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Une éclipse totale de Lune visible ce dimanche 20 janvier à Tahiti

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ASTRONOMIE - Une éclipse lunaire est prévue le 20 janvier. Ce sera la dernière avant 2022. Elle devrait être à son maximum à 19h12.
Une éclipse totale de Lune visible ce dimanche 20 janvier à Tahiti
Les habitants des Amériques, d'une grande partie de l'Europe et d'Afrique de l'Ouest, et d'une petite partie de l'Océanie pourront observer une éclipse totale de Lune dans la nuit du 20 au 21 janvier, la dernière avant 2022. À Tahiti, on pourra l'observer ce dimanche soir. L'éclipse devrait être totale à 19h12. Toutefois, comme nous l'a indiqué Météo-France Polynésie, le ciel devrait être chargé.

Pendant l'éclipse totale, la Lune ne sera pas invisible : elle sera rouge, comme lors de toutes les éclipses totales. Cette teinte sera due au fait que les rayons du Soleil ne l'atteindront plus directement. À la place, une petite partie des rayons rouges seront filtrés par l'atmosphère terrestre et réfractés vers la Lune (les rayons bleus, eux, divergeront vers l'extérieur). C'est le même phénomène qui colore en rouge les levers et couchers du Soleil vus depuis la Terre.

"C'est la dernière chance avant un long moment de voir une éclipse totale de Lune", dit à l'AFP Bruce Betts, scientifique en chef de la Planetary Society, une organisation astronomique américaine. Des éclipses totales de Lune peuvent arriver deux voire trois fois par an. Elles correspondent à un concours de circonstances rare : il faut que la Terre se situe exactement entre le Soleil et la Lune. Encore faut-il que le ciel soit dégagé pour en profiter. Les nuages gâchent souvent le spectacle. 

Les passionnés d'astronomie pourront comparer les infimes variations de la teinte rouge de la Lune cette fois-ci. "Tout dépend de ce qu'il y a dans l'atmosphère", explique Bruce Betts. "Tout comme les couchers de Soleil changent de couleur d'un jour à l'autre, les éclipses varient en fonction des particules dans l'atmosphère, ou s'il y a une éruption volcanique, par exemple".

Aucun télescope n'est nécessaire pour observer l'éclipse. Pour voir les cratères de la Lune, le planétologue rappelle qu'une simple paire de jumelles peut faire l'affaire.

Pour savoir en temps réel quand observer l'éclipse à Tahiti, cliquez ICI.

Rédaction web avec AFP


Isabelle Filliozat à Tahiti : les places pour sa conférence épuisées en quelques heures

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PARENTALITÉ - Elle est l'auteure de plusieurs romans dont “Au cœur des émotions de l’enfant” . Isabelle Filliozat donnera une conférence gratuite à Tahiti en avril.
Isabelle Filliozat à Tahiti : les places pour sa conférence épuisées en quelques heures
Isabelle Filliozat, psychothérapeute devenue figure de proue en matière d'éducation positive, sera en Polynésie en avril. Elle donnera une conférence gratuite à l'invitation de l'association Parent autrement à Tahiti avec le soutien de la direction des Solidarités et de la Famille. 

La conférence se déroulera à l'université de la Polynésie mardi 23 avril à partir de 19 heures. A l'annonce de l'événement, en quelques heures seulement, toutes les places ont été réservées. Mais l'association cherche un moyen d'accueillir plus de monde. 

Isabelle Filliozat à Tahiti : les places pour sa conférence épuisées en quelques heures
Des formations seront également dispensées du 3 au 7 mai : 
- Pour les parents de Tout niveau en parentalité positive : les ateliers Filliozat. Par Christelle Ansart les 6 et 7 mai.
- Pour les parents niveau intermédiaire et confirmé en parentalité positive et développement personnel et professionnel: Grammaire des émotions. Par Isabelle Filliozat, les 3, 4 et 5 mai. 
- Pour les professionnels et particuliers voulant en faire leur métier ou parents voulant approfondir encore plus leurs connaissances en parentalité positive,  une formation longue est proposée. 

Rédaction web 

 

Plus d'informations sur la conférence et les formations sur la page Facebook de Parent autrement à Tahiti ou en cliquant ICI


Votre film à la carte du 22 janvier : Unstoppable

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Après décompte de vos votes, vous avez choisi le film d'action "Unstoppable". Mardi 22 janvier à 19h25, très bon film à la carte sur TNTV
Votre film à la carte du 22 janvier : Unstoppable
DR

Film d'action américain avec Denzel Washington, Chris Pine, Rosario Dawson, ...

Un ingénieur et un chauffeur vivent une véritable course contre la montre. Les deux hommes tentent de stopper un train qui transporte des produits toxiques avant que celui-ci ne déraille et répande une flaque toxique qui décimera la ville complète.

Unstoppable
Votre film à la carte du 22 janvier

Rendez-vous le mardi 29 janvier pour le prochain Film à la carte

Votre film à la carte du 22 janvier : Unstoppable

Les Coupes du Monde 2019 et 2021 de Beach Soccer sur TNTV

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Rendez-vous sur TNTV en 2019 et en 2021, pour voir les meilleures équipes du globe tenter de décrocher la coupe !
Les Coupes du Monde 2019 et 2021 de Beach Soccer sur TNTV
Après Tahiti, le Portugal, et les Bahamas, TNTV diffusera sur le fenua les deux prochaines Coupes du monde de beach soccer, en 2019 aux Paraguay et en 2021.

Les 15 meilleures équipes du monde et le pays hôte s'affronteront fin novembre pour remporter le titre de champion du monde et détrôner ainsi le Brésil. 

