondation, vagues submersion et vent violent).

« Il ne s’agit pas d’une nouvelle vigilance, mais bien d’un nouveau site », explique Virginie Schwarz, PDG de Météo France, dans un communiqué. « Le site a été, dans son ensemble, modernisé, rationalisé et enrichi avec pour objectif de fournir des informations plus claires et plus accessibles », poursuit-elle.

Une grande nouveauté « est la mise à disposition des prévisions de phénomènes dangereux jusqu’à sept jours à l’avance », avec une « carte (qui) signale la probabilité d’événements météorologiques pouvant entraîner des conséquences graves pour la sécurité des personnes et des biens à compter du surlendemain et jusqu’à sept jours », ajoute Virginie Schwarz.

Ce nouveau site est aussi une réponse aux « événements extrêmes, comme les canicules, ou les pluies intenses, de plus en plus fréquents et intenses » avec le changement climatique, fait-elle savoir. « La vigilance météorologique et le développement de la culture du risque font partie des éléments de réponse pour protéger les populations. »

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Produire moins de déchets : « un défi que tout le monde devrait mettre en place dans son quotidien »

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Tahiti Nui Télévision : La deuxième saison du défi Zéro Déchet s’est terminée en mars, êtes-vous satisfait des résultats ?
Sarah Dukhan, coordinatrice du défi : « Oui, on est complètement satisfait. On a fait mieux que la saison 1. 100% des familles ont réduit de 50% leur poids de poubelle, et on n’a plus de la moitié des familles qui ont réduit jusqu’à 90% leur poids de poubelle, c’est-à-dire qu’au final, c’est presque du zéro déchet. »

Comment arrive-t-on à atteindre ces chiffres ?
« On y arrive parce que, déjà, on le veut. Évidemment, c’est un autre choix de vie, c’est un autre quotidien, c’est une autre organisation, et c’est mettre ses priorités ailleurs et dans la production de moins de déchets. Et on y arrive grâce à des ateliers et surtout grâce à un geste simple : le compostage. Composter ses déchets, c’est réduire d’office 50% son poids de poubelle. »

Pourquoi est-ce important de réduire ces déchets, notamment en Polynésie ?
« Comme vous le savez, on est une île, on a des contraintes géographiques, on a une croissance économique qui augmente chaque année… et on a du coup une surproduction de déchets, on ne sait pas quoi en faire. On a le centre de Paihoro qui va bientôt déborder. Donc produire moins de déchets, c’est vraiment un défi que tout le monde devrait mettre en place dans son quotidien. »

Après ces deux premières saisons, est-ce qu’il y a un suivi des familles volontaires qui ont participé à ce défi ?
« Oui, depuis la première édition, j’ai toujours quelques contacts avec ces familles. Elles continuent bien-sûr, même si parfois il y a quelques difficultés qui restent. Mais quand on a pris le pli, on n’a pas envie de retourner en arrière. Car faire ce qu’on dit, cette philosophie zéro déchet, c’est aussi économiquement très satisfaisant, parce qu’on pense que ça coûte plus cher, mais c’est faux. Et puis c’est un vrai épanouissement personnel, et ça va bien au-delà, on va parler santé, alimentation, puisque produire moins de déchets c’est aussi faire soi-même. Cela passe beaucoup par les enfants. Souvent, les parents s’y mettent pour sensibiliser les enfants. C’est un choix de vie qui, vraiment, est bénéfique pour la famille. »

Aujourd'hui, nous vous présentons Marie Laure et ses parents; elle nous parle de son aventure, des grands changements qu…

Posted by Zéro Déchet Tahiti on Thursday, June 4, 2020


C’est aussi une façon pour l’association de pouvoir dresser des sentinelles dans les quartiers ?
« Ce défi est aussi fait pour ça. Il permet de sensibiliser des familles qui, elles-même, vont sensibiliser leur quartier, leur famille, leurs amis… et sont des sentinelles pour toute la Polynésie, en tout cas pour Tahiti, hélas pas encore pour toute la Polynésie. On aimerait aller dans les îles, ça se fera j’espère ! »

À quand le démarrage de la 3ème saison ?
« Eh bien, on espère l’année prochaine. On va attendre un petit peu. Mais il a été signalé qu’il y aurait une saison 3 l’année prochaine. En général, on aime bien commencer entre octobre et mars. Donc ça serait en fin d’année plutôt. »

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Le duty free de l’aéroport s’ouvre au public

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Ce vendredi, la population était au rendez-vous à l’aéroport de Faa’a. « Il y a du monde, c’est la foule et c’est tout nouveau pour nous parce qu’on n’a jamais ouvert au grand public comme ça, nous dit Bifao Gigliola responsable de boutique. Avec les vols qui se sont arrêtés on n’a pas pu ouvrir nos boutiques pendant 3 mois. » Cette ouverture répond donc à un vrai besoin pour l’entreprise et les employés du Duty Free.