Mais avant, en juin, l'équipe des Tiki Toa, actuellement vice-championne du monde, jouera sa qualification pour le mondial au tournoi OFC Beach Soccer, qui devrait se dérouler sur le Fenua. Un tournoi que vous pourrez également suivre sur TNTV.
 

Grève à Tahiti Valeurs : un mois après, le mouvement se poursuit

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SOCIAL - Un mois après le début de la grève, les salariés tiennent toujours leur piquet, et la situation n’a pas franchement avancé. Depuis l’entrée en vigueur du préavis, une seule rencontre a eu lieu entre patrons et syndicat, et elle n’a pas abouti. En attendant, la société a fait appel à des prestataires pour effectuer le travail des grévistes.
Grève à Tahiti Valeurs : un mois après, le mouvement se poursuit
Ils sont en grève depuis maintenant un mois. 20 des 27 convoyeurs de la société Tahiti Valeurs, qui alimente les distributeurs de monnaie et collecte les fonds chez les commerçants, ont cessé le travail, principalement pour réclamer une revalorisation de leurs salaires. Mais le conflit s’enlise. Aucune négociation n’a eu lieu depuis plus de trois semaines. "Ils passent devant nous et ne font pas attention à nous... On ne doit pas être intéressants pour eux" s'indigne Hiti Van Cam, convoyeur de fonds et délégué syndical.

Les convoyeurs de fonds restent pourtant mobilisés pour obtenir la revalorisation de leurs primes et de leurs salaires. Par exemple, Peter Tetuanui, convoyeur de fonds chez Tahiti Valeurs, n’a pas été augmenté depuis 13 ans : "Cela fait 26 ans que je travaille pour eux 
et je touche 188 000 CFP par mois"
. Comme ses collègues, il reste déterminé, même si le manque d'argent se fait sentir : "Je vais à la pêche pour nourrir mes enfants. Ils n'ont rien eu à Noël" confie-t-il.

Mais la grève risque de durer, car la société continue de tourner grâce à des salariés d’autres filiales qui effectuent le travail des grévistes, et l’argent coule toujours des distributeurs. "Ils utilisent des véhicules banalisés, et ils ont le droit, mais dans des circonstances qu'ils doivent respecter, comme l'utilisation de valises sécurisées" déplore Hiti Van Cam.

Sauf que sans la carte professionnelle de convoyeur, ces "remplaçants" ne peuvent transporter que des billets, pas des pièces. Les plus impactés par cette grève sont donc les 400 commerçants clients de la société Tahiti Valeurs qui transportent eux-mêmes leur monnaie. C'est dangereux "pour les échanges dans les caisses par rapport aux clients, ou le ramassage de la recette au quotidien... Ils le déposent en agence mais cela leur fait prendre un risque explique Hiti.

Pour l’instant, aucune autre rencontre avec les dirigeants de la société n’a été prévue. Nous avons contacté son président et actionnaire, mais ce dernier n'a pas souhaité s'exprimer.

Rédaction web avec Tamara Sentis

Fermeture de la MAE : les parents d'élèves inquiets

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EDUCATION - La Mutuelle des assurances de l’éducation (MAE) fermera ses portes au mois d’août. Une nouvelle qui inquiète la Fédération des associations de parents d’élèves, d’autant que la MAE était aussi un choix pour couvrir les activités des établissements scolaires. Seulement, les contrats souscris se sont arrêtés au 31 décembre dernier. Depuis les activités en dehors de l’école sont suspendues.
Fermeture de la MAE : les parents d'élèves inquiets
L’ensemble des établissements scolaires qui ont souscrit un contrat de responsabilité collective avec la Mutuelle des assurances doit trouver un nouvel assureur. Depuis le 1er janvier, les activités dites facultatives ne sont plus couvertes... Une inquiétude pour les directions des établissements. Ces sorties s’inscrivent bien souvent dans des projets pédagogiques. "Nous sommes aujourd'hui les directeurs d'école, confrontés à l'application d'une note de service qui nous demande à ce que, pour les activités dites facultatives, nous ayons une assurance complémentaire qui était jusqu'à aujourd'hui assurée par la MAE. Malheureusement, on n'a pas expliqué ce que signifie "facultative" dans le quotidien de nos activités et dans nos projets pédagogiques. C'est toute la difficulté. Et avec cette note, il est porté une information au niveau des directeurs : tout est arrêté par rapport à des sorties ou activités qui tiendraient à quitter le lieu d'exercice habituel", explique Jacky Bryant, directeur de l'école de Erima. 

> Les cours vont continuer

La DGEE tient à rassurer les parents. Le reste des activités d’enseignements entre les horaires d’ouvertures et de fermeture de l’école sont assurées. Mais les sorties en dehors des établissements sont en effet suspendues pour l’instant. "Les établissements scolaires du premier degré et du second degré, dans le cadre normal de leur activité, c'est-à-dire d'enseignement, sont assurés. Ce qui est mis en cause, en tout cas ce qui peut poser temporairement problème, ce sont les sorties, les activités facultatives. Mais évidemment, je veux rassurer l'ensemble des parents : les établissements scolaires sont assurés dans leurs activités d'enseignement classique que ce soit pour le premier et le second degré. (...) Une sortie facultative, c'est une sortie qui va en dehors des horaires normaux d'ouverture d'un établissement, ou s'il y a une nuitée, un voyage avec une nuitée", explique Thierry Delmas, directeur de la direction générale de l'Éducation et des enseignements. "Ça n'empêche pas de faire cours."

> Des assurances trop chères

Cependant la majorité des écoles n’ a pas entamé de démarches pour assurer à nouveau les activités facultatives.  Le coût des assurances privées freine les associations de parents d’élèves. À l’école Toata qui compte près de 500 élèves, une nouvelle assurance coûterait près de 450 000 Fcfp. Impossible à financer pour les associations de parents d’élèves. "Le crime a profité à certains par la force des choses. Nous avons déjà pris l'attache d'un certain nombre d'assureurs qui proposent des prix exorbitants pour une couverture médiocre. Il est prévu que je rencontre le président des assurances de Polynésie pour pouvoir essayer de négocier au mieux des tarifs avec une couverture optimale en cas d'accident pour nos enfants", annonce Tepuanui Snow, président de la Fédération des associations de parents d'élèves. 

Depuis sa création en 1979, la mutuelle était devenue une référence pour les établissements tant pour les garanties que son coût.
 
Rédaction web avec Thomas Chabrol 

Vers une suspension du permis D dans les auto-écoles de Tahiti ?

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TRANSPORTS - Les établissements de formation au permis de conduire dénoncent l’inaction de la direction des Transports terrestres (DTT) et du ministère de tutelle face à leur demande de défiscalisation pour le renouvellement de leur parc automobile qui date depuis plusieurs mois. Si la situation persiste, le passage du permis poids lourds sera suspendu et certaines auto-écoles risquent d’interrompre leur activité.
Vers une suspension du permis D dans les auto-écoles de Tahiti ?
C’est une situation qui dure depuis l’an dernier déjà. Le syndicat des auto-écoles de Polynésie avait d’abord exposé ses préoccupations à Luc Faatau, alors ministre de l’Equipement. Après lui, c’est René Temeharo qui prenait les rênes du Transport. Les centres de formation au permis de conduire s'étaient alors également entretenus avec le nouveau ministre au mois de novembre 2018 afin de lui exposer leur souhait de renouveler tout le parc automobile des 19 auto-écoles de Polynésie. Mais presque trois mois plus tard, leur demande reste sans réponse. "Nous n'avons plus de direction des Transport terrestre, donc on navigue juste avec les services des permis de conduire, on ne peut pas aller bien loin... Il n'y a pas de projet à mettre en place, pas de suivi... et surtout, nous n'avons aucune réponse du ministère" déplore Gérald Chauney, président du syndicat des auto-écoles de Polynésie française.

"On a des groupes lourds qui arrivent à terme, cela concerne un centre de formation à Tahiti, mais cela reste difficile à gérer pour lui. Ce sont des investissements importants. Cela n'avance pas. On a l'impression d'avoir un désintéressement de la part du gouvernement en ce qui concerne la sécurité routière. Le problème, c'est que ceux qui s'investissement lourdement dans le permis transports en commun, ne le font pas pour le loisir, mais pour trouver du travail. Sans permis, pas de travail. Donc pour le gouvernement, ce n'est pas une priorité que les gens aient du travail..." poursuit Chauney. En effet, plus qu'un permis de conduire, c'est un permis de travail pour certains, notamment les chauffeurs des transports en commun. 

À Tahiti, seul un établissement d’enseignement sur les 19 propose les formations au permis poids lourds et il y a des demandes de passages toutes les semaines. Pour Chauney, le renouvellement des véhicules lourds est urgent. La durée d'un véhicule est de 5 ans maximum : "On doit les mettre au norme tous les ans. Et généralement, nos voitures ne tiennent que 3 ans, elles font beaucoup de kilomètres. Les auto-écoles risquent d'être bientôt mises en difficulté".

Aujourd’hui, ni la direction des Transports Terrestres ni le ministère ne semblent s’alarmer. Le syndicat des auto-écoles ne comprend pas. Contactée ce vendredi matin, personne, selon la présidence, n’est disponible pour répondre au syndicat tant du côté du ministère que de la vice-présidence pour les demandes de défiscalisation.


Rédaction web avec Brandy Tevero

Incendie d'un oléoduc au Mexique : au moins 20 morts, 54 blessés

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DRAME - Au moins 20 personnes ont été tuées et 54 blessées par brûlures dans l'incendie d'un oléoduc qui présentait une fuite où des habitants venaient voler du carburant, dans l'est du Mexique, ont annoncé vendredi les autorités.
Incendie d'un oléoduc au Mexique : au moins 20 morts, 54 blessés
"On m'a dit que 20 personnes sont mortes calcinées et que 54 ont été blessées par brûlures, elles sont transférées et on s'en occupe en ce moment", a dit le gouverneur de l'Etat de Hidalgo, Omar Fayad, à la télévision locale Foro TV. 
L'incendie, qui n'était pas encore maîtrisé, s'est produit dans la localité de Tlahuelilpan, où quelques heures auparavant la fuite avait été ébruitée, ce qui avait attiré des dizaines d'habitants venus récupérer du carburant munis de seaux et jerrycans.
"On sait que c'était un prélèvement clandestin et que les autorités compétentes s'en occupaient déjà", a avancé Omar Fayad.

Des médias locaux avaient montré des dizaines de personnes se servant auprès de la fuite d'où le carburant se déversait à jet continu.
Quelques heures plus tard, la nuit tombée, des images du feu ont été diffusées, avec des personnes terrifiées s'enfuyant et appelant à l'aide en hurlant.

Des unités de lutte contre les incendies ainsi que des ambulances de la compagnie pétrolière étatique Pemex et des gouvernements local et fédéral sont venues sur les lieux pour prendre soin des victimes, a précisé le gouverneur de l'Etat de Hidalgo.