Alcool, parfums, chocolats… côté acheteurs, c’est l’occasion d’économiser même si Gigliola signale que les produits ne sont pas vendus hors taxe : « Des taxes se sont ajoutées mais on est encore moins chers qu’à l’extérieur. »

Et pas de cigarettes en vente : « Normalement ce sont les cigarettes qui partent le mieux parce que les cigarettes ne sont pas très chères ici, mais on n’en vend pas pour l’extérieur pour ne pas faire de concurrence déloyale. Pour l’instant ce sont les champagnes qui marchent fort. »

Crédit Tahiti Nui Télévision

« Je n’ai pris que du chocolat pour l’instant. (…) On trouve des choses qu’on n’a pas ailleurs dans d’autres magasins », nous dit une femme venue faire quelques courses.

Le Duty Free devrait resté ouvert au public encore quelques temps. Les horaires devraient être modifiés avec l’arrivées des derniers vols de continuité territoriale et la réouverture des lignes internationales.

Ouverture au public de la boutique Tahiti Duty Free à l’arrivée internationale de l’aéroport de Tahiti-Faa’a. A partir…

Publiée par Aéroport De Tahiti sur Jeudi 4 juin 2020

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Suivez notre édition spéciale sur la reprise des vols internationaux (liveblog)

Punaauia : une maman accouche sur un parking, une autre dans une ambulance

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Naissances en série ce vendredi à Punaauia. Le petit Teva est né vers 7 heures sur le parking de la mairie.

Sa maman, Alice, résidente de Paea, n’a pas eu le temps d’aller à l’hôpital. Elle a été transportée par les pompiers de sa commune jusqu’à la mairie de Punaauia où le SMUR l’attendait. Quelques minutes après, elle mettait au monde un bébé de 4,180 kg.

Au même moment, les pompiers de Punaauia étaient appelés pour prendre en charge Maeva, une résidente de Punaauia sur le point d’accoucher elle aussi. Les pompiers l’ont conduite jusqu’au SMUR qui se trouvait toujours sur le parking de la mairie de Punaauia. La future maman a pu être transportée par l’ambulance en direction de l’hôpital, mais c’est en chemin, peu avant 8 heures, qu’elle a mis au monde Warren, 3,255 kilos. Le bébé est né à Papeete, entre le front de mer et Prince Hinoi.

Les deux mamans et les deux bébés se portent à merveille, rapporte un communiqué de la mairie de Punaauia.

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Covid-19 : 4 262 personnes testées depuis le 1er mars en Polynésie

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Aucune nouvelle personne dans la population polynésienne n’a été testée positive au virus à ce jour. Il y a eu 175 analyses réalisées du 2 au 4 juin.

Le nombre total de cas confirmés dans la population polynésienne reste à 60 depuis le début de l’épidémie, dont plus aucune personne ne présente aujourd’hui de signes de la maladie.

Le marin du bateau de pêche équatorien (bateau ayant quitté la Polynésie depuis le 23 mai), dépisté positif au Covid-19 est toujours hospitalisé à l’hôpital du Taaone, et isolé selon les protocoles mis en place, afin de garantir la sécurité sanitaire du personnel et des autres patients de l’hôpital. Il sera rapatrié chez lui lorsque son état de santé le permettra.

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Même si la Polynésie est en déconfinement total depuis le 21 mai, les autorités sanitaires appellent néanmoins la population à respecter scrupuleusement les gestes barrières et des mesures d’hygiène strictes : lavage de main régulier, port du masque et distanciation physique.

[J’ADAPTE MA FAÇON DE VIVRE] La lutte contre la propagation du virus n’est pas finie ! Pour nous protéger et…

Posted by Direction de la santé on Friday, May 29, 2020


Pour rappel, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré une urgence de santé publique de portée internationale pour le coronavirus le 30 janvier 2020. Un risque très élevé au niveau international a été a été déclaré le 28 février et la pandémie a été annoncée officiellement le 11 mars dernier.