Cet accident est intervenu au moment où le gouvernement du nouveau président Andrés Manuel Lopez Obrador met en oeuvre une stratégie nationale contre le vol de carburant, un délit qui a causé pour le pays la perte de quelque 3 milliards de dollars en 2017 et 2018, selon des chiffres officiels.
AFP


L’appareil judiciaire veut renforcer la prévention et la répression

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JUSTICE - Les audiences solennelles de rentrée de la cour d'appel et du tribunal de première instance de Papeete ont eu lieu ce vendredi matin. Ce rendez-vous traditionnel est l’occasion d’un bilan de l’année écoulée et d’annoncer les perspectives de l’année à venir, à savoir mettre l’accent sur la prévention et durcir la répression.
L’appareil judiciaire veut renforcer la prévention et la répression
Comme chaque début d’année, le tribunal de Papeete organise sa rentrée solennelle. Cette année n’y aura pas échappé. Magistrats, représentants de l’État et du Pays étaient présents ce vendredi matin à ce rendez-vous qui a pour but de dresser le bilan de l’année 2018 et de présenter les perspectives 2019 de l’activité judiciaire en Polynésie française.
 
Dans ce bilan, on note que la délinquance s’est stabilisée en 2018, avec trois exceptions : les violences conjugales, la délinquance routière et le trafic de stupéfiants. Ce dernier volet représente une augmentation de 44% par rapport à l’année 2017.
 
“En 2018, on a eu 25 procédures, toute orientation confondue, saisine des juges d’instruction et comparutions immédiates, détaille le procureur Hervé Leroy. On a eu plus de 130 personnes qui ont été mises en cause, jugées ou mises en examen par les magistrats instructeurs. On a eu des condamnations sévères en termes de privation de liberté mais aussi et surtout en termes de confiscation puisque les trafiquants avérés se sont vu saisir dans un premier temps, ensuite confisquer, des véhicules automobiles, des maisons à usage d’habitation et des terrains."
 
Un incinérateur devrait par ailleurs bientôt arriver au fenua afin que tous les produits stupéfiants, paka, ice ou cocaïne, autrefois acheminée vers Nouméa, en Nouvelle-Calédonie, puissent être détruit ici.
 
Du côté du parquet général, la priorité doit être mise cette année sur la prévention, en partenariat avec les services de l’État, du Pays et des communes pour réduire les pratiques addictives, la délinquance des mineurs, les violences intrafamiliales et la délinquance routière.
 
Sur ce dernier point, "lorsqu’on voit les chiffres, 36 tués en 2018 sur les routes, je pense qu’au-delà de la prévention, il va falloir aller vers une répression bien plus forte, notamment dans le cadre de comparutions immédiates, de confiscations et des peines de prison, explique le procureur général Thomas Pison. On ne peut pas laisser la situation comme ça."
 
Sur une note plus positive, le tribunal foncier est l’une des plus grandes réussites de l’appareil judiciaire en Polynésie. En effet, il y a eu en 2018 autant d’affaires nouvelles que d’affaires clôturées, soit un taux de traitement de 100%.
 
Rédaction web avec Sam Teinaore

Vidéo - Sacs en plastique échoués sur une plage : quelles solutions contre ce type de pollution ?

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QUESTION DE LA SEMAINE - La semaine dernière, plusieurs centaines de sacs en plastique se sont échoués sur une plage des Marquises. Comment éviter ce type de pollution ? C'est la question que nous vous posions. Vos réponses et l'analyse de la rédaction :
En vidéo, l'analyse de notre journaliste

Le 10 janvier, des centaines de sacs en plastique se sont échoués sur une plage de Hiva Oa aux Marquises. Après enquête des Affaires maritimes, il s'agissait d'emballages destinés à contenir des calamars péruviens pour le marché chinois. Ces sachets provenaient d'un navire chinois, le Hai Yang 2. Les autorités sont toujours à la recherche de l'armateur. 

Pour éviter une nouvelle pollution de ce type, les internautes proposent de renforcer les contrôles maritimes, donner des amendes aux pollueurs, mais pas seulement. Beaucoup rappellent que nous polluons déjà nous-mêmes. "Il faudrait ne plus utiliser de plastique ou le moins possible", propose une femme interrogée dans la rue. "La pollution maritime vient en grande partie de la terre. Les gens doivent penser que lorsqu'on jette une bouteille en plastique, une canette, elle finira sûrement dans la mer", souligne un autre. 

Après les sacs en plastique échoués,  des sachets de riz  ont été pêchés près de Bora Bora. Des bonbonnes de gaz  ont aussi été retrouvées flottant entre Tahiti et Moorea cette semaine... Ces dernières proviennent du Kura Ora 2, un navire qui a été immergé au large de Papeete. Le président du Pays Édouard Fritch a demandé l'ouverture d'une enquête administrative en recherche de responsabilité. 

Immerger un navire, cela est soumis à autorisations, notamment de la direction de l'Environnement, mais autorisé en Polynésie. D'autres pays dépolluent et démantèlent leurs navires. En Polynésie, on les coule simplement. Une pratique moins coûteuse, mais qui interroge tout de même sur notre volonté à protéger l'environnement. 

En cas de pollution, des sanctions sont prévues. 2.150 millions de Fcfp d'amende et 2 ans de prison pour une immersion interdite. Les sanctions peuvent aller jusqu'à 9 millions de Fcfp d'amende et 2 ans de prison. Si les pollueurs sont retrouvés, évidemment... 

​Rédaction web 
 


Nouvel An chinois : le programme des festivités 2019 à Tahiti

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TRADITION - Le 5 février, la communauté chinoise célébrera une nouvelle année, celle du cochon de terre. Découvrez le programme des festivités :
Nouvel An chinois : le programme des festivités 2019 à Tahiti
L'année du chien de terre laissera place à celle du cochon de terre le 5 février. Le cochon est le 12ème signe du Zodiaque chinois. 
Voici les animations prévues par l'association Sinitong : 

Mardi 5 février : ouverture officielle de l'année du cochon de terre. 
7h : Danse du lion au temple Kanti à Mamao
8h30 : Danse du lion au siège du Sinitong

Vendredi 8 février : bal du Nouvel An
Salle de l'association philanthropique chinoise

Dimanche 10 février : journée culturelle
8h30 : ouverture de la journée culturelle dans les jardins du temple Kanti à Mamao. 
 

Nouvel An chinois : le programme des festivités 2019 à Tahiti
Samedi 16 février : défilé des lanternes 
18h : Rassemblement à la mairie de Papeete
19h : spectacle de clôture dans les jardins du temple Kanti à Mamao

Samedi 8 juin : fête du Tsoung et courses de Dragon Boat
8h : Dégustation des gâteaux de riz gluant au Parc Paofai
9h : Courses de dragon boat dans la rade de Papeete 

Nouvel An chinois : le programme des festivités 2019 à Tahiti

Gilets jaunes : ils étaient 84 000 manifestants ce samedi selon l'Intérieur

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MÉTROPOLE - ​Les "gilets jaunes" sont restés mobilisés samedi partout en France après le lancement par Emmanuel Macron d'un débat national censé canaliser deux mois de colère sociale, lors d'une dixième journée d'action marquée par une participation record à Toulouse et des heurts dans plusieurs villes.
Gilets jaunes : ils étaient 84 000 manifestants ce samedi selon l'Intérieur
Le ministère de l'Intérieur a recensé 84 000 manifestants en France, comme samedi dernier. Ce chiffrage est chaque semaine contesté par les manifestants et certains ont mis en place leur propre système de comptage baptisé "le nombre jaune", au résultat plus élevé.
Côté forces de l'ordre, ils étaient 80 000 policiers et gendarmes en France, dont 5 000 à Paris.

A Lille, Pierre, retraité, résumait : "Ce qui est proposé n'est pas acceptable pour l'instant, le gouvernement semble ne pas comprendre ce que demandent les gilets jaunes, c'est surprenant... Il noie le poisson avec des concertations, mais on n'y croit absolument pas".
La mobilisation a atteint un record à Toulouse, avec 10 000 manifestants selon la préfecture, loin devant la capitale (7 000) et Bordeaux (4 000), selon les autorités.
A Bordeaux, des heurts ont éclaté dans le centre-ville à la tombée de la nuit, une ville où 200 "individus radicaux" ont été recensés, selon une source policière.

Des journalistes de l'AFP ont vu de très jeunes hommes casqués, masqués, en tenue de camouflage, utiliser disqueuses et marteaux pour déterrer et transporter des pavés, se relayant pour les amener face aux forces de l'ordre, qui ont fait usage de gaz lacrymogènes et de canons à eau. La gendarmerie a déployé ses blindés à roues et les manifestants commençaient à se disperser vers 18h30.
Ailleurs, les manifestations ont parfois été émaillées d'échauffourées ou ont dégénéré lors de leur dispersion comme à Nancy, Angers, Toulon ou Rennes. 
A Toulon, des affrontements ont ainsi éclaté aux abords du stade Mayol, où le RC Toulon affrontait les Écossais d'Edimbourg en coupe d'Europe de rugby. Quatre personnes ont été interpellées et un manifestant blessé à l’œil par un lanceur de balles de défense.
A Angers, où des barricades ont été érigées, la préfecture a fait état d'une tentative d'incendie contre la Banque de France et des dégradations sur le chantier du tramway.

Pour la première fois depuis le début du mouvement social, la manifestation parisienne s'est, elle, déroulée sans débordements et avec un parcours pré-établi.
Les slogans "Macron démission" ou "Tes hauts et débats, on n'en veut pas, Macron dégage" ont donné le ton, affichant le scepticisme général vis à vis du grand débat national lancé cette semaine par le chef de l'Etat.

Gilets jaunes : ils étaient 84 000 manifestants ce samedi selon l'Intérieur
Réticent face à la revendication des "gilets jaunes" qui réclament partout l'instauration d'un référendum d'initiative citoyenne (RIC), le président a défendu lors de deux déplacements cette semaine en région le grand débat, articulé autour de quatre thèmes : pouvoir d'achat, fiscalité, démocratie et environnement.

"Je veux juste plus de démocratie", "Macron, ton compte est bon", "RIC!" ont répondu les pancartes dans les rues.
Dans la capitale comme en région, la colère était toujours intacte face à la violence policière, dénoncée ses derniers jours, et à l'injustice sociale. Depuis le début du mouvement le 17 novembre, plus de 1 800 "gilets jaunes" ont été blessés, selon une source policière samedi soir.

"Stop aux massacres" affichait une pancarte à Dijon ; "Castaner le boucher, France mutilée", a crié la foule à Toulouse, visant le ministre de l'Intérieur qui a défendu vendredi l'utilisation par les forces de l'ordre du lanceur de balles de défense controversé LBD.
"Bienvenue en lacrymocratie", pouvait-on lire à Tours. A Dijon, une cinquantaine de "gilets jaunes" ont brièvement pénétré dans le périmètre de la prison pour demander la "libération de leurs camarades" arrêtés lors de précédentes mobilisations.

En fin de journée, Christophe Castaner a salué dans un tweet "l'action des forces de l'ordre à nouveau mobilisées partout en France" et a condamné "sans réserve des dégradations commises à Rennes, Bordeaux, Toulouse... et des violences à nouveau perpétrées contre des journalistes".