Le premier cas confirmé en Polynésie a été prélevé le 10 mars.

> Retrouvez la courbe de l’évolution de l’épidémie en Polynésie et les chiffres dans le Pacifique en cliquant ICI.

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L’Intersyndicale souhaite un report des élections professionnelles

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Cette rencontre, organisée à la demande de l’intersyndicale, a permis de faire un point sur la situation économique et sociale du fait de la pandémie du Covid-19. Les plans sociaux en cours, tant à l’Intercontinental Moorea qu’à l’hôtel Méridien Bora Bora, ont été discutés, les organisations syndicales souhaitant le soutien du Pays et du Fonds Paritaire de Gestion (FPG) pour la mise en place de plans de formation à destination des salariés en réduction du temps de travail, soutenus par les dispositifs du Pays de soutien à l’emploi, et pour ceux qui seront impactés par un licenciement économique

« La formation professionnelle devient un levier indispensable et complémentaire aux autres dispositifs de soutien aux salariés, demandeurs d’emploi, qui permettra le maintien et le développement des compétences professionnelles des travailleurs impactées par les conséquences de la crise », a souligné la ministre du Travail, qui a indiqué par ailleurs que des réunions avec le FGP et ses services ont d’ores et déjà été initiées. Un « Plan de sauvegarde du savoir-faire et des compétences des travailleurs polynésiens touchés par la crise économique liée au Covid-19 » est en cours de réalisation avec les principaux acteurs concernés. L’objectif est de permettre aux travailleurs touchés par la crise du Covid-19 de sécuriser, développer ou renforcer leurs compétences dans l’attente de la reprise de l’activité économique ou pour les accompagner dans une reconversion professionnelle et ainsi renforcer leur employabilité.

Un comité de pilotage sera prochainement mis en place pour continuer à identifier les besoins, ainsi que pour suivre l’avancée du plan d’action. 

Concernant la demande de disposer d’un bilan de l’utilisation des dispositifs de soutien à l’emploi, Nicole Bouteau a proposé aux représentants de l’intersyndicale de réunir sous quinze jours les partenaires sociaux afin de faire un tour d’horizon de la situation sociale. À cette occasion, un bilan leur sera présenté.

Le dernier point abordé a été celui des élections professionnelles, empêchées du fait du confinement. L’intersyndicale souhaite leur report à l’année prochaine. La ministre du Travail a rappelé que l’organisation des élections professionnelles dans les entreprises est régie par les dispositions du code du travail. Même si le contexte sanitaire ne fait plus obstacle à ce que les élections professionnelles soient mises en place, Nicole Bouteau est toutefois d’accord pour dire que les difficultés économiques rencontrées par les entreprises ne sont pas propices à l’organisation de ces élections. Ainsi, sous réserve que l’ensemble des organisations syndicales appuient cette demande de report, la direction du travail étudiera les solutions juridiques qui permettraient, le cas échéant, de mettre en œuvre cette requête.  

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Le Pink Coconut ferme ses portes

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Il était devenu une petite institution du monde de la nuit. Le bar-restaurant Pink Coconut à Punaauia, a fermé comme tous les autres pendant le confinement. Mais lui, ne rouvrira pas ses portes.

Le contrat entre l’établissement et le Port autonome qui gère la marina Taina, se termine en octobre. « Nous avions déjà préparé nos employés à ce qu’on plie bagage en octobre, puis le covid a accéléré les choses », nous explique Teiva LC.

Il aurait coûté trop cher à la direction de relancer le restaurant pour 5 mois. « On a été pris de cours ».

Teiva avait repris le Pink Coconut il y a 12 ans déjà, le 15 avril 2008. L’établissement avait ouvert pour la première fois en décembre 2005, il y a 15 ans.

14 personnes en CDI et 7 personnes en « extras » se retrouvent aujourd’hui sans emploi. Pour Teiva la situation est « difficile » comme pour beaucoup d’autres chefs d’entreprises du fenua en cette période.

Pour l’instant, aucun autre projet n’est prévu à cet endroit. Il faudra attendre un nouvel appel d’offres du Port autonome.