Plusieurs dizaines de personnes ont été interpellées en France, selon les préfectures : 42 à Paris (dont 36 gardes à vue selon le parquet à l'AFP), 49 à Bordeaux, 24 à Toulouse où les façades de l'hôtel de ville ont été taguées et des vitrines d'agences bancaires détériorées. 
La mobilisation doit se poursuivre dimanche dans plusieurs villes. Des femmes "gilets jaunes" appellent à une manifestation à Paris, inspiré par l'événement pacifique qu'elles avaient déjà organisé le 6 janvier.  
AFP

Vidéo - Quand un oiseau s'incruste dans un avion, en classe affaire

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INSOLITE - Un oiseau a fait une partie du voyage entre Singapour et Londres en classe affaire d'un vol Singapour airlines. La vidéo de l'oiseau posé sur le dossier d'un siège est devenue virale...
Un oiseau est apparu en classe affaire en plein vol, dans un avion effectuant la liaison entre Singapour et Londres le 7 janvier dernier. Le volatile, qui n'avait bien sûr pas son billet, a été découvert à 2 heures de l'atterrissage, sur ce vol de 14 heures. 

Dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux, on voit l'oiseau se poser sur le dossier d'un siège et un steward tenter de le chasser.  Le passager clandestin a été attrapé à l'arrivée à Londres et mis en quarantaine selon Fox News. On ignore toujours comment il s'est introduit dans l'avion... 
Rédaction web 

240 passagers d'une croisière haut de gamme à la découverte de la culture polynésienne

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TOURISME - Le paquebot Silver Whisper était à Tahiti vendredi avec plus de 300 passagers, en majorité américains. Le navire effectue une croisière tour du monde d'une durée de 4 mois destinée à une clientèle haut de gamme.
240 passagers d'une croisière haut de gamme à la découverte de la culture polynésienne
C'est la deuxième année que le Silver Whisper vient jusqu'en Polynésie dans le cadre de sa croisière haut de gamme.  

L'escale à Tahiti vendredi a été l'occasion pour les touristes d'avoir un aperçu de la culture locale. Ils étaient 240 à passer la journée de vendredi au Musée de Tahiti et des îles. Au programme : ma'a Tahiti, spectacle de danse, lever de pierre et chants traditionnels. Une journée organisée par Tahiti Tours.  "C'est excitant. On a été à Bora Bora aussi mais je n'ai pas vu de show comme cela avant. (...) On voyage de cette manière pour découvrir des cultures, rencontrer des gens, manger local. Et on adore Tahiti", raconte un croisiériste, blogueur à la notoriété grandissante, qui compte bien vanter l'accueil polynésien. 

On ne rappelle plus l'importance du tourisme pour l'économie du fenua. Et concernant les croisiéristes, 2018 s'est révélée être une des meilleures années  d'activité croisière depuis près de 10 ans pour Tahiti et ses îles, avec un nombre record d'escales programmées sur l'ensemble de la Polynésie. Le fenua fera-t-il encore mieux en 2019 ? 

Rédaction web 



 

Hiva Oa : Gaby et Félicienne, du tourisme au transport scolaire

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PORTRAIT - Gaby et Félicienne Heitaa sont bien connu dans le tourisme à Hiva oa. Ils ont créé en 1986, la première pension de famille de l'île. Bien équipé en moyen de transport pour promener leurs touristes, ils ont été sollicités pour effectuer le transport des enfants vers les vallées reculées de Hiva oa.
Hiva Oa : Gaby et Félicienne, du tourisme au transport scolaire
Il est 16 heures, Gaby est déjà à la sortie de l'école de Atuona. Depuis 4 ans, il transporte les enfants du village de Hanaiapa le matin et en fin d'après-midi. "La commune ne pouvant pas faire toutes les vallées, parce qu'il faut des moyens quand même, ils ont fait appel à moi pour le trajet de Hanaiapa. J'ai accepté", raconte Gaby.

Hiva Oa : Gaby et Félicienne, du tourisme au transport scolaire
Sa femme Félicienne conduit un second véhicule. Le couple a dû investir dans un bus plus grand. Car au bout de 4 ans, l'effectif des élèves du petit village de Hanaiapa situé  a plus de 20 km de l’école, a pratiquement doublé. "Depuis qu'il y a un transport scolaire, il y a de plus en plus de familles qui viennent s'installer ici. Des jeunes couples qui viennent s'installer à Hanaiapa", explique Félicienne.

Aux Marquises, beaucoup de familles vivent encore de la pêche et la chasse. Certaines n’ont pas de moyen de transport. Maintenant que les bus transportent les enfants des vallées reculées vers les écoles. Beaucoup de famille sont retournées dans leurs vallées. "Pour les gens qui n'ont pas de moyen de transport, ça aide. Ça permet de ne pas payer de moyen de transport et ne pas laisser nos enfants à l'internat", témoigne une habitante, Heifara Bonno. 

Au début, Gaby faisait ces rotations seul. Depuis 6 mois, sa femme Félicienne a réussi son permis poids lourd. Désormais, matin et soir, Ils font le trajet ensemble. 
Rédaction web avec André Vohi 


Incendie d'un oléoduc au Mexique : le bilan monte à 67 morts et 75 blessés

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DRAME - Au milieu des odeurs d'essence, des familles angoissées attendaient samedi de pouvoir identifier leurs proches disparus dans l'incendie d'un oléoduc perforé par des voleurs de carburant, qui a fait au moins 67 morts et 75 blessés, dans le centre du Mexique.
Incendie d'un oléoduc au Mexique : le bilan monte à 67 morts et 75 blessés
Au lendemain du drame, des corps calcinés étaient visibles dans un champs noirci par les flammes, où des médecins légistes en tenue blanche effectuaient les premiers relevés. On pouvait encore apercevoir des bidons en plastique abandonnés par les habitants dans la panique qui a suivi l'explosion.
"J'ai deux frères, l'un se trouve à l'hôpital militaire et l'autre nous ne l'avons trouvé dans aucun hôpital et nous attendons de voir s'il est ici", indique à l'AFP Patricia Vasquez, 46 ans. 
D'autres habitants ont passé la nuit là, un tissu parfois sur le visage pour se protéger des émanations toxiques, dans l'attente de nouvelles.

> Une des explosion d'oléoduc les plus meurtrières

Il s'agit d'une des plus meurtrières explosions d'oléoduc dans le monde depuis 25 ans. Parmi les blessés figurent huit mineurs, dont un enfant de douze ans.

Le drame s'est déroulé vendredi dans la localité de Tlahuelilpan, à environ 120 km au nord de Mexico, quelques heures après le percement clandestin d'une canalisation par des trafiquants de carburant. 

La fuite avait attiré quelques centaines d'habitants, dont des familles entières, venus récupérer du carburant munis de seaux et jerrycans, alors qu'une pénurie touche le pays à la suite de l'offensive du gouvernement contre ces vols.
Deux heures après la perforation clandestine, "nous avons appris qu'il y avait eu une explosion", a expliqué le gouverneur de l'Etat d'Hidalgo, Omar Fayad.

 

Incendie d'un oléoduc au Mexique : le bilan monte à 67 morts et 75 blessés
> Une origine "intentionnelle"

Le procureur général par intérim, Alejandro Gertz, à qui a été confié l'enquête, a évoqué une origine "intentionnelle" car "quelqu'un a perforé (l'oléoduc) et l'incendie est une conséquence de ce crime".

Peu avant le drame, on pouvait voir des gens marcher à travers champs munis de récipients vers un grand geyser de carburant sous le regard indifférent de soldats. Quelques heures plus tard, des images montraient des personnes terrifiées, certaines courant en flammes, et appelant à l'aide dans la nuit, après l'explosion.

"Je suis juste allé voir ce qu'il se passait et l'explosion s'est produite. J'ai couru pour aider les gens", a témoigné à l'AFP Fernando Garcia, âgé de 47 ans. "J'ai dû passer au travers des restes de personnes qui avaient été complètement brûlées".
Vers minuit vendredi, le ministre de la Sécurité du gouvernement fédéral, Alfonso Durazo, a annoncé que l'incendie était maîtrisé.

> Vols de carburant 

Cette tragédie survient alors que le gouvernement de M. Lopez Obrador met en oeuvre une stratégie nationale contre le vol de carburant, un fléau qui a fait perdre quelque 3 milliards de dollars en 2017 à l'Etat mexicain.
Plus de 10 000 siphonnages ont été enregistrés cette même année sur les canalisations de l'entreprise publique Pemex, selon des chiffres officiels.

Certains gangs ou de simples familles volent ainsi du carburant qu'ils revendent ensuite au marché noir, notamment dans l'Etat de Puebla (centre), épicentre du phénomène connu sous le nom de "Huachicol".

Autour de cette pratique illégale s'est même développée une culture locale avec chansons populaires et figures religieuses portant un bidon et un tuyau en plastique. Dans certains secteurs, des stations-service officielles distribuent même du carburant volé.
Depuis deux semaines, plusieurs oléoducs ont été fermés par le gouvernement qui cherche à stopper ces vols.

Cette stratégie a provoqué une pénurie de carburant dans une dizaine d'Etats du pays, dont la capitale, où de longues files d'attentes étaient visibles devant les stations d'essence, même si la situation revenait peu à peu à la normale à Mexico, grâce à des livraisons par camion.

Sur les lieux du drame à Tlahuelilpan, plusieurs personnes ont incriminé ces pénuries : "Beaucoup de gens sont arrivés avec leurs jerrycans en raison de la pénurie d'essence que nous avons connue", a déclaré Martin Trejo, 55 ans, qui recherchait désespérément son fils venu récupérer du carburant sur la fuite.

M. Trejo a également fustigé l'incapacité de l'armée à empêcher les pillages de carburant : "Ces vies auraient été épargnées si (l'armée) avait fait son travail en empêchant les gens d'approcher. Mais non, ils n'ont rien fait".

Le président López Obrador, entré en fonction le 1er décembre dernier, a annoncé qu'il se rendrait la semaine prochaine dans des secteurs où les vols de carburant sont fréquents pour "convaincre" la population de stopper ce délit et leur apporter en retour des aides économiques. 
Rédaction web avec AFP

Alerte aux méduses à Mahina

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Alerte aux méduses à Mahina
Une alerte aux méduses est en cours à Mahina. Elle a été lancée par la commune jeudi, suite à des signalements rapportés par des pharmaciens la semaine dernière.
Même si, pour l’instant, aucun cas de piqûre n’a été enregistré, il est recommandé la plus grande prudence. En cas de piqûre, il est impératif d’appeler immédiatement, les pompiers de Mahina.