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Moorea : des dinosaures au Tiki Village

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Bonjour chers amis,Nous vous avions promis une belle surprise et nous tenons notre promesse. Du jamais vu à Moorea et…

Posted by Tiki Village Theatre (page officielle/official page) on Friday, June 5, 2020


Ce n’est pas Jurassic Park mais on s’y croirait presque, explique Christophe Languer, directeur du Tiki Village. L’exposition prévue il y a plusieurs mois, mais retardée à cause du confinement, est à découvrir dès aujourd’hui, à Moorea. « Les gens ont envie de se changer les idées » confie le directeur, au sujet de cette exposition insolite en Polynésie.

Une exposition ludique pour petits et grands enfants

Ces 7 dinosaures, -dont le plus grand est le diplodocus qui approche les 12 mètres de long, viennent du gérant du Tiki Village en Nouvelle-Calédonie qui les possédait personnellement pour sa fille, fan des dinosaures, et qui a décidé d’en faire aussi profiter le Tiki Village du fenua.

Si on peut s’approcher près de ces dinosaures en résine, on ne peut toutefois pas les toucher.

Les tyrannosaures vous attendent ! 😱Nous sommes ouverts du mardi au vendredi de 11h à 16h et le samedi et dimanche de…

Posted by Tiki Village Theatre (page officielle/official page) on Friday, June 5, 2020

PRATIQUE

L’exposition est gratuite, et ouverte du mardi au vendredi de 11 heures à 16 heures, le samedi et dimanche de 11 heures à 17 heures.

À noter que ce dimanche, l’accès à l’exposition sera uniquement réservée aux clients ayant réservé pour le ma’a Tahiti de la fête des mères.
Dès ce samedi, un château gonflable sera également installé.

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À Tahaa, Mama Rere fête son 100e anniversaire

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L’année 1920 a décidément donné naissance à une génération de centenaires en Polynésie. Après Mama Teura à Raiatea, Mama Tupuai à Vairao, c’est au tour de Mama Rere de fêter ses 100 ans ce vendredi à Tahaa.

Mama Rere et sa fille, Mama Iona Crédit Nicolas Pere

Mama Rere a 4 enfants, 28 petits enfants et 8 arrière-petits enfants. C’est entourée de sa famille qu’elle a soufflé ses bougies.

100 à Tahaa avec Mama Rere 🎂💕🌈❤🌺🥳

Posted by Tahaa News on Friday, June 5, 2020

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Fonds national de solidarité : le dispositif d’aide aux entreprises étendu au mois de mai

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Le 20 avril, le haut-commissaire et le président de la Polynésie française ont signé une convention pour la mise en place au fenua du Fonds de Solidarité institué par l’Etat pour soutenir les entreprises impactées par les conséquences économiques de l’épidémie de Covid-19. Ce fonds de 7 milliards d’euros, qui a bénéficié à cette date à plus de 7 500 entreprises polynésiennes, a permis le versement d’aides sur les mois de mars et avril.

Le 12 mai dernier, l’Etat a complété les dispositions réglementaires d’application qui a eu pour conséquence de modifier la convention pour la Polynésie française. Un avenant a été signé ce jour pour, d’une part, étendre le dispositif au mois de mai 2020 et, d’autre part, prolonger la période de transmission des demandes et simplifier certains critères d’éligibilité et d’accès aux aides.

Cette aide au titre du fonds national de solidarité est décomposée en 2 volets dont les modalités sont les suivantes :

  • Un premier volet dont le montant peut aller jusqu’à 178 998 Fcfp
  • Il n’est plus possible de déposer une demande pour le mois de mars 2020
  • Il est encore possible de déposer une demande pour le mois d’avril 2020 avant le 15 juin prochain.
  • Les demandes au titre du mois de mai 2020 pourront être effectuées à partir du 8 juin et jusqu’au 30 juin 2020.
  • Un second volet, cumulable avec le premier, permet de bénéficier d’une aide complémentaire de 238 663 Fcfp à 596 659 Fcfp Ce volet doit faire l’objet d’une demande spécifique avant le 15 juillet via un formulaire dématérialisé transmis par la Chambre du commerce, de l’industrie, des services et des métiers (CCISM).

Après avoir été vérifiés par la CCISM, les dossiers seront instruits par les services de la Polynésie française et validés par le Haut-Commissariat, pour mise en paiement par virement bancaire.

En cas de difficultés avec le formulaire en ligne, la CCISM accompagne les demandeurs par téléphone au 444 456, du lundi au jeudi de 7h30 à 16h et le vendredi de 7h30 à 15h.

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