Les piqûres provoquent des lésions urticantes douloureuses. Si vous ne faites pas d'allergie, quelques astuces peuvent permettre d'atténuer la douleur.Lisez notre article à ce sujet en cliquant ICI 
 
 

Vidéo - Apprendre à faire son compost : un maître composteur partage ses connaissances

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ENVIRONNEMENT - Karel Luciano maître composteur en Polynésie partage ses connaissances. Chaque samedi, il ouvre les portes de son atelier pour apprendre les bons gestes du compostage à ceux qui le souhaitent.
Vidéo - Apprendre à faire son compost : un maître composteur partage ses connaissances
Les biodéchets représentent 62% du volume de nos poubelles grises.  Le compostage fait partie des solutions privilégiées pour réduire les déchets. Mais pour y arriver, faut-il encore avoir les bonnes bases. Depuis quelque temps, Karel Luciani, maître composteur, partage les ingrédients de sa recette au travers d’une formation payante de 2 heures tous les samedis à Papeete. 
"Les bons gestes, c'est très simple : il suffit de mélanger les matières. En général on a les déchets de cuisine en général humides. On appelle ça la matière azotée, la matière humide ou la matière verte. En opposition on a la matière sèche. Ce sont les feuilles sèches du jardin. On va faire un mélange pour avoir le meilleur environnement pour que le compost se fasse le plus rapidement possible (...) La règle de base c'est d'apporter dans son composteur un volume de matière humide et un volume de matière sèche", confie Karel. 

> Être patient...

Pour obtenir un compost utilisable, vous devrez ensuite patienter jusqu'à 7 mois. "Si on fait le bon mélange, en général au bout de 3 à 4 mois, la fermentation est terminée, le compost a maturé et on a déjà un compost qui est utilisable. Mais pour qu'il soit bien mature, il vaut mieux attendre 6 à 7 mois." Karel Luciani conseille ensuite d'utiliser 2 à 5 litres de compost par mètre carré dans votre potager. 

Petits indices pour savoir quand votre compost est prêt à être utilisé : "Quand le compost est mature, il va être de couleur brune, noire, et il ne doit pas y avoir de mauvaise odeur. Ça doit être léger et ça ne doit pas ressembler à un tas de boue. (...) Si c'est trop humide, on pourra rajouter des feuilles sèches pour rattraper le compost." 
 

En vidéo, l'interview de Karel Luciani, maître composteur


> Une formation pour tous 

Ces conseils, le maître composteur, agréé par l’Ademe  les donne chaque samedi depuis 4 ans. Dans son atelier de Papeete, il accueille toute personne soucieuse de réduire ces déchets. Et depuis quelque temps, les Polynésiens s’y intéressent beaucoup. "On est venus apprendre à faire du compost correctement", explique une maman Tareparepa Teinaore, venue avec son fils de 10 ans. "C'est lui qui va vider le compost donc comme ça il sait pourquoi on fait ça et quelle est la finalité." 
"Avant je mettais que les feuilles dans le compost et il y avait un autre bac à part avec les épluchures. J'ai compris qu'il faut varier", raconte le jeune Tukaumarama. 

Comptez 2000 Fcfp les 2 heures de formation pour faire du bon compost que vous pourrez utiliser chez vous. 

Rédaction web avec Tauhiti Tauniua Mu San 
 

Plus d'infos sur cet atelier en cliquant ICI




 

Vidéo - Raivavae : la reconstruction de l'école Hataitararoa va débuter

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AUSTRALES - Elle est attendue depuis plus de 4 ans à Raivavae. La reconstruction de l’école Hataitararoa, dans la commune de Mahanatoa, doit commencer dès la semaine prochaine. Edouard Fritch et la ministre de l’Education Christelle Lehartel ont posé la première pierre d’une structure de 2 niveaux.
C’est sur un terrain de 1000 m2 que sera érigée la nouvelle école primaire de Hataitararoa. Un projet qui aura nécessité plusieurs années de préparation, entre la démolition des vieilles structures et les demandes de financement. En attendant, les élèves de Raivavae ont continué leur scolarité dans des bâtiments réaménagés en salles de classe. "L'entreprise est venue et ils m'ont demandé de faire des embauches. C'est la population de Raivavae qui va construire l'école. (...) On a choisi de la faire en étages : 5 classes en haut et 5 classes en bas", explique Joachim Tevaatua, maire de Raivavae.

Des élèves éparpillés sur toute l’île. Ce qui n’a pas entamé leur soif de connaissance, puisque Raivavae jouit d’un bon taux de réussite scolaire. Notamment dans le programme de GOD, le groupement d’observation dispersé. "Depuis la rentrée d'août 2018, on essaie de réduire la fracture familiale pour les enfants qui entrent au collège. Ici c'est le cas depuis quelques années puisqu'il y a un GOD qui regroupe la 6e et la 5e. D'autant plus qu'on se rend bien compte qu'une fois qu'ils retournent au collège, les résultats sont excellents. Dans des archipels comme ça, éloignés, nous avons des petites structures scolaires. Ça facilite le travail de nos enseignants, de nos professeurs des écoles", estime la ministre de l'Education Christelle Lehartel.

Le chantier de reconstruction commence la semaine prochaine avec une livraison prévue en avril 2020. Coût de l’opération : un peu plus de 200 millions de Fcfp, supportés à 95% par le FIP, le Fond Intercommunal de péréquation.
Reportage Jeanne Tinorua

Plusieurs personnes interpellées en flagrant délit de fabrication d'ice

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DROGUE - Samedi soir à la Presqu'île, plusieurs personnes ont été interpellées par les gendarmes. Un laboratoire de fabrication d'ice a été découvert.
Plusieurs personnes interpellées en flagrant délit de fabrication d'ice
C'est le fruit de plusieurs mois d'enquête. Selon nos confrères de Tahiti infos, plusieurs personnes ont été placées en garde à vue suite à une vaste interpellation samedi soir. Les brigades de gendarmerie de Faa'a et Taravao sont intervenues à la Presqu'île. Ils ont surpris des individus en flagrant délit de fabrication d'ice. 

L'interpellation a eu lieu vers 20 heures. Plusieurs perquisitions ont eu lieu. Un laboratoire était installé chez un particulier...

Les personnes interpellées pourraient être présentées devant un juge d'instruction.
Rédaction web 

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